Reservoir Dogs
Jackie Brown
Les œuvres d'un cinéaste qui aura repoussé les limites d'un cinéma assagi à l'époque.
Pulp Fiction
Le côté plus Cormanien du film empêche les redites, mais esthétiquement, c'est le plus daté de sa trilogie de L.A.
Boulevard de la mort
Obligé d'avouer prendre pas mal de plaisir (sans doute le fait de retrouver Kurt Russell à l'époque après des années d'absence). Et les discussions de
poufs ne sont pas éloignées de celles qu'on peut avoir entre cinéphiles sur le forum
Inglorious Basterds
Toujours un problème avec deux séquences en particulier, mais le renouvellement thématique et esthétique est indubitable
Les huit salopards
Bancal, mais son atmosphère et sa gaule visuelle en font un spectacle de bonne tenue... pendant 1h40
Django Unchained
Jamie Foxx... bon. Et cette fin... Les limites d'un style
Kill Bill vol 2
Mouais. Tout ça pour ça...
.
.
.
.
.
Kill Bill vol 1
Et je place "son" scénario de
True Romance en pôle position au fait. Il n'a jamais approché lui-même cette fibre autrement que par le truchement d'Elmore Leonard. Quel dommage.