Dario Argento

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés à partir de 1980.

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mannhunter
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Re: Dario Argento

Message par mannhunter »

D'après le journaliste Alan Jones, le cinéaste tournera l'an prochain son vieux projet "Occhiali Neri"...je fais un peu le boulot de Boubakar là :fiou: :uhuh: :

Nestor Almendros
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Re: Dario Argento

Message par Nestor Almendros »

le prochain opus de M'sieur Argento sera mis en musique par...

https://mixmag.net/read/daft-punk-new-m ... gento-news
"Un film n'est pas une envie de faire pipi" (Cinéphage, août 2021)
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Shinji
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Re: Dario Argento

Message par Shinji »

Nestor Almendros a écrit :le prochain opus de M'sieur Argento sera mis en musique par...
https://mixmag.net/read/daft-punk-new-m ... gento-news
Cela a été nié depuis :
https://www.screendaily.com/news/dario- ... 83.article
Nestor Almendros
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Re: Dario Argento

Message par Nestor Almendros »

:lol:
ah magie du net :fiou:
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Alibabass
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Re: Dario Argento

Message par Alibabass »

Mine de rien, c'est le groupe qui aujourd'hui, arrive à faire fantasmer beaucoup de monde, et arrive à faire du storytelling sans rien demander. Tout comme le public pour le leak par extrait de 10sec quelques mois avant la sortie du dernier album, c'est le public qui alimente les fantasmes.

Chapeau bas.
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Re: Dario Argento

Message par LeRationaliste »

C'en est où Sandman ? J'ai entendu parler d'une série TV avec Iggy Pop.

Ça sort enfin de l'enfer de développement ?

L.R
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Major Tom
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Re: Dario Argento

Message par Major Tom »

Bah alors, Manny ? :o
Dark Glasses First Look: Dario Argento Returns with First Film in a Decade

https://thefilmstage.com/dark-glasses-f ... -a-decade/

Image
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El Dadal
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Re: Dario Argento

Message par El Dadal »

Présenté comme ça... :fiou:
Mais on sait que les photos de plateau sont presque toujours plus belles que le résultat sur film.
Cela dit, la déclaration d'intention d'Argento citée dans l'article me laisse vraiment espérer une bonne surprise.
mannhunter
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Re: Dario Argento

Message par mannhunter »

Major Tom a écrit : 1 nov. 21, 22:58 Bah alors, Manny ? :o
Je suis impardonnable.. :oops:
LeRationaliste a écrit : 28 avr. 20, 22:44 C'en est où Sandman ? J'ai entendu parler d'une série TV avec Iggy Pop.

Ça sort enfin de l'enfer de développement ?
et non!
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El Dadal
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Re: Dario Argento

Message par El Dadal »

J'avoue, je viens d'être un peu cueilli à la découverte (tardive) de Trauma.

