Commentaires à propos de votre film du mois

[John Holden]

Mois terminé également pour cause de Festival international online du Court-métrage de Clermont Ferrand jusqu'au 6 Février.
Le Top 5 :

La Maison du mystère…Alexandre Volkoff (1923) [Henri-Cinémathèque en ligne]

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Dieu seul me voit (Version "interminable" avec 6 épisodes)...Bruno Podalydès (2007)

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Chilly Scenes of Winter…Joan Micklin Silver (1979)

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The Criminal…Joseph Losey (1960) [TCM]

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Un ragazzo di Calabria (Un enfant de Calabre)…Luigi Comencini (1987) [Ciné+]

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[Flavia]

Film du mois

Aliens, le retour (1986 - James Cameron)



Comme une image (2004 - Agnès Jaoui)



L'adieu (2019 - Lulu Wang)



La belle époque (2019 - Nicolas Bedos)



Seules les bêtes (2019 - Dominik Moll)



Justice sauvage (1973 - Phil Karlson)



Tueur d'élite (1975 - Sam Peckinpah)

[7swans]

FILM DU MOIS :
What Happened Was - Tom Noonan (1994)


Films vus et revus en janvier :

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FILMS :
(-) Nostalgia - Mark Pellington (2018) : 5/10
(-) The Gun in Betty Lou's Handbag - Allan Moyle (1992) : 6.5/10
(-) What Happened Was - Tom Noonan (1994) : 7/10
(-) Travolta et moi - Patricia Mazuy (1994) : 7/10
(-) Jailbait - Allan Moyle (2000) : 2/10
(-) Denial - Adam Rifkin (1998) : 4/10
(-) 3615 Code Père Noël - René Manzor (1989) : 5/10
(-) Kuffs - Bruce A. Evans (1992) : 5.5/10
(-) Julian Po - Alan Wade (1997) : 4/10
(o) The Addiction - Abel Ferrara (1995) : 5.5/10

RE :
(a) Cuisine et Dépendances - Philippe Muyl (1993) : 7.5/10

[MJ]

1. Une chambre en ville (Jacques Demy)



2. Le Déjeuner sur l'Herbe (Jean Renoir)



3. Model Shop (Jacques Demy)



4. Les Noces Rouges (Claude Chabrol)



5. Documenteur (Agnès Varda)



Alerte cocorico. Mentions quand même à La Baie des Anges d'un Demy qui semble s'essayer (et parvenir) à le faire à la Bresson, au Pinocchio débraillé de Comencini, à un Waters féroce, mais affectueux aussi comme le sont certains de ses titres plus grands public (Serial Mom), et un Citizenfour dont je n'attendais pas l'élégance de la tenue (faudrait que je voie les autres docus de Lauren Poitras, mais Soderbergh en producteur n'y est probablement pas pour rien, de même plus sûrement encore que la photo de Kirsten Johnson).

[ed]

Circonstances aidant, 43 films ce mois-ci (premier mois à plus de 30 films depuis au moins 6 ans), avec pas mal de variété et de découvertes de classiques que j'avais jusqu'ici curieusement ratés (y compris certains à côté desquels je suis complètement passé, désolé Marcel...)
Je retiendrai 7 films, émouvants, marquants ou drôles.

D'abord

Puis


Le détail est ici

[John Holden]

Un joli tiercé gagnant !

[Profondo Rosso]

Film du mois

1 Un été chez grand-père de Hou Hsiao-hsien



2 The Catch de Shinji Somai



3 Les Garçon de Fengkuei de Hou Hsiao-hsien



4 La Vallée de la peur de Raoul Walsh



5 Stunt Woman de Ann Hui



6 Un temps pour vivre, un temps pour mourir de Hou Hsiao-hsien



7 Midi gare centrale de Rudolp Maté

[cinéfile]

TOP DECOUVERTES JANVIER 2021 :


1. On connait la chanson (Resnais, 1997)


2. Daguerréotypes (Varda, 1975)


3. Lucía y el Sexo (Medem, 2001)


4. Las Hijas de Abril / Les filles d'Avril (Franco, 2017)


5. Tetro (Coppola, 2009)

REDECOUVERTE NOTABLE :


Sisters (De Palma, 1973)

Bilan rapide :

Un top à l'accent franco-hispanique (la langue de Shakespeare devrait revenir en force dans les mois qui viennent).

