Claude Chabrol (1930-2010)
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Que la bête meure, Claude Chabrol
Une mise en scène magistrale de bout en bout, peut-être plus que d'habitude, une intrigue en forme de partie d'échecs très serrée, se ménageant parfois de fausses respirations. Duchaussoy est vraiment un très grand acteur, Caroline Cellier parvient à rendre émouvant et crédible un rôle pas facile, Yanne est parfaitement à sa place (le film se débrouille très bien pour faire accepter qu'on soit effectivement face à une caricature de salaud), Pialat étonnant et là où je ne l'attendais pas.
Si la scène sur le bateau est un peu bordélique, il y en a deux qui sont particulièrement mémorables, tournées en plan-séquences qui plus est :
1. Lorsque Duchaussoy invite Cellier pour la première fois chez lui, à Paris. Leur scène de séduction autour d'un plateau d'échecs est assez anthologique.
2. L'attente de l'apparition de Jean Yanne, quand Duchaussoy discute de la pluie et du beau temps avec les invités de la maison.
A chaque fois, dialogues, interprétation et mise en scène sont d'une inventivité folle. Le spectateur jubile. Sans doute un des meilleurs Chacha.
Une mise en scène magistrale de bout en bout, peut-être plus que d'habitude, une intrigue en forme de partie d'échecs très serrée, se ménageant parfois de fausses respirations. Duchaussoy est vraiment un très grand acteur, Caroline Cellier parvient à rendre émouvant et crédible un rôle pas facile, Yanne est parfaitement à sa place (le film se débrouille très bien pour faire accepter qu'on soit effectivement face à une caricature de salaud), Pialat étonnant et là où je ne l'attendais pas.
Si la scène sur le bateau est un peu bordélique, il y en a deux qui sont particulièrement mémorables, tournées en plan-séquences qui plus est :
1. Lorsque Duchaussoy invite Cellier pour la première fois chez lui, à Paris. Leur scène de séduction autour d'un plateau d'échecs est assez anthologique.
2. L'attente de l'apparition de Jean Yanne, quand Duchaussoy discute de la pluie et du beau temps avec les invités de la maison.
A chaque fois, dialogues, interprétation et mise en scène sont d'une inventivité folle. Le spectateur jubile. Sans doute un des meilleurs Chacha.
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+ 1Max Schreck a écrit :Que la bête meure, Claude Chabrol
Et la fin du film est probablement un hommage à Moonfleet.
Chabrol lui-même est passionné d'échecs, si ma mémoire est bonne, et ce jeu est apparu à plusieurs reprises dans ses films.
1. Dans l'Oeil du malin, le mari et l'intrus disputent une partie d'échecs dont l'enjeu symbolique est évidemment Stéphane Audran, qui se trouve placée entre eux, face à l'échiquier, dans la profondeur de champ.
2. Deux parties d'échecs interviennent dans Masques à des moments stratégiques de l'intrigue. Tout le film peut être vu comme une partie d'échecs opposant Legagneur à Chevalier (dont les noms sont plus que révélateurs).
3. Il y a une partie de dames dans le Cri du hibou.
Et j'en oublie sans doute.
Aux thésards en manque de sujet, proposons celui-ci : De la stratégie échiquéenne comme métaphore de la mise en scène chabrolienne.
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Je n'ai pas vu ceux-là, mais en tous cas la métaphore est incroyablement vraie dans Que la bête meure, aussi bien dans le dialogue des acteurs (je tente une percée pour t'amener à alléger ta défense), la mise en scène (extrêmement mobile, tantôt s'approchant, tantôt isolant ses personnages, les contournant), etc. Le plan de Duchaussoy repose lui-même sur une stratégie de joueur d'échec. C'est beau quand un film est travaillé comme ça.Bartlebooth a écrit :+ 1Max Schreck a écrit :Que la bête meure, Claude Chabrol
Et la fin du film est probablement un hommage à Moonfleet.
A côté de ça, ce film est aussi riche en discussions sur la bouffe (entre le dîner pourri par l'atroce comportement de Jean Yanne et la scène de découpe du canard rôti dans le restaurant...).