Je ne vous ferai pas passer des vessies pour des lanternes, le film n'est pas un chef-d'œuvre ignoré et oublié, ce n'est sans doute même pas un grand Argento. Mais s'il appartient sur bien des points totalement à son auteur, c'est aussi une œuvre surprenante qui s'écarte souvent du canon "argentesque". La trame est archi basique, et la narration plutôt classique. Mais la tonalité du film fait toute la différence. On quitte ici le métaphysique, le cinéma intellectualisé et référencé des films italiens, pour pénétrer pleinement dans une mécanique réaliste et ancrée par des personnages, et non pas des pantins-prétextes. Cette différence s'explique je pense par deux éléments constitutifs :
  • Il s'agit du premier long-métrage d'Argento entièrement tourné et produit aux USA, après l'expérience de l'anthologie Deux yeux maléfiques. Ce tournage américain, avec une équipe technique et artistique locale donne une patine forcément plus pragmatique que les concoctions hors sol du Argento canonique. Les lieux de tournage sont plus inscrits dans une réalité tangible, la photo a un aspect à la fois terreux et enfumé qui s'écarte encore fois de ce que l'on a pu voir précédemment chez le réalisateur transalpin. Autre conséquence de la production américaine : une atténuation très conséquente des moments de folie habituels, pas non plus de déferlements gores, et on pourra s'en attrister, moins d'inventivité de pure mise en scène et pas de grande scène mémorable. C'est d'autant plus dommage que ces exigences de production afin de s'attirer un public plus large finiront par aboutir à une sortie limitée et décevante sur le territoire US.
  • Sans doute plus important encore, il est ici question de l'humain autant que d'intrigue. La complexité du personnage incarné par Asia est manifeste. Et Argento père tient visiblement le thème de l'anorexie très à cœur. Il ne s'agit pas ici d'un gimmick utilisable pour justifier une séquence fantastique, mais au contraire la manifestation (l'un des deux traumas du titre) d'une vie endommagée par un éclatement familial violent. Si le casting sympathique fait plutôt de la figuration de luxe, Asia illumine vraiment chaque scène, c'est encore un joyau brut à cette époque. Argento tourne également ce qui sera rétrospectivement son seul album de famille dans lequel ses trois filles (Asia, son ainée Fiore, ainsi que la fille de Daria Nicolodi, Anna, un an avant son décès) apparaissent. Et ce, dans de petits rôles fugaces (Fiore en infirmière) ou pas (Anna est la fille anorexique qui danse dans le plan final). Cette mise au centre du film du personnage d'Aura et de sa maladie viennent également trouver une échappatoire, pour la première fois chez Argento, dans une histoire d'amour entre elle et le protagoniste qui la sauve du suicide au début du film. Cet aspect deviendra déterminant dans le développement de la deuxième moitié du film. Pino Donnagio trouve une note juste avec le magnifique thème "Ruby Rain", qui reviendra dès lors en fil conducteur jusqu'à la toute fin. Voir Argento s'essayer à des émotions quittant la sphère horrifique, c'est vraiment notable.
Le malaise et la tristesse qui habitent tout le film prennent l'ascendant (du moins chez moi) sur toute autre considération (thriller pas finaud etc). Je m'attendais à un petit film d'horreur charcuté, et j'en ressors avec un Argento qui essaye autre chose (rien que le fait de ne pas revoir une copie ad nauseam des films précédents fait du bien). S'il se rate parfois (souvent diront certains), je ne peux lui nier quelque chose de crucial (et me semble-t-il unique dans sa carrière) : c'est un film qui a (et vient) du cœur.

Edit coquilles
Dernière modification par El Dadal le 17 déc. 21, 10:50, modifié 1 fois.
mannhunter
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Re: Dario Argento

Message par mannhunter »

El Dadal a écrit : 16 déc. 21, 12:37Anna est la fille anorexique qui danse dans le plan final).
Je ne sais pas si cela a été confirmé, en tout cas ce dernier plan est envoûtant et émouvant...comme la scène du lac qui précède avec ce sublime "Ruby rain" et le passage avec l'Ophélie de Millais. Pour l'anecdote Daria Nicolodi n'avait pas du tout apprécié qu'Argento utilise l'histoire de sa fille, enfin elle avait mal vécu la projection du film.. :)
El Dadal a écrit : 16 déc. 21, 12:37Voir Argento s'essayer à des émotions quittant la sphère horrifique, c'est vraiment notable.
El Dadal a écrit : 16 déc. 21, 12:37je ne peux lui nier quelque chose de crucial (et me semble-t-il unique dans sa carrière) : c'est un film qui a (et vient) du cœur.
Le côté incarné et mélancolique était déjà présent avant dans "Phenomena" et ensuite dans "Le syndrome de Stendhal", "Le fantôme de l'opéra" et "Il Cartaio". Et je suis un peu curieux à ce niveau du traitement du duo de protagonistes d'"Occhiali Neri"..
El Dadal a écrit : 16 déc. 21, 12:37Autre conséquence de la production américaine : une atténuation très conséquente des moments de folie habituels, pas non plus de déferlements gores
Apparemment le scénario d'origine était bien plus graphique dans la violence, mais atténué par les réécritures avec les scénaristes américains...des scènes non tournées également pour cause de budget réduit sur le tournage d'après le co scénariste (non crédité) Dennis Etchison.

