Avec ce Shoes, récemment programmé sur Arte (et encore disponible en replay), on peine à s'imaginer en 1916 quand on découvre la maitrise formelle de Lois Weber ainsi que la direction d'acteurs résolument moderne, aidé en celà par la composition tout en sobriété de Mary MacLaren. Une révélation ! Curieux de voir d'autres films de la réalisatrice, pour certains disponibles sur Youtube.
John Holden wrote:Avec ce Shoes, récemment programmé sur Arte (et encore disponible en replay), on peine à s'imaginer en 1916 quand on découvre la maitrise formelle de Lois Weber ainsi que la direction d'acteurs résolument moderne, aidé en celà par la composition tout en sobriété de Mary MacLaren. Une révélation ! Curieux de voir d'autres films de la réalisatrice, pour certains disponibles sur Youtube.
Merci pour le rappel. J'ai bien failli le louper !
John Holden wrote:Avec ce Shoes, récemment programmé sur Arte (et encore disponible en replay), on peine à s'imaginer en 1916 quand on découvre la maitrise formelle de Lois Weber ainsi que la direction d'acteurs résolument moderne, aidé en celà par la composition tout en sobriété de Mary MacLaren. Une révélation ! Curieux de voir d'autres films de la réalisatrice, pour certains disponibles sur Youtube.
Merci pour le rappel. J'ai bien failli le louper !
Pareil ; merci d'avoir attiré mon attention sur cette belle découverte.
Rick Blaine wrote:Et autre candidat avec le réjouissant Le fantôme de la liberté de Luis Buñuel :
Bien joué !
L'ai découvert récemment en salle et ai beaucoup aimé. L'épisode dans l'auberge est un petit sommet du genre ! Par ailleurs, la dernière demi-heure m'avait semblé nettement en retrait par rapport au reste du film. C'est un peu le lot de ce genre d'exercices (film dit "à sketches").
Rick Blaine wrote:Et autre candidat avec le réjouissant Le fantôme de la liberté de Luis Buñuel :
Bien joué !
L'ai découvert récemment en salle et ai beaucoup aimé. L'épisode dans l'auberge est un petit sommet du genre ! Par ailleurs, la dernière demi-heure m'avait semblé nettement en retrait par rapport au reste du film. C'est un peu le lot de ce genre d'exercices (film dit "à sketches").
La fin avec les deux préfets m'a bien plu aussi. Le côté film à sketches" existe, mais Buñuel lie tout ça avec un tel talent que c'est un film qui conserve une solide unité, c'est brillant.