Commentaires à propos de votre film du mois

[Jeremy Fox]

L'année 2018 fut vraiment exceptionnelle pour le cinéma français



Grâce, intelligence et subtilité, un régal pour les yeux, les oreilles et l'esprit avec une Cecile de France qui confirme tout le bien que je pense d'elle.

[Major Tom]

L'année 2018 fut vraiment exceptionnelle pour le cinéma français



Grâce, intelligence et subtilité, un régal pour les yeux, les oreilles et l'esprit avec une Cecile de France qui confirme tout le bien que je pense d'elle.

Je ne connais pas le film, c'est peut-être une comédie mais... Edouard Baer porte réellement sa barbe habituelle dans ce qui ressemble au XVIIIème comme sur l'affiche ?

[Jeremy Fox]

Non ce n'est pas une comédie.

[Jeremy Fox]

Non ce n'est pas une comédie et Edouard Baer est vraiment très convaincant.

[Major Tom]

Ah mais ça je n'en doute pas, j'aime bien cet acteur. Mais bon, la barbe, quoi.

[Martine Cachet]

Léon Morin, prêtre (1961) de Jean-Pierre Melville

Bon, ça va être très dur de détrôner celui-là, ce mois-ci. L'un des meilleurs depuis un bon moment en ce qui me concerne.

[Rick Blaine]

Ah mais ça je n'en doute pas, j'aime bien cet acteur. Mais bon, la barbe, quoi.

Pas encore vu - ce qui ne saurait tarder- mais de toute façon la barbe je pense qu'on s'en fout non ?
C'est le type de détail qui n'a aucune importance dans un film pour moi.

[Jeremy Fox]

Ah mais ça je n'en doute pas, j'aime bien cet acteur. Mais bon, la barbe, quoi.

Pas encore vu - ce qui ne saurait tarder- mais de toute façon la barbe je pense qu'on s'en fout non ?
C'est le type de détail qui n'a aucune importance dans un film pour moi.

Pareil ; je ne me suis même pas posé la question. Je trouvais juste que ça lui allait très bien en l'occurrence.
Pour moi les meilleurs films à costumes sont d'ailleurs ceux dans lesquels les comédiens jouent comme si leurs personnages étaient des gens de l'époque du tournage ; et là je pense en premier lieu au dernier métro.

Autrement il est assez cocasse que le seul film à costumes de Mouret soit peut-être son film le moins "désuet" dans le ton ; attention désuet n'est pas péjoratif dans ce cas puisque j'aime énormément ses comédies "contemporaines".

[Rick Blaine]

Pour moi les meilleurs films à costumes sont d'ailleurs ceux dans lesquels les comédiens jouent comme si leurs personnages étaient des gens de l'époque du tournage ; et là je pense en premier lieu au dernier métro.

Entièrement d'accord avec toi. D'ailleurs ça rejoint ce que je dis de manière générale, un film, en costume ou non, filme avant tout et de façon écrasante l'époque de son tournage. Un acteur est donc raccord quand il joue aussi comme si les personnages étaient des gens de l'époque du tournage.

[Major Tom]

Pas encore vu - ce qui ne saurait tarder- mais de toute façon la barbe je pense qu'on s'en fout non ?

C'est vrai. D'ailleurs je ne comprends toujours pas cette scène de The Party :

Spoiler (cliquez pour afficher)

C'est quoi le problème ? Film en costume ou non, on filme avant tout et de façon écrasante l'époque de son tournage.

Mais bon, oui on s'en fiche (un peu) de la barbe parigot taillée façon 3 jours de Baer. J'aime le détail qui fait mouche dans les films historiques par adoration des cinéastes perfectionnistes. Mais j'aime bien Mouret et j'aime bien Baer, je devrais quand même apprécier le film.

[Rick Blaine]

oh noooon, Demi-Lune

Spoiler (cliquez pour afficher)

Perso, depuis qu'il a mis 8/10 au Flambeur de Karel Reisz, je lui pardonne tout, il peut defoncer tout ce qu'il voit

Le Reisz rattrape certaines choses mais quand même, là c'est absolument intolérable.

[Demi-Lune]

Perso, depuis qu'il a mis 8/10 au Flambeur de Karel Reisz, je lui pardonne tout, il peut defoncer tout ce qu'il voit

Le Reisz rattrape certaines choses mais quand même, là c'est absolument intolérable.

Tu te prends pour qui, pour me faire la leçon comme ça ?

[Supfiction]

Pour moi les meilleurs films à costumes sont d'ailleurs ceux dans lesquels les comédiens jouent comme si leurs personnages étaient des gens de l'époque du tournage ; et là je pense en premier lieu au dernier métro.

Entièrement d'accord avec toi. D'ailleurs ça rejoint ce que je dis de manière générale, un film, en costume ou non, filme avant tout et de façon écrasante l'époque de son tournage. Un acteur est donc raccord quand il joue aussi comme si les personnages étaient des gens de l'époque du tournage.

Une nouvelle fois, pas vraiment d’accord avec ça. Mais en l’occurence, je crois que ça aurait été plus déstabilisant de voir Baer sans barbe qu’avec.

[Beule]

Deux très jolies découvertes ce dimanche.


Par rapport aux deux premiers volets au charme naïf indiscutable, mais plutôt limités dans leurs ambitions formelles, le troisième opus de a saga de la Pivoine rouge, Le jeu des fleurs opère un grand saut qualitatif. Par sa mise en scène, Tai Katô, dont je n'avais rien vu jusque là,transcende l'écriture conventionnelle pour conférer à ce troisième épisode une ampleur romanesque et une acuité graphique insoupçonnées. Forcément, il me tarde de découvrir les épisodes 6 et 7 dont Katô est aussi le réal.


Un petit carrousel de fête m'initie au cinéma du hongrois Zoltán Fábri.
Cette chronique paysanne n'échappe pas complètement à la célébration de circonstance des valeurs collectivistes, mais qu'importe, un pied dans la boue, l'autre en apesanteur, elle révèle un talent de conteur visuel hors-norme. Ses arabesques primesautières en particulier sont un régal de virtuosité poétique, une sorte d'idéal de cinégénie pure qui en font le digne héritier des grands maîtres des dernières années du muet.

[Père Jules]

Un petit carrousel de fête m'initie au cinéma du hongrois Zoltán Fábri.
Cette chronique paysanne n'échappe pas complètement à la célébration de circonstance des valeurs collectivistes, mais qu'importe, un pied dans la boue, l'autre en apesanteur, elle révèle un talent de conteur visuel hors-norme. Ses arabesques primesautières en particulier sont un régal de virtuosité poétique, une sorte d'idéal de cinégénie pure qui en font le digne héritier des grands maîtres des dernières années du muet.

Intéressant ça. Tu l'as vu comment ?