Classement des sorties cinéma 2008 [CLOS]

[Jean Itard]

Didine : 5/10

[nobody smith]

Filatures 7.5/10
Black sheep 5/10

[Jean Itard]

Dernier maquis : 6/10

[Jean Itard]

Be happy : 6/10

[Flol]

J'irai dormir à Hollywood : 7.5/10

[ed]

30 jours de nuit 4/10
L'intrigue ne présente guère de nouveauté, si ce n'est la question de la temporalité, très mal gérée (les ellipses de 6 jours sans qu'il ne se passe rien...). J'ai parfois pensé à The mist, qui était d'une part bien plus tendu, et d'autre part beaucoup plus riche (enjeux, personnages...)

L'heure d'été 6,5/10
Comme cela m'arrive souvent dans "un certain cinéma français" (il me sera difficile de préciser, mais je me comprends), les indéniables qualités (interprétation, photo...) sont estompées par une certaine "pose" qui a tendance à m'agacer. Le film est pourtant très riche dans son évocation de la transmission et des liens intergénérationnels.

Sans Sarah, rien ne va 6,5/10
La personnalité du comédien/auteur central fait tout le charme de cette comédie intime assez subtile, à défaut d'être hilarante. Les filles sont charmantes, et ce n'est en ce moment pas la moindre des gageures que de parvenir, sur un écran de cinéma, à m'intéresser aux atermoiements amoureux d'un jeune trentenaire...

[nobody smith]

The dead girl 7/10
Deux soeurs pour un roi 5.5/10

[Jean Itard]

Parlez-moi de la pluie : 6,5/10

[Boubakar]

15 ans et demi : 4,5/10

[LéoL]

Two Lovers : 9/10

[Karras]

Dorothy (5,5/10)

Je ferais une petite mise à jour dans le courant du mois, pour ceux qui veulent compléter leurs notes des films de 2008 ...

[Boubakar]

Vinyan : 6/10

[7swans]

Shotgun stories - Jeff Nichols : 8/10

[nobody smith]

Les insoumis 7/10
Mad detective 7.5/10
Le limier 4/10

[ed]

Juno 5,5/10
Sympathique (plutôt bien écrit, notamment les personnages... masculins) et anodin (Jason Reitman m'avait agacé dans son film précédent, j'ai trouvé celui-ci quelconque)

JCVD 4/10
Une ou deux belles séquences (et Van Damme est vraiment bon) pour un film dont la mise en scène remue trop et les enjeux beaucoup trop peu.