Commentaires à propos de votre film du mois

[Roilo Pintu]

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Mon top 5 d'Octobre

1/ New York Stories - Martin Scorsese, Francis Ford Coppola, Woody Allen (1989)

Il y a enfin un BR pour revoir ce film ?

Non! Vu en DVD, acheté d'occasion il y a peu.

[C2302t]

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Film d'août : la grande fanfare de John Ford

En fait c'est la dernière..

Oui effectivement.

[Flavia]

J'ai été très émue en découvrant ce film bouleversant, il passe actuellement sur Ciné+Classic et je le recommande vivement.



La merveilleuse histoire de Mandy

[Jack Carter]

Film du mois (provisoire)

[John Holden]

Film du mois (provisoire)

Je trouve même que 7/10 c'est une note modeste.

[vic]

OCTOBRE 2022

l'homme au crâne rasé (andré delvaux, 1965)


la grande ville (satyajit ray, 1963)


une auberge à osaka (heinosuke gosho, 1954)


room for let (yuzo kawashima, 1959)


yokohama bj blues (eiichi kudo, 1981)


l'homme n'est pas un oiseau (dusan makavejev, 1965)


tora-san 24 : l'américain (yoji yamada, 1979)

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epitome (kaneto shindo, 1953)
tora-san 22 : elle court, elle court la rumeur (yoji yamada, 1978)
une auberge à osaka (heinosuke gosho, 1954)
room for let (yuzo kawashima, 1959)
bajirao mastani (sanjay leela bhansali, 2015 )
shinobi no mono 3 : resurrection (kazuo mori, 1963)
borga (york-fabian raabe, 2021)
x: night of vengeance (jon hewitt, 2011)
(re) le bal de la famille anjo (kozaburo yoshimura, 1947)
la ballade de tsugaru (koichi saito, 1973)
l'homme n'est pas un oiseau (dusan makavejev, 1965)
tora-san 23 : tora-san ange gardien (yoji yamada, 1979)
les baisers (yasuzo masumura, 1957)
la grande ville (satyajit ray, 1963)
yokohama bj blues (eiichi kudo, 1981)
on-gaku : notre rock ! (kenji iwaisawa , 2020)
le lâche (satyajit ray, 1965)
tora-san 24 : l'américain (yoji yamada, 1979)
(re) the descent (neil marshall, 2005)
l'homme au crâne rasé (andré delvaux, 1965)

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[Beule]

Je trouve même que 7/10 c'est une note modeste.

Ces derniers temps je réfrène un peu mes ardeurs à la découverte, quitte à réévaluer par la suite. Mes derniers films du mois culminaient aussi à 7 . Bon, de toute façon je ne sais décidément pas noter... Mais il est certain qu'il lorgne plutôt vers l'étage supérieur et qu'il s'inscrit d'emblée assez haut dans mon palmarès De Sica, mais derrière les intouchables La Ciociara ou Umberto D. Au même titre que le Loteanu d'hier c'est un vrai coup de cœur, et un titre qui comptera assurément dans mon parcours naphta de l'année

OCTOBRE 2022
yokohama bj blues (eiichi kudo, 1981)

En voilà bien un autre de gros coup de cœur 2022 .

[-magik-]

Bilan d'octobre :

1. FILM DU MOIS : Trilogie "Love" : Chained / Beloved / Stripped (Yaron Shani - 2020)



2. Un autre monde (Stéphane Brizé - 2022)



3. Earwig (Lucile Hadzihalilovic - sortie en 2023)



4. Hellraiser : le pacte (Clive Barker - 1988)



Et aussi :

Les Passagers de la nuit (Mikhaël Hers - 2022)
Le Voyeur (Michael Powell - 1960)

RÉVISION DU MOIS : Ni dieux ni démons (Gods and monsters) (Bill Condon - 1999)



LA CATASTROPHE DU MOIS : The Munsters (Rob Zombie - 2022)




Et un premier candidat pour novembre avec le premier film de Joachim Trier, Nouvelle donne (Reprise) :

[Rick Blaine]

Mon premier candidat du mois avec Antonio De La Torre, l'un des meilleurs acteurs de notre époque, encore impressionnant dans l'excellent Entre la vie et la mort, digne héritier du polar italien, efficace et nerveux.

[El Dadal]

Film du mois



Russia 1985-1999: TraumaZone (Adam Curtis)

Ça se voit où ?

[Flol]

J'ai été très émue en découvrant ce film bouleversant, il passe actuellement sur Ciné+Classic et je le recommande vivement.



La merveilleuse histoire de Mandy

Merci pour la mise en avant, c'est rajouté à ma playlist (et en plus, il dure moins de 90mn ).

[MJ]

Ça se voit où ?

Les sept épisodes sont sur YT en tapant le titre (où c'est dispo comme tous les Curtis, sauf erreur). A mon sens, son chef-d'oeuvre, avec un matériau derrière lequel il s'efface et qui l'a poussé à épurer sa manière de certains de ses défauts habituels (le recours répétitif aux mêmes archives comme rappel illustratif, par exemple). Même en s'attendant au pire (ou au "meilleur" voyeuriste) en ayant une certaine familiarité théorique avec la période, c'est à peine croyable à bien des moments.
Fun fact : c'est tiré de 10'000 heures d'images de la BBC en alors- puis ex-U.R.S.S. entre les 80's/90's, numérisées par leur aile moscovite, et y jeter un oeil n'intéressait paraît-il personne au sein de la chaîne sauf celui qui en a fait ce film.

[Lohmann]

Ça se voit où ?

Les sept épisodes sont sur YT en tapant le titre (où c'est dispo comme tous les Curtis, sauf erreur). A mon sens, son chef-d'oeuvre, avec un matériau derrière lequel il s'efface et qui l'a poussé à épurer sa manière de certains de ses défauts habituels (le recours répétitif aux mêmes archives comme rappel illustratif, par exemple). Même en s'attendant au pire (ou au "meilleur" voyeuriste) en ayant une certaine familiarité théorique avec la période, c'est à peine croyable à bien des moments.
Fun fact : c'est tiré de 10'000 heures d'images de la BBC en alors- puis ex-U.R.S.S. entre les 80's/90's, numérisées par leur aile moscovite, et y jeter un oeil n'intéressait paraît-il personne au sein de la chaîne sauf celui qui en a fait ce film.

Tu recommandes quoi du même auteur ?

[MJ]

Tu recommandes quoi du même auteur ?

Hypernormalisation en premier lieu - et Bitter Lake si t'as aussi une fascination malsaine pour l'Afghanistan.

The Century of the Self, The Trap et Can't get you out of my head valent la peine, si son approche te convainc.

[Lohmann]

Tu recommandes quoi du même auteur ?

Hypernormalisation en premier lieu - et Bitter Lake si t'as aussi une fascination malsaine pour l'Afghanistan.

The Century of the Self, The Trap et Can't get you out of my head valent la peine, si son approche te convainc.

Je note ça, merci !