Et je suppose que tu as dû voir le teaser du nouveau Malick au tournage imminent sur la vie de Jésus Pierre et Satan... :Major Tom a écrit :
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Et je suppose que tu as dû voir le teaser du nouveau Malick au tournage imminent sur la vie de Jésus Pierre et Satan... :Major Tom a écrit :
Justement, je trouve que ça rajoute à la drôlerie de la chose.Alexandre Angel a écrit :même si il y a comme un défaut d'incarnation
Bah il y a des sites qui transforment des textes en voix, le plus pratique ça doit être celui-là qui fait plusieurs langues différentes : https://www.naturalreaders.com/onlineAlexandre Angel a écrit :J'aimerais bien que tu m'expliques un de ces quatre comment tu fais pour les voix! C'est trop épatant même si il y a comme un défaut d'incarnation
Tu vois : rien que ça ,je comprends rienMajor Tom a écrit :Je ne convertis même pas en MP3, je fais lecture une fois et j'enregistre directement
J'ai pourtant essayé de faire simple. En tout cas c'est pratique ce genre de site. En cinq minutes, on peut faire dire certaines choses...Alexandre Angel a écrit :Tu vois : rien que ça ,je comprends rienMajor Tom a écrit :Je ne convertis même pas en MP3, je fais lecture une fois et j'enregistre directement
Un très grand Aldrich.C2302t a écrit :J ai enfin trouvé mon film du mois(je commençais à désespérer ).
Il s'agit de l'excellent l'empereur du Nord d'Aldrich.
Que de scènes marquantes, des acteurs magnifiques et une histoire qui tient des promesses jusqu'au bout.
Un très grand film.
Mon Welles préféré.Roilo Pintu a écrit :Grosse découverte, il aura du mal à être détroner celui-là.
La Soif du Mal - Orson Welles (1958)
Film noir brillant, La Soif du Mal ne trahit pas sa réputation de classique, et le prouve dès ses premières minutes. Un long plan séquence qui impressionne, techniquement bien sûr, mais aussi pour sa narration, l’installation des personnages, des lieux, et pour le suspens engagé dès la première image du film. Une ouverture, une mise en place faite avec une facilité déconcertante, une scène qui sonne comme un uppercut. Le film n’en manque pas d’ailleurs : atmosphère tendue, cadrages travaillés, une lumière somptueuse, un noir et blanc profond et contrasté qui installe le décor qu’il faut pour cette bataille entre le bien et le mal. Un vieux flic patibulaire, ancien alcoolique, en face un jeune policier chargé d’idéaux. Deux approches différentes de la force policière, l’intuition ou la preuve, la torture ou le respect des lois.
Orson Welles excèlle devant et derrière la caméra, Quinlan figure terrifiante tout au long du récit, prend une dimension tragique sur la fin du film, effrayant mais émouvant. Charlton Heston et Janet Leigh sont eux aussi excellents dans un suspense soutenu, c’est parfois glauque (Janet Leigh !), violent, que la violence soit physique (entre ce qui se joue dans cette chambre d’hôtel, et puis plus tard ce flic qui redevient un mari) ou verbale (la supériorité permanente des américains sur le Mexique, exprimée dans les dialogues). La musique sensationnelle de Mancini finit de noircir le tableau.
Du Cinéma à l’état pur
Roilo Pintu a écrit :Grosse découverte, il aura du mal à être détroner celui-là.
La Soif du Mal - Orson Welles (1958)
Roilo Pintu a écrit :Grosse découverte, il aura du mal à être détroner celui-là.
La Soif du Mal - Orson Welles (1958)