Mois marqué par la disparition de JP Bacri, auquel j'ai consacré trois découvertes :
- un enchantement absolu (On connait la chanson) qui mêle tradition française du dialogue spirituel/existentiel et les expérimentations formelles (touche Resnais). Dussollier y est particulièrement irrésistible et forme un duo étonnant et plein de tendresse avec Bacri, excellent lui-aussi.
- une belle surprise avec Adieu Gary, fable social de groupe (un peu à la Guédiguian), elliptique et élégamment stylisée, touchant presque au surnaturel par moments.
- une terrible déception, Le Goût des Autres, œuvre inerte, artificielle, excessivement caricaturale - et donc assez horripilante en ce qui me concerne - malgré un derniers tiers qui rattrape un peu le coup. Je sauverais Anne Alvaro et un peu Jaoui. Tout le contraire du Resnais au-dessus.

Première incursion dans la veine "docu/autofiction" de Varda avec l'excellent Daguéréotypes. A la fois charmant, modeste et riche d’enseignements historico-sociologiques.

Une réussite de Julio Medem (Lucía y el sexo), toujours sur le fil du rasoir avec ce ton caractéristique associant sophistication narrative et élan cosmique (suis pas fan de l'image digitale en plus), mais qui s'avère très poignant au final.

Las Hijas de Abril marque une "accalmie" (relative) dans la filmographie éprouvante du mexicain Michel Franco. Emma Suárez est une nouvelle fois splendide dans un rôle ambigu.

Et puis enfin, un beau film d'expatrié pour Coppola (Tetro), souvent touchant (et un peu maladroit quelques fois), qui investit pleinement les lieux, laisse exploser un formalisme jamais stérile et s’entoure d'un très bon trio d'acteurs.

[Jeremy Fox]

42 films dont un quinté à 80% français. Sinon j'aime beaucoup les choix "cocorico" de MJ.













Le résumé :

* Je suis un aventurier (The Far Country) : Anthony Mann 1954 : 9.5/10

* Adolescentes : Sebastien Lifshitz 2020 : 8.5/10
* Les Invisibles : Sebastien Lifshitz 2011 : 8.5/10

* L'homme qui aimait les femmes : François Truffaut 1976 : 8/10
* Le Petit Soldat : Jean-Luc Godard 1960 : 8/10
* L'histoire d'Adèle H : François Truffaut 1975 : 8/10
* Si tu tends l'oreille (Mimi o sumaseba) : Yoshifumi Kondo 1995 : 8/10

* Un Air de famille : Cedric Klapisch 1996 : 7.5/10
* Mélo : Alain Resnais 1986 : 7.5/10

* L'été en pente douce : Gérard Krawczyk 1987 : 7/10
* Les Petites Chéries (Little Darlings) : Robert F. Maxwell 1980 : 7/10
* Josepha : Christopher Frank 1982 : 7/10
* Céline : Jean-Claude Brisseau 1992 : 7/10
* Police : Anne Fontaine 2020 : 7/10
* Le Mystère Von Bulow (Reversal of Fortune) : Barbet Schroeder 1990 : 7/10
* La Femme d'à côté : François Truffaut 1981 : 7/10

* Le Daim : Quentin Dupieux 2019 : 6.5/10
* Il Bidone : Federico Fellini 1955 : 6.5/10
* Un shérif à la page (Singing Guns) : Singing Guns 1950 : 6.5/10
* Tout de suite maintenant : Pascal Bonitzer 2016 : 6.5/10
* Il Medico della mutua : Luigi Zampa 1968 : 6.5/10
* La Part du feu : Etienne Perier 1978 : 6.5/10
* L'enfant sauvage : François Truffaut 1969 : 6.5/10
* Vivement dimanche : François Truffaut 1984 : 6.5/10
* Les Sentiments : Noémie Lvovsky 2003 : 6.5/10

* Adieu Gary : Nassim Amaouche 2009 : 6/10
* L'attentat : Yves Boisset 1972 : 6/10
* Du haut de la terrasse (From the Terrace) : Mark Robson 1960 : 6/10
* La Chambre verte : François Truffaut 1978 : 6/10
* Themroc : Claude Faraldo 1973 : 6/10
* La Nuit des juges (The Star Chamber) : Peter Hyams 1983 : 6/10

* La Baules les Pins : Diane Kurys 1990 : 5.5/10
* Billie : James Erskine 2020) : 5.5/10
* Dans la souricière (The Trap) : Norman Panama 1959 : 5.5/10
* L'Homme au complet gris (The Man in the Gray Flannel Suit) : Nunnally Johnson 1956 : 5.5/10

* Les Marins de l'Orgueilleux (Down to the sea in ships) : Henry Hathaway 1949 : 5/10
* Je veux juste en finir ( I'm Thinking of Ending Things) : Charlie Kaufman 2020 : 5/10

* Cyclone à la Jamaïque (A High Wind in Jamaica) : Alexander Mackendrick 1965 : 4/10
* The Climb : Michael Angelo Covino 2020 : 4/10

* Tenet : Christopher Nolan 2020 : 3.5/10

* Le Démon des eaux troubles (Hell and High Water) : Samuel Fuller 1954 : 3/10

* La Boum 2 : Claude Pinoteau 1982 : 1.5/10

[Rick Blaine]

Le formidable polar de Steno, un De broca des plus réjouissant, et un second excellent polar italien sur le podium du mois.

