O'Malley a écrit :Bonne nouvelle... en tout cas meilleur que celle annonçant la reprise de la série Panthère rose avec Steve Martin...
Aucune annonce de fim avec Steve Martin ne saurait etre une mauvaise nouvelle, chenapan !
Momo
styx a écrit :Je comprends pas grand chose à vos salades, mais vous avez l'air bien sur de vous, donc zetes plus à même hein de parler, de sacrés rigolos que vous faites en fait, merde ça rime lourd là, je vais éditer. mdr
La plus ironique et sans doute la plus cruelle des comédies eighties d'Edwards, le rire restant constamment bridé par l'émotion que suscite le postulat de départ: Julie Andrews est peut être atteinte d'une tumeur maligne de la gorge, mais se tait et fait face le temps d'un week end pour répondre aux tergiversations et résoudre les petits troubles de toute sa smala familiale. De film en film, après Elle et Micky & Maude, Edwards donne l'impression touchante de se livrer un peu plus à chaque fois dans son parcours d'homme; ici en architecte vieillissant et immature, sous les traits d'un Jack Lemmon déchaîné en pathétique sexagénaire hypocondriaque et égocentrique.
Une merveille douce-amère.
La plus ironique et sans doute la plus cruelle des comédies eighties d'Edwards, le rire restant constamment bridé par l'émotion que suscite le postulat de départ: Julie Andrews est peut être atteinte d'une tumeur maligne de la gorge, mais se tait et fait face le temps d'un week end pour répondre aux tergiversations et résoudre les petits troubles de toute sa smala familiale. De film en film, après Elle et Micky & Maude, Edwards donne l'impression touchante de se livrer un peu plus à chaque fois dans son parcours d'homme; ici en architecte vieillissant et immature, sous les traits d'un Jack Lemmon déchaîné en pathétique sexagénaire hypocondriaque et égocentrique.
Une merveille douce-amère.
D'accord à 100 %. Il s'agit même de mon Blake Edwards préféré
J'ai un souvenir assez pénible de That's Life (vu lors de sa sortie en salle) sans doute parce que j'étais incapable de m'intéresser à des personnages vivant dans un monde aussi artificiel...
Unité Ogami Ittô
Withdrawing in disgust is not the same thing as apathy.
vic a écrit :J'ai un souvenir assez pénible de That's Life (vu lors de sa sortie en salle) sans doute parce que j'étais incapable de m'intéresser à des personnages vivant dans un monde aussi artificiel...
Ah ça Mais l'artifice y est justement brocardé avec une ironie au moins aussi mordante que dans S.O.B.
Et puis, dis, The heroïc ones, ça ne respire pas l'artifice à tous les étages?
Ayant partiellement comblé mes grosses lacunes cette semaine je me décide:
1 Victor Victoria
2 Diamants sur canapé
3 La party
4 S.O.B.
5 Le jour du vin et des roses
L'ordre de classement des trois premiers est purement anecdotique tant les films explorent chacun à leur façon les différents courants de la filmo comédie d'Edwards. Renouvellement du burlesque par le délire destructeur s'accompagnant d'une peinture au vitriol du microcosme hollywoodien (La Party), projections personnelles feutrées (l'instabilité, le manque de confiance et les félures latentes du jeune couple de Diamants sur canapé annoncent déjà les developpements ultérieurs, croqués à l'eau-forte de Ten ou That's life! ) et le souci de conserver cette réserve formelle d'une élégante sans pareille héritée des grands classiques jusque dans la mise en scène des situations les plus extravagantes et les plus transgressives (Victor Victoria, par ailleurs aussi un vrai sommet de la comédie musicale).
J'ai découvert il y a peu Breakfast at Tiffany's (oui je sais, j'ai honte) et depuis, je suis littéralement amoureux d'Audrey Hepburn.
Et j'ai acheté le dvd dans la foulée tant ce film m'a touché.
Mais il m'est difficile de faire un top Edwards étant donné que je n'ai vu que 4 de ses films...m'enfin bon, meme si c'est trop tard, je vais le faire quand meme (et puis ça me fait plaisir ) :
1. Breakfast at Tiffany's
2. The Party
3. Victor Victoria
4. Boires et Déboires