Je rattache essentiellement la tonalité et le contenu du film à cette forme artistique qui peut tout aussi bien être noble... Dans le mouvement qui vise en particulier à faire descendre le puissant et le pouvoir de son piedestal, puis le ridiculiser. Le dernier plan fait d'ailleurs référence au théâtre de guignol et au spectacle de marionettes. Certains passages commeNestor Almendros a écrit :
Ben, ça serait bien que tu développes un peu tes théories sur la "farce", le regard du peintre, etc.
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Ici Goya n'est jamais magnifié par ailleurs, mais pourtant son oeuvre traverse intimement les tourments politiques, d'autant plus que dans ce scénario sa muse y est associé de manière sous-terraine, secrète mais viscérale. Forman devenu roi du biopic prend à rebrousse poil les attentes du personnages:
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J'aime énormément l'ellipse pour ma part, et aussi le vieillissement relatif des acteurs... Je me demande d'ailleurs si la mystique bouddhique qui passionne Carrière ne l'a pas influencé à structurer son récit ainsi en le faisant rejouer de la sorte, les personnages "renaissants" aussi un peu dans un autre cadre politique. Un petit côté "Syndrome and a century"