Merci le quizz de Demi-Lune.

Polar racontant grosso modo tout ce qui allait survenir sous Thatcher, d'où son statut culte de l'autre côté de la Manche.
Karras wrote:Top 5 du mois de juin

Voilà qui me fait très plaisir, un polar newyorkais préfigurant le cinéma de Gray (et qui personnellement me touche plus que les Gray mafieux). Il a peut être quelques baisses de régime, Oldman en fait parfois trop dans le registre Johnny Boy mais certaines scènes laissent une trace durable (les retrouvailles Penn/Wright...).
Rick Blaine wrote:
Risi au dessus du lot ce mois ci
« Chaque film a une formule chimique qui lui est propre. Le Fanfaron jaillit d'un excellent alambic, où tous les éléments s'étaient facilement fondus. L'amalgame de mon personnage (un jeune type agressif et peu scrupuleux) avec la mélancolie et la réserve de Jean-Louis Trintignant fit merveille ; le symbole de la vrombissante voiture de sport qui lançait notre tandem sur les routes d'une Italie au comble du miracle économique, de la folie immobilière et des chansons, du boom et de la vulgarité, fut également efficace. » (Vittorio Gassman)
Alexandre Angel wrote:
2-
Sacré morceau de cinéma appartenant au club des meilleurs films d'auteur asiatiques de la période mêlant l'intime et les grande histoire (
La Cité des douleurs,
Song of the Exile,
Vivre!,
Peppermint Candy,
Platform).
Quant à moi:
mois très disputé bourré de sacrées découvertes, Le Comencini/Sordi (
Le Commissaire), avec son mélange de farce et de mélancolie, a longtemps été favori avant d'être détrôné sur le fil par le brillant huis clos de Duvivier (
Marie-Octobre).