Ah ça ! Pour semer la zizanie, tu n'es pas le dernierVISCONTIEN a écrit :Si j'aurais su...
Saraband (Ingmar Bergman - 2004)
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Bon on va pas tergiverser ce film est un chef-d'oeuvre absolu. Une oeuvre d'une personnalité et d'une sincérité à toute épreuves, une heure quanrante-cinq d'émotions, de rires, de tendresse d'effarement, une heure quarante-cinq de cinéma dans son état le plus pur. Un film en état de grâce, une oeuvre magique.
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C'est bien.MJ a écrit :Bon on va pas tergiverser ce film est un chef-d'oeuvre absolu. Une oeuvre d'une personnalité et d'une sincérité à toute épreuves, une heure quanrante-cinq d'émotions, de rires, de tendresse d'effarement, une heure quarante-cinq de cinéma dans son état le plus pur. Un film en état de grâce, une oeuvre magique.
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Trés bien dit. Ca me fait penser que je n'ai toujours pas le DVD (tout comme Ghost In The Shell 2 Innocence, autre film sublime de l'année 2004).MJ a écrit :Bon on va pas tergiverser ce film est un chef-d'oeuvre absolu. Une oeuvre d'une personnalité et d'une sincérité à toute épreuves, une heure quanrante-cinq d'émotions, de rires, de tendresse d'effarement, une heure quarante-cinq de cinéma dans son état le plus pur. Un film en état de grâce, une oeuvre magique.
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Il a été diffusé pour la première fois à la télévision suèdoise le 1er décembre 2003 mais il n'est sorti au cinéma en France que le 15 décembre 2004 (diffusé sur Arté le 14). Personnellement je l'ai vu le 14 janvier 2005 en projection numérique HD (la première à laquelle j'assistai).Jack Griffin a écrit :On compte l'année de jour de sortie en france.MJ a écrit :Selon IMDB c'est 2003, mais enfin on va pas en faire tout un fromage.
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De rires?MJ a écrit :Bon on va pas tergiverser ce film est un chef-d'oeuvre absolu. Une oeuvre d'une personnalité et d'une sincérité à toute épreuves, une heure quanrante-cinq d'émotions, de rires, de tendresse d'effarement, une heure quarante-cinq de cinéma dans son état le plus pur. Un film en état de grâce, une oeuvre magique.
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Je viens de réaliser que mes propos peuvent être très mal compris (qui a dit comme d'habitude? ). Il s'agit plus d'une tendresse qui amuse et qui fait sourire que d'une hilarité quelconque.Ouf le nase qui doublonne a écrit :De rires?
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Saraband d'Ingmar Bergman. Bam j'ai enchaîné sur un deuxième chef-d'oeuvre. Bergman livre un espèce de resumé de toute son oeuvre (du moins ce que j'en connais) sans pour autant se répéter ou paraître artificiel. C'est sublime dans sa simplicité, dans son regard sur ses relations familiales déchirantes et terribles. J'ai adoré comment le personnage de Marianne faisait office de témoin de cette implosion familiale et comment à travers elle, Bergman souffrait avec eux. Le réalisateur montre encore un superbe talent visuel (la scène où Karin court dans la forêt, c'est presque rien mais c'est sublime de sensibilité). Seul l'iruption de l'inceste entre Karin et son père m'a un peu gêné car je l'ai trouvé un chouïa deplacé. Mais c'est absolument mineur comparé à l'enchantement que constitue le film. La dernière scène du film m'a touché au plus profond car c'est la dernière scène qu'il ait filmé de sa vie et c'est une scène de retrouvaille, de liens retrouvés qui passe outre toutes les horreurs que les relations humaines peuvent contenir. Comme si Bergman lui même avait réussi à force de triturer et disséquer l'humain à retrouver la véritable signification d'une caresse sur une joue. C'est beau au delà de tout. Bergman était décidement l'un des plus grands.