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Oui, c'est un pur bonheur de cinéma. Et l'on peut en dire autant de tous les grands Chabrol de cette période (le Boucher, la Femme infidèle, Juste avant la nuit) ; et encore d'À double tour, dont la mise en scène circulaire bouclée autour de deux flash-back répond tout à fait au titre du film ; et au fond de tous les Chabrol réussis.Max Schreck a écrit :Je n'ai pas vu ceux-là, mais en tous cas la métaphore est incroyablement vraie dans Que la bête meure, aussi bien dans le dialogue des acteurs (je tente une percée pour t'amener à alléger ta défense), la mise en scène (extrêmement mobile, tantôt s'approchant, tantôt isolant ses personnages, les contournant), etc. Le plan de Duchaussoy repose lui-même sur une stratégie de joueur d'échec. C'est beau quand un film est travaillé comme ça.
Dans les bonus de Poulet au vinaigre et d'Inspecteur Lavardin, Chabrol commente la mise en scène de trois séquences-clés de chacun de ces films. Et c'est fascinant de voir à quel point tout
(cadre, mouvements d'appareils, disposition des personnages) est précisément réfléchi, millimétré, sans jamais être ostensible.
S'agissant de la nourriture, il est curieux de voir, chez un gourmet comme Chabrol, combien elle est fréquemment (je ne dis pas : toujours) associée au malaise : le dîner pourri dont tu parles, et aussi le canard franchement appétissant, qui survient cependant dans une scène de rupture : ce canard aura finalement un goût amer.
Michel Serrault est obligé de manger, en se forçant, deux dîner chaque soir, pour dissimuler son crime (les Fantômes du chapelier). Bonjour l'indigestion !
Autre repas métaphorique : le roti de Masques est raté. On le déguise (on le masque) en un autre plat, réussi celui-là, à l'image d'un film où chacun a quelque chose à cacher. La mise en scène chabrolienne est un vrai jeu de pistes.
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Le Boucher, Claude Chacha
Bon bin voilà : Jean Yanne et Stephane Audran composent dans ce film l'un des plus beaux duos du cinéma français. L'intrigue est d'une subtilité rare, évitant soigneusement les effets de manche et le manichéisme, ménageant de vrais moments de grâce (la scène de déclaration d'amour dans la forêt) et de grands pics de terreur (Audran se barricadant dans son école à la fin). Si Chabrol sait la plupart du temps se montrer féroce analyste, scrupuleux entomologiste des moeurs provinciales, il se montre ici d'une sensibilité absolument bouleversante. La réputation de cette oeuvre n'est vraiment pas usurpée. Véritablement fascinant.
Bon bin voilà : Jean Yanne et Stephane Audran composent dans ce film l'un des plus beaux duos du cinéma français. L'intrigue est d'une subtilité rare, évitant soigneusement les effets de manche et le manichéisme, ménageant de vrais moments de grâce (la scène de déclaration d'amour dans la forêt) et de grands pics de terreur (Audran se barricadant dans son école à la fin). Si Chabrol sait la plupart du temps se montrer féroce analyste, scrupuleux entomologiste des moeurs provinciales, il se montre ici d'une sensibilité absolument bouleversante. La réputation de cette oeuvre n'est vraiment pas usurpée. Véritablement fascinant.
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On ne saurait mieux dire. Ce film est un chef-d'oeuvre d'évidence, de finesse, de sensibilité, d'élaboration extrême donnée sous les dehors d'une simplicité miraculeuse.Max Schreck a écrit :Le Boucher, Claude Chacha
Tout, de la chronique des moeurs provinciales à l'exploration des pulsions les plus noires inscrites au coeur de l'homme depuis la nuit des temps (cf. la visite des grottes préhistoriques), s'y emboîte à la perfection. Et comme toujours chez Chabrol le sens et la narration sont relayés par des indices visuels qui riment et se font écho avec une maestria dépourvue d'ostentation, si bien qu'on peut en ressentir les effets sans même y prêter attention : jeu autour du briquet (par lequel l'institutrice déclare inconsciemment sa flamme au boucher, et qui sera fatal à ce dernier), le clignotement rouge du voyant de l'ascenseur de l'hôpital, comme les battements faibles d'un coeur qui bientôt s'arrête, au moment où meurt le boucher. Clignotement qui renvoie au thème omniprésent du sang et répond au grand moment d'effroi silencieux du film, les gouttes de sang qui tombent sur la tartine de beurre ! J'ai beau connaître le film par coeur, j'en reste chaque fois bouche bée.
