Il me reste un peu de produit dans la piqure de RoyBeule a écrit :Pas certain de pouvoir en citer 5 que j'aime. Voyons:
Répulsion
Cul de sac
Le couteau dans l'eau
Le locataire
Le pianiste
Les deux derniers... à la rigueur
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Pour moi le + beau film de 2002.John Anderton a écrit :Incroyable de voir LE PIANISTE, un des films les plus abordables de Polanski, aussi souvent cité ! C'est son plus récent, en plus... marrant, ça...
Un témoignage débordant d'humanité, d'une grande pudeur et d'une densité incroyable.
J'ai trouvé aussi intelligent de ne pas intensifier le pathos, qui est déjà assez présent dans la tête du spectateur. Résultat: J'ai pleuré pendant TOUT le film(ce ki ne m'arrive jamais), même pendant des moments anodins.
Un chef-d'oeuvre.
PS: Ce film est tout sauf académique. L'académisme aurait été de faire des gros effets dramatiques, de tout montrer, de donner une leçon de morale, de donner plus d'importance à l'histoire d'amour, de faire des plans esthétisants, de faire du héros un homme actif et plein d'idéaux...
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Et un beau livre en grand format, couverture verte, intitulé POLANSKI, tu l'as celui-là ? Hein ?The Rider a écrit :Ce film, il explique sa filmo selon moi.John Anderton a écrit :Incroyable de voir LE PIANISTE, un des films les plus abordables de Polanski, aussi souvent cité ! C'est son plus récent, en plus... marrant, ça...
C'est le couronnement de sa carrière. À l'époque de LA NEUVIÈME PORTE, Polanski expliquait qu'il n'avait pas encore réalisé "son film". Là je crois que c'est fait. Quand je dis qu'il explique sa filmo, c'est qu'en fait, j'ai l'impression que son côté noir qui a fait son succès vient de là. Il réalise le film sur ce qu'il l'a traumatisé, sur ce qu'il l'a probablement touché à vie. Pendant longtemps, on l'avait critiqué sur la violence de ses films, sur sa thémtique du viol présente dans pratiquement tous ses films... LE PIANISTE est la clé du "mystère Polanski", doublé du meilleur film sur la 2nde guerre mondiale. Incroyablement réaliste et ahurissant. Je n'avais jamais été aussi ému au cinéma. Jamais.
Livre que j'ai également, ainsi que l'autobiographie de Polanski, Roman.John Anderton a écrit :Pour ta dernière remarque, tout dépend des sources... Dominique Avron, dans son livre paru chez Rivages, parle du VELO.
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Par "académique", j'entends plus par rapport au reste de sa filmo. Ne surtout pas voir un aspect péjoratif ou critique dans mon emploi de ce mot à propos du PIANISTE, un film qui m'a plu de toute façon.Philip Marlowe a écrit :Pour moi le + beau film de 2002.John Anderton a écrit :Incroyable de voir LE PIANISTE, un des films les plus abordables de Polanski, aussi souvent cité ! C'est son plus récent, en plus... marrant, ça...
Un témoignage débordant d'humanité, d'une grande pudeur et d'une densité incroyable.
J'ai trouvé aussi intelligent de ne pas intensifier le pathos, qui est déjà assez présent dans la tête du spectateur. Résultat: J'ai pleuré pendant TOUT le film(ce ki ne m'arrive jamais), même pendant des moments anodins.
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PS: Ce film est tout sauf académique. L'académisme aurait été de faire des gros effets dramatiques, de tout montrer, de donner une leçon de morale, de donner plus d'importance à l'histoire d'amour, de faire des plans esthétisants, de faire du héros un homme actif et plein d'idéaux...
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Kesketatan?Bill Harford a écrit :Si je voulais faire un TOP 5, il y serait dedans, c'est sûr!Leopold Saroyan a écrit :Je suis attristé de voir que Lunes de Fiel soit si peu cité. Cette vision du couple et de l'amour n'aurait touchée que si peu de personnes?
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Juste l'un des deux ou trois films de ces dix-quinze dernières années que je n'ai tout simplement pas pu suivre jusqu'au bout tant je trouvais que tout sonnait faux, et, pardonne mes souvenirs, amateur : j'ai quitté la salle, ce qui est extrèmement rare. Ca ne s'est renouvelé depuis que pour La leçon de piano et J'aimerais pas crever un dimanche.Leopold Saroyan a écrit :Je suis attristé de voir que Lunes de Fiel soit si peu cité. Cette vision du couple et de l'amour n'aurait touchée que si peu de personnes?
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Le Polanski et le Campion.
Lunes de Fiel est un des films des années 90 dont la vision m'a procuré un choc terrible. C'est un des films qu'il m'ait été donné de voir qui retranscrit le mieux à mes yeux à quel point le sentiment amoureux peut être dévastateur.
Lunes de Fiel est un des films des années 90 dont la vision m'a procuré un choc terrible. C'est un des films qu'il m'ait été donné de voir qui retranscrit le mieux à mes yeux à quel point le sentiment amoureux peut être dévastateur.
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Psychologiquement, LUNES DE FIEL est sûrement le Polanski le plus dur (ce qui n'est pas peu dire quand on voit d'autres titres de sa filmo)...Leopold Saroyan a écrit :Le Polanski et le Campion.
Lunes de Fiel est un des films des années 90 dont la vision m'a procuré un choc terrible. C'est un des films qu'il m'ait été donné de voir qui retranscrit le mieux à mes yeux à quel point le sentiment amoureux peut être dévastateur.
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J'ai essayé pas mal de truc pour arriver à m'arracher des larmes, même le Tombeau des Lucioles n'y est pas parvenu.Beule a écrit :Juste l'un des deux ou trois films de ces dix-quinze dernières années que je n'ai tout simplement pas pu suivre jusqu'au bout tant je trouvais que tout sonnait faux, et, pardonne mes souvenirs, amateur : j'ai quitté la salle, ce qui est extrèmement rare. Ca ne s'est renouvelé depuis que pour La leçon de piano et J'aimerais pas crever un dimanche.Leopold Saroyan a écrit :Je suis attristé de voir que Lunes de Fiel soit si peu cité. Cette vision du couple et de l'amour n'aurait touchée que si peu de personnes?
Ce chef-d'oeuvre de Campion (oui sans unl dout je parle de chef-d'oeuvre), lui, m'a fait m'effondrer comme une merde, le talent de Campion, Hunter et surtout Nyman y étant pour quelque chose... mais je m'écarte du sujet, continuez