J'adorais ça étant gosse! Maintenant... heu...
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Re: J'adorais ça étant gosse! Maintenant... heu...
Ah mais je suis d'accord sur le fait que le Hugues est sensible et tout ça, je trouve juste que certaines scènes passent moins maintenant et font un peu remplissage et malheureusement, je n'ai pas éprouvé le même plaisir à quelques scènes près que lors de précédents visionnages il y a plus de 20 ans.
Mais je le répète, il garde mon capital sympathie et ca reste très cool à regarder, mais je l'ai montré à mon ainé et à mon épouse et j'avoue avoir été un peu embarrassé par moments alors que j'étais à la limite de leur avoir vendu la chose pour un chef d'oeuvre.
Mais je le répète, il garde mon capital sympathie et ca reste très cool à regarder, mais je l'ai montré à mon ainé et à mon épouse et j'avoue avoir été un peu embarrassé par moments alors que j'étais à la limite de leur avoir vendu la chose pour un chef d'oeuvre.
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Re: J'adorais ça étant gosse! Maintenant... heu...
Jamais entendu parler de ce film !gnome a écrit : ↑9 oct. 20, 12:23 Revu il y a peu et ça passe toujours bien.
Un film qui m'a fait une petite douche froide à la revoyure récemment, même s'il reste plaisant, c'est : La folle journée de Ferris Bueler. Il garde mon capital sympathie, mais il y a des lourdeurs, du remplissage qui passe moins bien.
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Re: J'adorais ça étant gosse! Maintenant... heu...
Je vais te dire pourquoi je rigole : je ris parce que, de loin en loin, sur ce forum, il me semble m'être rendu compte qu'il y avait une manière de petit culte récurrent dédié au réalisateur John Hugues. Pourquoi pas, je n'ai absolument rien contre lui mais c'est vraiment un réalisateur que j'ai ignoré toute mon existence (j'ai pas dit "dont j'ignorais l'existence"). Alors c'est peut-être un tort, peu importe mais je ris qu'il y ait un culte pour lui totalement mystérieux pour moi alors qu'en presque 40 ans, j'aurais pu avoir mille occasions de voir un de ses films.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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Re: J'adorais ça étant gosse! Maintenant... heu...
Essaie de voir Breakfast club. Sil y en a un à voir absolument...
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Re: J'adorais ça étant gosse! Maintenant... heu...
Ce n’est pas un tort. C’est simplement que tu es trop vieux. On peut (souvent) donner l’âge des gens à partir de leurs films cultes. Toi tu serais plutôt Rocky horror picture show que Ferris Bueller ou Breakfast club.Alexandre Angel a écrit : ↑9 oct. 20, 19:36
Je vais te dire pourquoi je rigole : je ris parce que, de loin en loin, sur ce forum, il me semble m'être rendu compte qu'il y avait une manière de petit culte récurrent dédié au réalisateur John Hugues. Pourquoi pas, je n'ai absolument rien contre lui mais c'est vraiment un réalisateur que j'ai ignoré toute mon existence (j'ai pas dit "dont j'ignorais l'existence"). Alors c'est peut-être un tort, peu importe mais je ris qu'il y ait un culte pour lui totalement mystérieux pour moi alors qu'en presque 40 ans, j'aurais pu avoir mille occasions de voir un de ses films.
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Re: J'adorais ça étant gosse! Maintenant... heu...
L'ayant revu il y a peu, j'ajouterais E.T à la liste des films qui vieillissent salement.
Découvert en salle : effrayé et ému. Le film semblait alors fluide, intouchable, en osmose avec le monde de l'enfance, ses sensations, émotions. Le revoir aujourd'hui, c'est constater l'absence d'enchantement, être témoin de son volontarisme à vouloir poétiser (ses élans à grand renfort musical, ses oeillades logo, image du vélo volant devant la Lune), sa grossiereté dans la manière de susciter l'émotion ( mort et résurrection de ET) , le merveilleux ((Elliot qui sauve les grenouilles et qui emballe la belle de la classe), navré par les touches d'humour (ET bourré, Elliot aussi). En un mot, ET, ça paraissait sans faille, un petit exploit pop. Aujourd'hui, c'est un peu navrant, très forcé, un truc qui ressemble à un bout de caoutchouc grotesque perdu dans un décor suburbain.
Découvert en salle : effrayé et ému. Le film semblait alors fluide, intouchable, en osmose avec le monde de l'enfance, ses sensations, émotions. Le revoir aujourd'hui, c'est constater l'absence d'enchantement, être témoin de son volontarisme à vouloir poétiser (ses élans à grand renfort musical, ses oeillades logo, image du vélo volant devant la Lune), sa grossiereté dans la manière de susciter l'émotion ( mort et résurrection de ET) , le merveilleux ((Elliot qui sauve les grenouilles et qui emballe la belle de la classe), navré par les touches d'humour (ET bourré, Elliot aussi). En un mot, ET, ça paraissait sans faille, un petit exploit pop. Aujourd'hui, c'est un peu navrant, très forcé, un truc qui ressemble à un bout de caoutchouc grotesque perdu dans un décor suburbain.
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Re: J'adorais ça étant gosse! Maintenant... heu...
M'enfin! J'avais 19 ans quand sort Breakfast Club : c'est pas très vieux. Comprends pas.Supfiction a écrit : ↑9 oct. 20, 21:34 Ce n’est pas un tort. C’est simplement que tu es trop vieux. On peut (souvent) donner l’âge des gens à partir de leurs films cultes. Toi tu serais plutôt Rocky horror picture show que Ferris Bueller ou Breakfast club.
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Re: J'adorais ça étant gosse! Maintenant... heu...