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pareil sacré popaul et j'adore le rythme de ce film, rien pour ce film je suis content d'avoir pris le coffret cdiscount, en revanche il manque de l'imageBartlebooth a écrit :On ne saurait mieux dire. Ce film est un chef-d'oeuvre d'évidence, de finesse, de sensibilité, d'élaboration extrême donnée sous les dehors d'une simplicité miraculeuse.Max Schreck a écrit :Le Boucher, Claude Chacha
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Juste avant la nuit, Claude Chabrol
Il est intéressant de rapprocher ce film de La Femme infidèle, tourné deux ans plus tôt avec le même couple Bouquet/Audran et une histoire d'adultère et de meurtre. Si visuellement le film accuse son âge (quelques zooms intempestifs, des fringues... wow !... des fringues bien, disons, colorées !), je suis resté sous le charme de la voix de Bouquet, de son désespoir, de l'amour qu'on lit dans les yeux d'Audran, et du joli suspense qui mène sa barque. Il est vrai que le film est particulièrement froid, avec tous ces personnages qui crèvent sous leurs secrets, qui s'acharnent à sauver les apparences au risque de paraître totalement inhumains, et le spectateurs peut être bloqué par cette distance désarmante. Mais ça reste toujours magistralement raconté et observé. Un Chabrol particulièrement noir.
Il est intéressant de rapprocher ce film de La Femme infidèle, tourné deux ans plus tôt avec le même couple Bouquet/Audran et une histoire d'adultère et de meurtre. Si visuellement le film accuse son âge (quelques zooms intempestifs, des fringues... wow !... des fringues bien, disons, colorées !), je suis resté sous le charme de la voix de Bouquet, de son désespoir, de l'amour qu'on lit dans les yeux d'Audran, et du joli suspense qui mène sa barque. Il est vrai que le film est particulièrement froid, avec tous ces personnages qui crèvent sous leurs secrets, qui s'acharnent à sauver les apparences au risque de paraître totalement inhumains, et le spectateurs peut être bloqué par cette distance désarmante. Mais ça reste toujours magistralement raconté et observé. Un Chabrol particulièrement noir.
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J'ai l'impression Max que tu n'as pas trop aimé le film. Quel dommage car Juste avant la nuit représente pour moi le fruit ultime de sa sacro-sainte période "psychanalytique" avant de s'embourber durant une bonne partie des seventies dans les films pourris et les nanars.
La représentation du mental de Bouquet est exceptionnelle, elle me donne froid dans le dos chaque fois que je vois le film: interrogations, parano, délire de persécution puis doute, la scène où il se confie à son ami le plus proche derrière le buisson est exemplaire de la maîtrise qu'a le cinéaste à la fois de son sujet (comment rendre le malaise perceptible en un clin d'oeil) et de la manière de la mettre en scène. Même s'il est assez mal photographié (une habitude), le film est pour moi un chef d'oeuvre, une oeuvre bizarrement méconnue au même titre que "La Rupture", qui date de l'année précédente, et malheureusement non édité en dvd mais que je te conseille si tu ne l'as pas encore vu.
La représentation du mental de Bouquet est exceptionnelle, elle me donne froid dans le dos chaque fois que je vois le film: interrogations, parano, délire de persécution puis doute, la scène où il se confie à son ami le plus proche derrière le buisson est exemplaire de la maîtrise qu'a le cinéaste à la fois de son sujet (comment rendre le malaise perceptible en un clin d'oeil) et de la manière de la mettre en scène. Même s'il est assez mal photographié (une habitude), le film est pour moi un chef d'oeuvre, une oeuvre bizarrement méconnue au même titre que "La Rupture", qui date de l'année précédente, et malheureusement non édité en dvd mais que je te conseille si tu ne l'as pas encore vu.
