Euh, là ça va être dur quand même...Peter Venkman a écrit :Prochain challenge, placer "bergmanien" dans un thread dédié à Michael Bay. Tu peux y arriver, je le sais.Le premier : Film d'horreur bunuellien souvent assez angoissant où l'humour noir ravageur ne prédomine jamais sur la terreur pure et le cauchemardesque. Un conte de fée macabre à la hauteur de ses ambitions, une oeuvre sincère qui n'a toujours rien perdu, ni de sa force, ni de son actualité.
La saga des Freddy (1984-2003)
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Sous l'avatar se trouve la date d'insrition au forum, c'est assez interessantMJ a écrit :C'est mal me connaître, ça se voit que tu es nouveau.
Les films sont à notre civilisation ce que les rêves sont à nos vies individuelles : ils en expriment le mystère et aident à définir la nature de ce que nous sommes et de ce que nous devenons. (Frank Pierson)
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Cela dit, je ne trouve pas si absurde d'évoquer Bunuel pour le premier Craven.
Certes, la forme et le sujet sont radicalement différents (et les références de Craven ne sont pas celles de Bunuel), mais on retrouve la même cruauté nuancée d'humour noir, le même gout pour le surréalisme (l'agneau qui passe dans la chaufferie lors de la séquence d'ouverture), le coté très 'inventif' de plusieurs séquences de terreur comme
On retrouve enfin chez chacun un certain gout pour les situations érotiques 'ambigues' : la séquence du bain, le téléphone qui devient langue, et, au final, Freddy jaillit du lit d'Heather Langencamp).
Les deux réals ne sont finalement pas si éloignés dans leur discours.
Certes, la forme et le sujet sont radicalement différents (et les références de Craven ne sont pas celles de Bunuel), mais on retrouve la même cruauté nuancée d'humour noir, le même gout pour le surréalisme (l'agneau qui passe dans la chaufferie lors de la séquence d'ouverture), le coté très 'inventif' de plusieurs séquences de terreur comme
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On retrouve enfin chez chacun un certain gout pour les situations érotiques 'ambigues' : la séquence du bain, le téléphone qui devient langue, et, au final, Freddy jaillit du lit d'Heather Langencamp).
Les deux réals ne sont finalement pas si éloignés dans leur discours.
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell
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Allez, un bon geste : tu verra, même si els films sont inégaux, après avoir tout visionné, on est fier de posséder le coffret de l'intégrale !!Ratatouille a écrit :Bon ça suffit, vous avez gagné....je vais m'acheter ce coffret !!
Porte feuille qui se vide, certes, mais le thermomètre-tripalo-jouissif remonte d'un cran !!
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J'ai acheté le coffret à sa sortie...
Plaisir nostalgique, essentiellement.... et puis c'est les 80's, quoi...!
Plus sérieusement, je détache très nettement le premier du lot... parce qu'il véhicule une vision du cauchemar et de la peur qui me séduit toujours autant.
Le reste, c'est pour le fun.
Fallait pas bouder son Biactol...
Plaisir nostalgique, essentiellement.... et puis c'est les 80's, quoi...!
Plus sérieusement, je détache très nettement le premier du lot... parce qu'il véhicule une vision du cauchemar et de la peur qui me séduit toujours autant.
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Fallait pas bouder son Biactol...