Commentaires à propos de votre film du mois
Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Un bon mois en quantité , mais sans énorme découverte. Du coup, ce n'est pas forcément le meilleur film vu, mais un film "coup de cœur", qui remporte le titre. Je n'en attendais rien d'autre qu'une belle BO (c'est un film hommage à l'opéra italien du XIXème), c'est aussi un très bon film.
Film du mois, donc Casa Ricordi (la maison du souvenir) (Carmine Gallone), suivi de :
2. Roues libres (Attila Till)
3. Une femme dont on parle (Kenji Mizoguchi)
4. Pourquoi nous combattons-la bataille de Russie (Anatole Litvak)
5. Nous nous marierons (Dan Uzan)
6. Les fleurs bleues (Andrzej Wajda)
7. Split (M. Night Shyamalan)
8. Amour défendu (Frank Capra)
9. La course de Broadway Bill (Frank Capra)
10. Et les mistrals gagnants (Anne-Dauphine Juilliand) et Un paese di Calabria (Shu Aiello et Catherine Catella)
Film du mois, donc Casa Ricordi (la maison du souvenir) (Carmine Gallone), suivi de :
2. Roues libres (Attila Till)
3. Une femme dont on parle (Kenji Mizoguchi)
4. Pourquoi nous combattons-la bataille de Russie (Anatole Litvak)
5. Nous nous marierons (Dan Uzan)
6. Les fleurs bleues (Andrzej Wajda)
7. Split (M. Night Shyamalan)
8. Amour défendu (Frank Capra)
9. La course de Broadway Bill (Frank Capra)
10. Et les mistrals gagnants (Anne-Dauphine Juilliand) et Un paese di Calabria (Shu Aiello et Catherine Catella)
Dernière modification par aelita le 28 févr. 17, 19:42, modifié 1 fois.
Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? (pensée shadok)
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Beaucoup de belles découvertes ce mois-ci, d'abord avec la superbe surprise qu'est Le flingueur de Michael Winner, et très proche, le superbe Comancheria. Juste derrière, l'intriguant La part des lions, de Jean Larriaga et le classique Le garde du corps de Kurosawa. Pour compléter le quintet, The Outsiders de Coppola mérite une citation appuyée.
Le mois complet :
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Un mois très chargé en films (re)vus (48) mais le vainqueur était déjà trouvé dès le premier jour :
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Pour moi, c'est donc Marguerite qui l'emporte et c'est peut-être bien mon 3ème Giannoli en film du mois (après A L'origine et Quand j'étais Chanteur)
Meilleur topic de l'univers
https://www.dvdclassik.com/forum/viewto ... 13&t=39694
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Top 5 du mois (4 séances de rattrapage et 1 plaisir coupable)
1. JERSEY BOYS - Clint Eastwood (2014)
2. NIGHTCRAWLER - Dan Gilroy (2014)
3. EX MACHINA - Alex Garland (2015)
4. SCREAM FOR HELP - Michael Winner (1984)
1. JERSEY BOYS - Clint Eastwood (2014)
2. NIGHTCRAWLER - Dan Gilroy (2014)
3. EX MACHINA - Alex Garland (2015)
4. SCREAM FOR HELP - Michael Winner (1984)
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
manuma a écrit :Top 5 du mois (4 séances de rattrapage et 1 plaisir coupable)
1. JERSEY BOYS - Clint Eastwood (2014)
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
J'ai vu en février
*** excellent / ** bon / * moyen / 0 mauvais
Ma vie de courgette (Claude Barras, 2016) **
Suite à la mort de sa mère, un garçon de 9 ans est placé dans un foyer où il rencontre six autres gamins maltraités par la vie. Un film d'animation en stop motion, sensible et attachant comme ses personnages, qui tient plus de la chronique et du billet social que du récit. Les grands yeux expressifs font passer toutes les émotions et la délicatesse de la mise en scène est admirable. Il manque seulement un peu de liant pour être emporté à 100%. BR FR
Big bad wolves (Aharon Keshales & Navot Papushado, 2013) *
Suspecté d'avoir tué une fillette, un prof est kidnappé par le père de celle-ci et un flic qui le torturent pour arracher ses aveux. Et ses ongles. Mélange de thriller, de revenge porn et d'humour noir, ce film israélien est bien réalisé (avec une superbe séquence de générique) mais sa célébration de la loi du talion laisse un goût amer. Comme métaphore de la mentalité israélienne (c'est les réalisateurs qui le disent), c'est aussi intrigant qu'embarrassant. BR FR