Le mois complet :

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Films découverts ou redécouverts :

Société anonyme anti-crime (La Polizia Ringrazia), de Steno (1972) : 9,5/10

Un monsieur de compagnie, de Philippe de Broca (1964) : 8,5/10

La Police au service du citoyen (La polizia al servizio del cittadino), Romolo Guerrieri (1973) : 8/10

Les yeux bandés (Blindfold), de Philip Dunne (1966) : 7,5/10
Les conquérants d'un nouveau monde (Unconquered), de Cecil B. Demille (1947) : 7,5/10

La Montagne d'argent (Ginrei no hate), de Senkichi Taniguchi (1947) : 7/10
Le chaud lapin, de Pascal Thomas (1974) : 7/10
Landru, de Claude Chabrol (1963) : 7/10
Il bidone, de Federico Fellini (1956) : 7/10

Des fleurs pour un espion (Le spie amano i fiori), de Umberto Lenzi (1966) : 6,5/10

Le grand bazar, de Claude Zidi (1973) : 6/10

The Climb, de Michael Angelo Covino (2020) : 5/10

Le chevalier du château maudit (Il cavaliere del castello maledetto), de Mario Costa (1959) : 4/10
Opération Re Mida (Lucky, el intrépido), de Jess Franco (1967) : 4/10

Films revus : Hors compétition :

Rio Grande, de John Ford (1950) : 8/10
Cuisine Et Dependances, de Philippe Muyl (1992) : 8/10

[Boubakar]

Mon classement du mois :

1 - Nous nous sommes tant aimés

2 - Fucking Amal

3 - Dernier amour

4 - La colline de l'adieu

5 - Les deux anglaises et le continent

[7swans]

3 - Dernier amour

Je vais me prendre le blu-ray de celui là.

[Alexandre Angel]

PODIUM DE JANVIER

1-


2- L'Anglaise et le Duc (Eric Rohmer, 2001)

3-

[Tom Peeping]

J'ai vu en janvier



*** excellent / ** bon / * moyen / 0 mauvais / NS ne sait

They'll love me when I'm dead (Morgan Neville, 2018) **
Ce documentaire sur le tournage confus du dernier film - jamais sorti à l'époque - d'Orson Welles, "The other side of the wind" (1970-1976), permet de voir l'immense réalisateur au travail dans des conditions difficiles, alors qu'il est lui-même dans la détresse morale et physique. Les images sont rudes mais émouvantes, entre John Huston acteur qui semble perdu et le fidèle Peter Boganovich dépassé. Un document crépusculaire. Netflix

Moffie (Olivier Hermanus, 2019) *
En 1981 dans l'Afrique du Sud de l'Apartheid, un adolescent doit faire son entrainement militaire dans un camp à la frontière angolaise alors les deux pays sont en conflit. La brutalité des comportements d'humiliation et la virilité proclamée rythment de façon répétitive tout le film dont la seule autre piste narrative est celle de la montée du désir du garçon pour un autre. C'est beau mais la retenue de l'ensemble tape vite sur le système. BR UK

Suez (Allan Dwan, 1938) **
La création du canal de Suez à travers l'histoire de son inventeur, Ferdinand de Lesseps. Un mélodrame historico-biographique typique de l'Hollywood des Thirties qui mêle allègrement la politique internationale et les affaires de coeur d'un trio de séduisantes vedettes : Tyrone Power au sommet de son charme, Loretta Young et Annabella. Les séquences des explosions et de la tempête des sables restent impressionnantes. BR ES

Greenland (Ric Roman Waugh, 2020) **
Un couple séparé (Gerard Butler et Morena Baccarin) se retrouve avec son jeune fils pour se mettre à l'abri alors qu'une comète va frapper la Terre. Un film-catastrophe pas mal du tout, centré sur les personnages plus que sur les effets spéciaux. Du coup, il y a un supplément d'âme surprenant dans ce genre codifié et malgré quelques coïncidences obligées, on se prend à s'attacher à cette famille plongée dans le chaos. BR BE