Si, c'est exactement ça. Moi j'avais 20 ans, et je n'ai jamais entendu parlé de celui-là non plus.Alexandre Angel a écrit : ↑9 oct. 20, 22:42M'enfin! J'avais 19 ans quand sort Breakfast Club : c'est pas très vieux. Comprends pas.Supfiction a écrit : ↑9 oct. 20, 21:34 Ce n’est pas un tort. C’est simplement que tu es trop vieux. On peut (souvent) donner l’âge des gens à partir de leurs films cultes. Toi tu serais plutôt Rocky horror picture show que Ferris Bueller ou Breakfast club.
Et je n'ai jamais aimé les histoires d'adolescents de toute façon. (à part Los olvidados évidemment)
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Re: J'adorais ça étant gosse! Maintenant... heu...
Oui, mais moi, c'est pas que je n'en ai jamais entendu parler et j'ai vu d'autres films avec des ados à l'époque (Goonies, Karate Kid, Youngblood).C'était encore un peu de mon âge. Je pourrais vouer un culte à Stand by me, par exemple. Je suis juste passé à côté des films de John Hughes sans que je me dise "tiens, si j'en voyais un".
Et ici, j'en entends souvent parler : les gens en placent dans les films du mois, il y a du y avoir une capture de quizz avec du John Hughes, etc... C'est ça que je trouve marrant.
Et ici, j'en entends souvent parler : les gens en placent dans les films du mois, il y a du y avoir une capture de quizz avec du John Hughes, etc... C'est ça que je trouve marrant.
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Re: J'adorais ça étant gosse! Maintenant... heu...
Quels sont les héritiers de Ferris Bueller ?Supfiction a écrit : ↑9 oct. 20, 17:30I love Ferris mais avec quels films « d’aujourd’hui » le compares tu ? Je pourrai par exemple citer Le monde de Charlie qui n’a rien à lui enlever en terme de sensibilité.
Je pense à des Supergrave (que j'adore parce que découvert au bon âge) et Project X (que j'ai détesté car découvert au mauvais âge) par exemple qui ont des thèmes très proches de Ferris.
Totalement d'accord avec ceci !G.T.O a écrit :Découvert en salle : effrayé et ému. Le film semblait alors fluide, intouchable, en osmose avec le monde de l'enfance, ses sensations, émotions. Le revoir aujourd'hui, c'est constater l'absence d'enchantement, être témoin de son volontarisme à vouloir poétiser (ses élans à grand renfort musical, ses oeillades logo, image du vélo volant devant la Lune), sa grossiereté dans la manière de susciter l'émotion ( mort et résurrection de ET) , le merveilleux ((Elliot qui sauve les grenouilles et qui emballe la belle de la classe), navré par les touches d'humour (ET bourré, Elliot aussi). En un mot, ET, ça paraissait sans faille, un petit exploit pop. Aujourd'hui, c'est un peu navrant, très forcé, un truc qui ressemble à un bout de caoutchouc grotesque perdu dans un décor suburbain.
Cet été avec mon assoc' on a diffusé en plein air le film sur le lac de mon village. Je l'avais revu quelques jours avant pour me préparer, et là je me suis dis "merde on va faire un flop terrible" et pourtant les gens ont ris quand il fallait rire et ont pleurer quand il le fallait. Va savoir...
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Re: J'adorais ça étant gosse! Maintenant... heu...
J’ai rien qui me vient là. L’époque est trop lourde et plus plus à la légèreté pour produire des Ferris Bueller et Mike Seaver.Sysy Imperator a écrit : ↑10 oct. 20, 22:17 Quels sont les héritiers de Ferris Bueller ?
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Par contre tu cites justement Apatow qui traite aussi sérieusement que John Hugues ses personnages d’adolescents (ou d’adolescents attardés).
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Re: J'adorais ça étant gosse! Maintenant... heu...
Vous me faites penser que "Wayne's World" que j'aimais tendrement, m'a assez salement rasé il y a quelques mois. (De même que MI2)
LU SUR FORUM A MONTRES : "(...) maintenant c'est clair que Festina c'est plus ce que c'était(...)"
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Re: J'adorais ça étant gosse! Maintenant... heu...
Wayne's World je l'ai revu il y a quelques années et je me suis marré comme un cochon devant le premier. Par contre le deuxième pas un sourire...
Oui mais il se jette dans la vulgarité et manque de moments "sérieux"Supfiction a écrit : ↑10 oct. 20, 22:52Par contre tu cites justement Apatow qui traite aussi sérieusement que John Hugues ses personnages d’adolescents (ou d’adolescents attardés).
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Re: J'adorais ça étant gosse! Maintenant... heu...
Haha, je m'étais bien bidonné devant le deuxième ! surtout le moment où Jim Morrisson apparaît devant les deux gugusses en rade d'Aerosmith pour la venue desquels ils avaient tout organisé comme des malades dans leur petit patelin : "Calmos les les mecs, l'essentiel c'est que vous ayez tout fait pour aller au bout de vos rêves". Je me le serais bien acheté, mais comme j'ai fourgué le 1, ça ferait bizarre dans ma vidéothèque.Sysy Imperator a écrit : ↑11 oct. 20, 10:48 Wayne's World je l'ai revu il y a quelques années et je me suis marré comme un cochon devant le premier. Par contre le deuxième pas un sourire...
LU SUR FORUM A MONTRES : "(...) maintenant c'est clair que Festina c'est plus ce que c'était(...)"
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Re: J'adorais ça étant gosse! Maintenant... heu...
Peut-être le plus beau film d'ados jamais vu... quand tu le vois, tu comprends qu'il a été réalisé pour toi
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