Mortelle randonnée (Claude Miller, 1983) **
Un inclassable aux éléments de Film Noir (majoritaires) et de Surréalisme, parsemé de littérature, de psychanalyse et de comédie. Michel Serrault y incarne un détective anonyme (L'Oeil) qui trace en Europe une jeune tueuse en série (Isabelle Adjani) qu'il fantasme comme sa fille disparue. Le fond et la forme épurée font penser à du Hitchcock francisé. Avec une épatante galerie de seconds rôles (Geneviève Page, Sami Frey, Stéphane Audran...). BR FR
Le masque arraché / Sudden fear (David Miller, 1952) ***
Une riche auteure de théâtre épouse un charmeur dont elle découvre qu'il projette de la tuer avec l'aide de sa maîtresse pour hériter de sa fortune. Un excellent thriller, panaché de Woman's Picture et Film Noir, sur un scénario malin qui offre d'efficaces moments de suspense. Jack Palance et Gloria Grahame, les escrocs, réussissent à imposer leur présence face à Joan Crawford qui se livre à un numéro de jeu facial expressionniste de génie. BR US
Mustang (Deniz Gamze Ervügen, 2015) *** Mon film du mois
Dans un bourg rural de Turquie, cinq soeurs subissent le poids de la tradition face à leur désir de liberté et d'autonomie. Un film émotionnellement fort, dont le thème sombre (l'obscurantisme) est formidablement contrasté par la photographie solaire et la vitalité contagieuse de ses cinq jeunes et merveilleuses actrices. Les choses sont dites avec une admirable subtilité et le message politique passe sans aucune lourdeur. Vraiment bouleversant. BR FR
Captain Fantastic (Matt Ross, 2016) **
Viggo Mortensen incarne avec intensité un père de famille qui éduque ses six enfants de façon libérale et alternative dans une forêt près de Seattle avant d'être confronté au retour dans la société. Sur un scénario qui pose de bonnes questions sur le rôle et la responsabilité des parents, un film tour à tour étonnant, drôle, tendre et cruel qui pose un regard incisif sur la vie américaine mais souffre d'une dernière séquence peu crédible. BR DE
Juste la fin du monde (Xavier Dolan, 2016) *
Un trentenaire (Gaspard Ulliel, excellent) retrouve sa famille qu'il n'a pas vue depuis douze ans pour annoncer qu'il va mourir. D'après la pièce de Jean-Luc Lagarce (1990), un film sur les non-dits et les trop-dits familiaux qui tourne vite aux performances hypertrophiées des visages en gros plans de Nathalie Baye, Marion Cotillard, Léa Seydoux et Vincent Cassel. Quelques belles scènes mélancoliques parsèment l'hystérie de l'ensemble. BR FR
C.O.G. (Kyle Patrick Alvarez, 2013) **
Pour Children of God. Un étudiant de Yale (Jonathan Groff, très bien dans un rôle étonnament passif) rompt les amarres avec son milieu et se fait embaucher comme cueilleur de pommes dans l'Oregon où il croise des personnages aussi paumés que lui. Plus drame que comédie, un film maladroit dans son rythme littéraire mais intéressant dans son propos qui montre une Amérique schizophrène et menaçante pour ses brebis égarées. BR US
Café society (Woody Allen, 2016) **
Le parcours professionnel et sentimental d'un jeune homme dans les années 30, entre New York et Hollywood. La lumière dorée teint de crépuscule ce marivaudage mélancolique sur le conflit entre la passion et la raison. Typiquement allenien, le film offre un scénario et une mise en scène classiques, porté par la direction artistique et le casting parfait, dont Jesse Eisenberg et Kristen Stewart au sommet de son charme et de sa photogénie. BR FR
La belle saison (Catherine Corsini, 2015) ***
En 1971, le coup de foudre entre une jeune agricultrice du Limousin et une activiste féministe qui se rencontrent à Paris. Un séjour ensemble dans la ferme des parents de la première complique les choses. On pense bien sûr à "La vie d'Adèle" mais ce film s'ancre dans un contexte social prononcé qui lui donne son originalité. Izïa Higelin, Cécile de France et Noémie Lvovsky sont formidables de justesse. Avec une fin à la fois radieuse et douce-amère. BR FR
Le petit roi (Julien Duvivier, 1933) ***