Le scénariste Ted Klein revient sur TRAUMA pour le podcast Udda Ting:
Spoiler (cliquez pour afficher)
I was brought in – through Kirby, bless him – to write a script based on, if memory serves, a 12-page, or maybe 16-page, untitled treatment by Argento and one or two associates. It seemed to me excessively, at times even ludicrously, violent and somewhat incoherent. Like, for no particular reason, a young boy character ended up hanged. I saw my task, in part, as trying to make the story a bit more logical and believable, but also to add, if I could, some notions here and there that struck me as unnerving. I had seen three or four of Argento’s films and had been quite riveted by them, especially by Suspiria. His English, I found when I met him, was somewhat limited – that was another reason I’d been hired, as this was to be his first full-length American feature – but he was an eccentric, colorful character, and I felt fortunate to be working with him. We spent a couple of days in Pittsburgh together, looking over possible locations; it’s an area, of course, where George Romero had shot his zombie films and where Jonathan Demme had shot The Silence of the Lambs. (I remember, while there, being somewhat uneasy, as I was also, at the time, editing a monthly crime magazine and had concealed from the staff where I was going.) Later, I gather, Argento considered filming in New Orleans. Alas, the movie ended up being shot in Minneapolis, one of the least atmospheric cities in America, for a depressingly tiny budget, and an elaborate opening scene I’d dreamed up, involving a death at a construction site, was simply never filmed. (I’d thought it was rather neat, but it was obviously way too expensive.)

In general, once I’d begun writing, a typical face-to-face encounter with Argento consisted of me bringing him a scene I’d written, pleased with my own cleverness, and him reading it, nodding, and – with an appropriate hand gesture -- saying, deflatingly, “Ah, yes. You cut, yes?” In the end, a lot of material did get cut – maybe not enough! But there was some connecting tissue, some necessary exposition, that also got cut, leaving a few plot points unexplained and confusing. Finally – and forgive me for trying to shift some of the blame – Argento was prey to sudden enthusiasms and had a habit of latching onto ideas from whatever he’d just seen or read and urging me to incorporate them into the story, occasionally at the expense of logic. For example, at some point -- I forget when – I found myself having to introduce a side plot about anorexia, because Dario had seen some sort of documentary about it and felt sorry for the girls, or perhaps just attracted to them. I remember that while we were putting together the script, he saw Shadows and Fog – a very strange Woody Allen film – and immediately wanted to work some elements from it into ours. And then one day he saw Hitchcock’s Shadow of a Doubt and was influenced by that as well. At one point, he wanted to add a talking lizard (maybe there is one in the film now; I forget), and he did an amusing imitation of it in a high, piping voice. In the end, my friend Andy Sands, one of the production crew, summed up the film’s problems by saying, “Too much plot, too little time.” I’ve never watched the damned thing all the way through. One small, pleasant memory: getting to take Argento’s 17-year-old daughter, Asia, who would star in the film, out to lunch when she came to New York.

11B. Could you describe the opening scene that got cut?

As best I can remember, Dario’s original treatment involved a mysterious killer who’s running around lopping off heads. And the origin of the killer’s lunacy – as we learn at the end – lies in some traumatic incident years before in which… was it a baby’s head that was cut off in a botched obstetric procedure? That seems to ring a bell. At any rate, Dario’s treatment never addressed the question of why the psychopath at the heart of the mystery would suddenly begin murdering people after years of living a peaceful, law-abiding life.
So I had this idea for opening the movie with a bizarre fatal accident at a construction site, a sort of Rube Goldberg affair, in which some object balanced on one of the topmost girders – a heavy bucket, a block of concrete, whatever – tips over and falls, snapping an attached cable whose end gets yanked through a pulley and goes whipping through the air at great speed, slicing off some luckless worker’s head. (I’d once heard about something similar happening on an aircraft carrier.) And I imagined the head bouncing down a series of platforms, level after level, like a ball bearing in a pinball game, until it drops onto the sidewalk below and comes rolling up to the feet of what seems an ordinary passing pedestrian – who will turn out, in the end, to be the murderer. But we don’t entirely see this passerby – we just see a close-up of the person’s shoes, I think, coming to a stop beside the head, and we hear some sort of scream – a scream of horror but also, perhaps, of… well, not recognition, exactly, but of remembering. For this would be the incident – a jarring flashback, more or less, to the original incident in the hospital – that would awaken long-buried memories and set the murderer off. I may even have suggested that the severed head – like guillotined heads have been reputed to do – might look up and mouth some sort of silent message.
I guess I should have realized that the scene would be too complicated to film, but I thought Dario might find the idea amusing and give it a try. It seemed like the sort of thing that might appeal to him. And so far as I know, he actually considered doing it, until he found himself working with a much smaller budget than he’d expected.
El Dadal a écrit : 16 déc. 21, 12:37
  • Il s'agit du premier long-métrage d'Argento entièrement tourné et produit aux USA,
Plus exactement co production entre l'Amérique et l'Italie, comme pour "Mother of tears".

