Tree of life (Terrence Malick - 2011)

[locktal]

Je donne un lien vers un texte très intéressant du critique Olivier Père sur The tree of life :

http://olivierpere.wordpress.com/2011/0 ... ce-malick/

[AtCloseRange]

Je donne un lien vers un texte très intéressant du critique Olivier Père sur The tree of life :

http://olivierpere.wordpress.com/2011/0 ... ce-malick/

Surtout, enfin un peu de mesure, ça fait du bien.

[Gounou]

Je donne un lien vers un texte très intéressant du critique Olivier Père sur The tree of life :

http://olivierpere.wordpress.com/2011/0 ... ce-malick/

Surtout, enfin un peu de mesure, ça fait du bien.

Oh hé, mets-y un peu du tiens et compte-moi ces échelles... veux-tu !?

[AtCloseRange]

Surtout, enfin un peu de mesure, ça fait du bien.

Oh hé, mets-y un peu du tiens et compte-moi ces échelles... veux-tu !?

Eh, moi, je l'ai vu qu'une fois.
Je 'arrive pas à savoir si c'est le fait de lire autant de choses sur le film ou si c'est juste un film marquant mais j'ai l'impression d'avoir à peu près tout en tête.

Tiens, bizarrement , je crois que personne n'a parlé du cercueil en verre dans la forêt.
L'image m'évoquait quelque chose de vaguement familier visuellement (on peut penser à Ophélie ou à quelque chose se rapprochant des Chevaliers de la Table Ronde).

EDIT: une référence à Blanche-Neige peut-être même si le lien ne me vient pas à l'esprit. Je me demande aussi si on ne voit pas une église sous l'eau dans la scène de l'inondation?

[wontolla]

Tiens, bizarrement , je crois que personne n'a parlé du cercueil en verre dans la forêt.
L'image m'évoquait quelque chose de vaguement familier visuellement (on peut penser à Ophélie ou à quelque chose se rapprochant des Chevaliers de la Table Ronde).

EDIT: une référence à Blanche-Neige peut-être même si le lien ne me vient pas à l'esprit. Je me demande aussi si on ne voit pas une église sous l'eau dans la scène de l'inondation?

J'ai songé aussi à Blanche-neige en voyant le cercueil.
Quant à l'église je n'ai pas été attentif (c'est grave mon père ).
Il y a pas mal de choses (les deux corps dans des linceuls dont j'ai parlé plus haut) dans le film.
Avec le film en DVD/BR en octobre... quelqu'un fera peut-être une analyse plan par plan ?

[Anorya]

Je donne un lien vers un texte très intéressant du critique Olivier Père sur The tree of life :

http://olivierpere.wordpress.com/2011/0 ... ce-malick/

Une des chroniques les plus censées et intéressantes que j'ai pu lire sur le film. Merci.

[Wagner]

Il y a aussi une petite échelle pour monter dans l'arbre du jardin.

Ouf, je craignais qu'il n'y en ait pas, merci.

[Alcade]

Quid de ce plan dans la dernière partie du film ("trip" sur la plage, on se comprend), où l'on voit deux corps morts enveloppés d'un linceul blanc ?

Pour moi, les deux corps correspondent à ceux du frère et de la mère.

Lors des scènes de Jack adulte, on entend une discussion de lui avec son père, mais pas avec sa mère, donc rien ne dit qu'elle est encore vivante à ce moment là.
Et lors d'un souvenir où Jack adulte pénètre dans la maison où l'on voit sa mère et son frère, ces deux-là passent le seuil de la porte : symbole du passage vers l'au-delà ?

Dans une image présente dans la bande annonce, on voyait bien la mère marcher pieds nus en direction du soleil sur une étendue de sable gris

[G.T.O]

Je donne un lien vers un texte très intéressant du critique Olivier Père sur The tree of life :

http://olivierpere.wordpress.com/2011/0 ... ce-malick/

Ce que j'ai lu de plus nuancé et intéressant sur le film; du moins en France. Ça fait plaisir !

[Flol]

J’avoue ne pas comprendre les ricanements qui ont accompagné la découverte des images splendides de la création du monde. Le public qui se croit toujours plus malin que le film est le plus bête en fait. Cela m’évoque les réactions de ceux qui préfèrent rire grassement durant un film d’horreur afin de ne pas céder à la frayeur inconfortable que pourrait déclencher en eux la mise en scène du cinéaste.

Ce monsieur est mon nouveau meilleur ami. Je le rajoute tout de suite sur Facebook.

Le choix des objectifs, des mouvements de caméra flottants, des plans de corps ou de visages furtifs ou morcelés, propose une équivalence magnifique aux images mentales, aux réminiscences sensorielles qui surgissent en nous lorsque nous nous souvenons d’évènements lointains vécus ou imaginés dans notre enfance. Un monde déformé par le regard d’un enfant, qui ne voit et ne comprend pas tout ce qui l’entoure mais le capte de manière très intense, voilà ce que le film parvient à retranscrire et à évoquer en images, grâce à une mise en scène qui ne ressemble à rien de connu, et cherche à composer quelque chose d’unique, entre poésie, musique et cinéma.

Rien que pour cette extraordinaire séquence, j'ai envie de revoir ce film.
Depuis que je l'ai découvert, je repense très régulièrement à ces 20mn portées par la grâce, que j'ai regardées comme dans un état second, bouche bée et les yeux embués par les larmes.
Malick, ici, a réussi à tutoyer quelque chose d'indicible et de pourtant impossible à retranscrire. Quel génie.

[Eusebio Cafarelli]

Il y a aussi une petite échelle pour monter dans l'arbre du jardin.

Ouf, je craignais qu'il n'y en ait pas, merci.

Il y a aussi une corde à noeuds, si ça peut te rassurer encore plus

[Wagner]

Ouf, je craignais qu'il n'y en ait pas, merci.

Il y a aussi une corde à noeuds, si ça peut te rassurer encore plus

J'ai l'impression que le sens de cette échelle est deviné plus que réellement compris par beaucoup de spectateurs. On est d'accord sur la présence d'un arbre de vie dans la Genèse, le plus fameux arbre du jardin d'Eden avec celui de la connaissance du bien et du mal? On est d'accord aussi qu'il y a dans la Genèse un rêve qui s'appelle l'échelle de Jacob, rêve dans lequel l'échelle unit la terre au ciel?

Pour un cours de rattrapage accéléré, pas compliqué, il suffit de revoir l'échelle de Jacob d'Adrian Lyne, pour comparer la structure temporelle du film avec celui de Malick, outre la scène d'accession au paradis (Lyne explique tout cela très clairement dans ses commentaires). Et écouter la phrase clé prononcée (une citation de maître Eckhart) par Danny Aiello pour comprendre le "I give it to you" de la mère dans The Tree of life.

Pour le coup j'ai un peu l'impression de faire le boulot de notre ami Wontolla

[Eusebio Cafarelli]

J'avais compris le sens de l'échelle, mais pas bien le sens du "Ouf, j'avais peur qu'il n'y en ait pas"...

[wontolla]

Pour le coup j'ai un peu l'impression de faire le boulot de notre ami Wontolla

Wontolla ne se dérobe pas mais pour le moment c'est la gestion de la Pentecôte et de la fin de l'année pastorale (avec pour le moment une poussée de SEP qui rend la marche difficile et douloureuse); je ne remise pas l'échelle et m'attelle à la tâche dès que possible .

[Rockatansky]

Toujours rien à voir avec la religion donc...