Jeremy Fox a écrit :Des séquences tire-larmes qui arrivent vraiment à tirer des larmes (comme c'est le cas ici) sont pour moi des séquences réussies car le but recherché est atteint
Genre Dancer in the Dark ? Ou Les Petits Mouchoirs ?
A part ça, je n'ai jamais vu ce Cinema Paradiso.
Jeremy Fox a écrit :Des séquences tire-larmes qui arrivent vraiment à tirer des larmes (comme c'est le cas ici) sont pour moi des séquences réussies car le but recherché est atteint
Genre Dancer in the Dark ? Ou Les Petits Mouchoirs ?
Pas du tout. Je n'aime ni l'un ni l'autre et surtout pas le Guillaume Canet que je trouve ridicule de bout en bout.
D'accord. Non parce qu'un film dans lequel on verrait un mec torturer des petits chiots, ça me ferait chialer...mais je pense pas que ça en ferait un bon film pour autant.
Et pour reprendre l'exemple du Von Trier, j'étais ressorti de la séance en larmes...mais pour autant, avec le recul (je ne l'ai jamais revu depuis), je ne suis pas persuadé que ce soit un bon film.
Jeremy Fox a écrit :Des séquences tire-larmes qui arrivent vraiment à tirer des larmes (comme c'est le cas ici) sont pour moi des séquences réussies car le but recherché est atteint
J'entends bien, mais quand ça parait forcé, ça ne procure pas l'effet désiré.
Je rejoins quasiment l'avis Demi-Lune sur ce film qui, s'il n'obtient pas pour moi le titre de chef d'oeuvre, est un très beau moment d'émotion dont le summum est atteint lorsque Jacques Perrin découvre son cadeau...au bout de 10s j'ai un aquarium à la place des yeux, ce moment est superbe, riche en émotion et quel bonheur cinéphile de découvrir cette suite de baisers de cinéma qui représentent tellement de choses pour le personnage de Salvatore.
feb a écrit :Je rejoins quasiment l'avis Demi-Lune sur ce film qui, s'il n'obtient pas pour moi le titre de chef d'oeuvre, est un très beau moment d'émotion dont le summum est atteint lorsque Jacques Perrin découvre son cadeau...au bout de 10s j'ai un aquarium à la place des yeux, ce moment est superbe, riche en émotion et quel bonheur cinéphile de découvrir cette suite de baisers de cinéma qui représentent tellement de choses pour le personnage de Salvatore.
Cinema Paradiso c'est simplement du beau cinéma, sentimental, nostalgique et truculent. Giuseppe Tornatore y va avec ses gros sabots mais ça marche.
Et si en plus on nous propose une histoire d'amour avec une fille aussi belle...
Demi-Lune a écrit : Si elle n'est pas l'une de ses plus originales, la musique de Morricone reste l'ingrédient suprême de ce mélo puissant sur le temps, le legs, l'amour perdu. C'est comme avec Herrmann : c'est incroyable de voir à quel point leur musique émotive et lyrique transfigure les images.
Concernant la version longue, Tornatore explique en bonus du dernier BR qu’il avait lui-même choisi la version courte parce qu’il sentait « déjà à l’époque » la culture du zapping monter et l’impatience des spectateurs devant des films trop longs.
Quand on pense à la durée des films actuels, ça laisse perplexe.
Ahahahahaha j'avoue, surtout sur les 80% des films en compétition à Cannes cette année.
Je l'avais vu pour la première fois au cinéma, lors d'une reprise en 2019. WOW WOW et WOW.