Panique dans la rue / Panic in the streets (Elia Kazan, 1950) ***
A la Nouvelle-Orléans, l'autopsie d'un homme assassiné lié à la pègre révèle qu'il avait la peste. Un médecin et un policier traquent ses tueurs pour éviter une épidémie. Un excellent scénario de Film Noir où la poursuite est sanitaire - la recherche des cas contacts - et non criminelle. Le décor naturel du port et la superbe photo N&B servent la mise en scène dynamique où Richard Widmark, Zero Mostel et Jack Palance (génial) étincellent. BR UK

Le pirate / The pirate (Vincente Minnelli, 1948) ***
Dans les Caraïbes, un acteur s'éprend d'une jeune fille promise au maire de sa ville. Un Musical expérimental, dont le scénario basé sur la confusion d'identités est prétexte à une sorte de film d'art en gesticulations et en Technicolor où le jeu des acteurs (Judy Garland et Gene Kelly, fascinants) frise l'hystérie dans un décor d'opérette. Le score de Cole Porter mêle l'excellent ("Mack the Black", "Be a Clown") et le dispensable. On adore ou déteste. BR US

Nous étions un seul homme (Philippe Vallois, 1979) **
En 1943 dans la campagne landaise, un simple d'esprit recueille dans sa ferme un soldat allemand blessé. Un classique pionnier du cinéma gay qui n'est pas du tout le récit d'une attraction homosexuelle mais celui du pansement de deux solitudes. Cette approche et l'aspect naturaliste du film, petit budget évident, lui donnent le ton original d'une tragédie solaire. Serge Avédikian, Piotr Stanislas et Catherine Albin sont formidables. DVD Z2 FR

Les voyages de Sullivan / Sullivan's travels (Preston Sturges, 1941) *** Mon film du mois
Un réalisateur de Hollywood qui veut faire un film sur les miséreux de l'Amérique s'immerge dans leur milieu, accompagné d'une aspirante actrice. Inclassable panaché de comédie, de film social, de romance et de drame, un des chefs-d'oeuvre des Forties, jalonné des séquences audacieuses et magnifiques, chacune dans leur genre. Dans le luxe ou les bas-fonds, Joel McCrea et Veronica Lake forment un duo au charme fou. BR UK

[Major Tom]

Janvier 2021

Le top :



Le (presque) tout :
(je ne mentionne pas les films arrêtés à mi-chemin -il y en a un un paquet hélas-, ceux que j'ai simplement déjà oublié d'avoir vus, ni les séries que je re-re-re-vois lors des repas du midi ou du soir)

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FILMS VUS / FILMS REVUS

• Eyes Wide Shut (Stanley Kubrick) 10 / 10
  The Shining (Stanley Kubrick) 10 / 10

• À la poursuite d'Octobre rouge (John McTiernan) 9 / 10
  Pour toi j'ai tué (Robert Siodmak) 9 / 10
  Katie Tippel (Paul Verhoeven) 9 / 10
  Evil Dead 2 (Sam Raimi) 9 / 10

• Chilly Scenes of Winter (Joan Micklin Silver) 8 / 10
  Adolescentes (Sébastien Lifshitz) 8 / 10
  Alfred le Grand, vainqueur des Vikings (Clive Donner) 8 / 10
  Les Grandes gueules (Robert Enrico) 8 / 10
  La Neuvième porte (Roman Polanski) 8 / 10
  La Peur au ventre (Wayne Kramer) 8 / 10
  Piranhas (Joe Dante) 8 / 10

• Droit de passage (Wayne Kramer) 7 / 10
  Zuckerbrot und Peitsche (Marran Gosov) 7 / 10
  Le Retour de la panthère rose (Blake Edwards) 7 / 10

• Arès (Jean-Patrick Benes) 6 / 10
  Chant de Manchouk (Majyt Begaline) 6 / 10 (Festival du Film Kazakhstanais)

• Arès (Jean-Patrick Benes) 5 / 10

• Piranha 2 : Les Tueurs volants (James Cameron) Bon, ça c'est fait / 10

• Wife's Sexual Fantasy Before Husband's Eyes (Masaru Konuma) Parce qu'il ne faut pas mourir inculte / 10

Déception du mois :

• Que vienne la nuit (Otto Preminger) Je n'ose même pas mettre de note / 10
  Avec son casting 5 étoiles (Michael Caine, Jane Fonda, Faye Dunaway, John Phillip Law, et Otto Preminger à la réal'), j'aurais voulu l'aimer, ce film. Les critiques US, découvertes après la vision du film, n'ont fait que confirmer mon ressenti. Un film maladroit qui vieillit très mal (oh, il ne faut pas que la "woke generation" y jette un œil), très long et parfois ridicule (la scène de la fellation du saxophone de Caine par Jane Fonda, je préfère retourner devant Wife's Sexual Fantasy Before Husband's Eyes).