Le nouveau blu ray a l'air bien avec ses entretiens, je le prendrai le mois prochain quand j'aurai un peu plus de sous...car je doute que cet Argento mal-aimé intéresse des éditeurs ici :fiou:
Dernière modification par mannhunter le 29 juil. 22, 18:10, modifié 2 fois.
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El Dadal
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Re: Dario Argento

Message par El Dadal »

mannhunter a écrit : 16 déc. 21, 13:35 Je ne sais pas si cela a été confirmé, en tout cas ce dernier plan est envoûtant et très émouvant...comme la scène du lac qui précède avec ce sublime "Ruby rain" et le passage avec l'Ophélie de Millais. Pour l'anecdote Daria Nicolodi n'avait pas du tout apprécié qu'Argento utilise l'histoire de sa fille, enfin elle avait mal vécu la projection du film.. :)
Je peux tout à fait comprendre que ce grand déballage ne fût à son goût. Toutefois, à la décharge d'Argento, il n'en fait jamais une utilisation putassière ni voyeuriste.
mannhunter a écrit : 16 déc. 21, 13:35 Le côté incarné et mélancolique était déjà présent avant dans "Phenomena" et ensuite dans "Le syndrome de Stendhal", "Le fantôme de l'opéra" et "Il Cartaio".
Vrai qu'il commence à y avoir un léger quelque chose de différent avec Phenomena. Par contre, je considère Stendhal comme son film le plus brutal avec Ténèbres et Opera. Mauvais souvenirs du Fantôme et pas vu Il cartaio. Il a quelle tonalité ? En tout cas, je doute qu'aucun d'entre eux lorgne sur les plate-bandes de Trauma.
mannhunter a écrit : 16 déc. 21, 13:35 Le nouveau blu ray a l'air bien avec ses entretiens, je le prendrai le mois prochain quand j'aurai un peu plus de sous...car je doute que cet Argento mal-aimé intéresse des éditeurs ici :fiou:
N'en sois pas si sûr... :fiou:
mannhunter
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Re: Dario Argento

Message par mannhunter »

Un documentaire précieux, Argento en 1992 qui parle de "Trauma", accompagné de sa fille et de son chef opérateur Raffaele Mertes:



El Dadal a écrit : 16 déc. 21, 16:11Vrai qu'il commence à y avoir un léger quelque chose de différent avec Phenomena. Par contre, je considère Stendhal comme son film le plus brutal avec Ténèbres et Opera. Mauvais souvenirs du Fantôme et pas vu Il cartaio. Il a quelle tonalité ? En tout cas, je doute qu'aucun d'entre eux lorgne sur les plate-bandes de Trauma.
"Trauma" c'est probablement son film le plus "tendre" et romantique mais je parlais en général du côté incarné, empathique et mélancolique de son cinéma que je ressens pour ma part depuis "Phenomena" (avec les personnages de Jennifer et McGregor)..."Stendhal" c'est brutal oui mais c'est son film où on est le plus proche du personnage principal, dans ce qu'elle vit, sa tentative de reconstruction, sa chute, c'est un film que je trouve très émouvant. "Il Cartaio" c'est pour le personnage principal d'Anna Mari, tout ce qui tourne autour d'elle, l'empathie pour ce personnage et ce couple de policiers, il y a encore ce côté mélancolique. Qu'on retrouve par intermittences dans des films plus bancals, inégaux comme "Le fantôme de l"opéra" ou "Le sang des innocents" (via le personnage de Moretti joué par feu Max Von Sydow)..
El Dadal a écrit : 16 déc. 21, 16:11Toutefois, à la décharge d'Argento, il n'en fait jamais une utilisation putassière ni voyeuriste.
Ben oui Asia est filmée avec délicatesse :)

El Dadal a écrit : 16 déc. 21, 12:37rien que le fait de ne pas revoir une copie ad nauseam des films précédents fait du bien
Le ton les émotions comme tu dis ne sont pas du tout les mêmes mais l'intrigue reprend quand même des éléments de celle
Spoiler (cliquez pour afficher)
des "Frissons de l'angoisse": la mère meurtrière qui finit décapitée, la séance de spiriitisme initiale, le détail visuel initial mal perçu par le protagoniste, etc
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Re: Dario Argento

Message par Jack Carter »

Dark Glasses, son nouveau film, fera l'ouverture du Festival Hallucination Collectives, à Lyon, le 12 avril.
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The Life and Death of Colonel Blimp (Michael Powell & Emeric Pressburger, 1943)
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Re: Dario Argento

Message par Torrente »

Yesssss 8)
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