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Tu m'as mal lu, j'ai vraiment apprécié (de même que La Femme infidèle)! J'en relevais certes quelques défauts ou désuétudes (le personnage de l'inspecteur n'est pas non plus génial), mais la qualité de l'oeuvre transcende ces éléments :Leopold Saroyan a écrit :J'ai l'impression Max que tu n'as pas trop aimé le film.
Comme tu le dis, la plongée dans la psyché de Bouquet est vraiment belle et puissante.je suis resté sous le charme de la voix de Bouquet, de son désespoir, de l'amour qu'on lit dans les yeux d'Audran, et du joli suspense qui mène sa barque. Il est vrai que le film est particulièrement froid, avec tous ces personnages qui crèvent sous leurs secrets, qui s'acharnent à sauver les apparences au risque de paraître totalement inhumains, et le spectateur peut être bloqué par cette distance désarmante. Mais ça reste toujours magistralement raconté et observé. Un Chabrol particulièrement noir
Dans mon souvenir de La Rupture, j'avais été un peu géné par la fin que je trouvais un peu guignolesque (ce que Carmet fait subir à la jeune handicapée).
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Oui j'ai bien lu mais je te sentais moins enthousiaste qu'à l'accoutumée.Max Schreck a écrit : je suis resté sous le charme de la voix de Bouquet, de son désespoir, de l'amour qu'on lit dans les yeux d'Audran, et du joli suspense qui mène sa barque. Il est vrai que le film est particulièrement froid, avec tous ces personnages qui crèvent sous leurs secrets, qui s'acharnent à sauver les apparences au risque de paraître totalement inhumains, et le spectateur peut être bloqué par cette distance désarmante. Mais ça reste toujours magistralement raconté et observé. Un Chabrol particulièrement noir.
Comme tu le dis, la plongée dans la psyché de Bouquet est vraiment belle et puissante.
Dans mon souvenir de La Rupture, j'avais été un peu géné par la fin que je trouvais un peu guignolesque (ce que Carmet fait subir à la jeune handicapée).
En ce qui concerne "La Rupture", le film est globalement grand-guignolesque, que ce soit dans sa scène d'ouverture, ses personnages (ceux de la maison); je met cela sur le dos de son côté résolument fantastique.
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Ce qui est sûr, c'est que du coffret Chabrol que j'enchaîne petit à petit (reste Les Noces rouges), c'est le moins enthousiasmant comparativement. ça reste de très haute tenue et j'ai grandement apprécié. Le frilosité que j'ai pu exprimer vient, je pense, de ce que je disais de la retenue des personnages, ce côté en-dedans, Bouquet qui crève de ses aveux qui ne le soulagent pas, font que le drame reste constamment lourd (pas au sens de pénible, hein). Dans La Femme infidèle, par exemple, il y a une vraie grâce dans la relation Bouquet/Audran. Ici, les secrets cachés sont vraiment sordides (perversion sexuelle, etc.). Le « Je vous emmerde » que lance l'employé de Bouquet à ce dernier montre vraiment qu'on est là dans un monde (une époque) qui ne va plus du tout. Mais pas de malentendu, en soi, c'est une superbe réussite, d'autant plus admirable que le film est assez risqué dans son refus de l'affect et des émotions faciles (qui percent néanmoins).Leopold Saroyan a écrit : Oui j'ai bien lu mais je te sentais moins enthousiaste qu'à l'accoutumée.
En ce qui concerne "La Rupture", le film est globalement grand-guignolesque, que ce soit dans sa scène d'ouverture, ses personnages (ceux de la maison); je met cela sur le dos de son côté résolument fantastique.
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Figure-toi que j'y ai bien pensé mais étant donné qu'il s'agit d'un coffret dont les films ne sont pas vendus à l'unité, ca ne m'incite pas trop.Roy Neary a écrit :Le "chabrolissime" Leopold Saroyan est attendu à la réception de DVDClassik pour sa chroniques des films de Claude Chabrol composant le coffret Cdiscount.
On peut rêver non ?
Les MK2 sont plus dignes d'intérêt, tant par le soin apporté techniquement que d'un point de vue editoriale. Mais ils ne concernent pas le naphtaliné.
belle défense hein?
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