Un orphelin, jeune roi souffreteux d'un petit royaume d'Europe centrale, est le jouet de son gouvernement. Un séjour médical sur la Côte d'Azur lui révèle la vie d'enfance. Un film sans pareil dans le cinéma français, mi-conte mi-pamphlet, dont le sujet est de l'ordre du mélodrame mais sublimé par le décor et la photo, superbement travaillés. De chaque plan, le jeune et tragique Robert Lynen joue comme un somnanbule et crève l'écran. DVD FR
Francofonia (Alexander Sokurov, 2015) **
En fusionnant images d'archives et reconstitutions avec acteurs, faits historiques et réflexions philosophiques, Sokurov dresse, à travers un portrait du musée du Louvre et de son directeur sous l'Occupation, le constat du fonds commun, menacé et fragile, que sont l'Art et la Culture. Il y a des maladresses, du kitsch et de la subjectivité mais le point de vue est perspicace et les travellings dans les salles du Louvre sont splendides. BR UK
Loin de Sunset Boulevard / Daleko ot Sanset Bulvara (Igor Minaiev, 2006) 0
A Moscou dans les années 30, un réalisateur de comédies musicales gay marié à son actrice principale est surveillé par le Kremlin. L'histoire est intéressante, le budget y est et les couleurs semblent sorties d'un Powell/Pressburger mais la mise en scène anémique et le jeu des médiocres acteurs transforment la grandeur en spectacle de patronage et l'ennui s'impose. Un beau potentiel ruiné par l'incompétence du réalisateur. DVD FR
La maison des ténèbres / Don't breathe (Fede Alvarez, 2016) **
A Detroit, trois jeunes qui cambriolent la maison d'un veteran aveugle se retrouvent pris au piège. Un thriller qui panache home invasion et survival et réussit, par sa mise en scène assurée (avec une excellente utilisation de l'ombre et de la lumière), son décor inquiétant bien pensé et ses acteurs crédibles, à créer une vraie tension. Si l'inversion des rôles est moralement douteuse, le suspense fonctionne et pour ce genre de film, c'est le principal. BR DE
*** excellent / ** bon / * moyen / 0 mauvais
Ma vie de courgette (Claude Barras, 2016) **
Suite à la mort de sa mère, un garçon de 9 ans est placé dans un foyer où il rencontre six autres gamins maltraités par la vie. Un film d'animation en stop motion, sensible et attachant comme ses personnages, qui tient plus de la chronique et du billet social que du récit. Les grands yeux expressifs font passer toutes les émotions et la délicatesse de la mise en scène est admirable. Il manque seulement un peu de liant pour être emporté à 100%. BR FR
Big bad wolves (Aharon Keshales & Navot Papushado, 2013) *
Suspecté d'avoir tué une fillette, un prof est kidnappé par le père de celle-ci et un flic qui le torturent pour arracher ses aveux. Et ses ongles. Mélange de thriller, de revenge porn et d'humour noir, ce film israélien est bien réalisé (avec une superbe séquence de générique) mais sa célébration de la loi du talion laisse un goût amer. Comme métaphore de la mentalité israélienne (c'est les réalisateurs qui le disent), c'est aussi intrigant qu'embarrassant. BR FR
Mortelle randonnée (Claude Miller, 1983) **
Un inclassable aux éléments de Film Noir (majoritaires) et de Surréalisme, parsemé de littérature, de psychanalyse et de comédie. Michel Serrault y incarne un détective anonyme (L'Oeil) qui trace en Europe une jeune tueuse en série (Isabelle Adjani) qu'il fantasme comme sa fille disparue. Le fond et la forme épurée font penser à du Hitchcock francisé. Avec une épatante galerie de seconds rôles (Geneviève Page, Sami Frey, Stéphane Audran...). BR FR
Le masque arraché / Sudden fear (David Miller, 1952) ***
Une riche auteure de théâtre épouse un charmeur dont elle découvre qu'il projette de la tuer avec l'aide de sa maîtresse pour hériter de sa fortune. Un excellent thriller, panaché de Woman's Picture et Film Noir, sur un scénario malin qui offre d'efficaces moments de suspense. Jack Palance et Gloria Grahame, les escrocs, réussissent à imposer leur présence face à Joan Crawford qui se livre à un numéro de jeu facial expressionniste de génie. BR US
Mustang (Deniz Gamze Ervügen, 2015) *** Mon film du mois
Dans un bourg rural de Turquie, cinq soeurs subissent le poids de la tradition face à leur désir de liberté et d'autonomie. Un film émotionnellement fort, dont le thème sombre (l'obscurantisme) est formidablement contrasté par la photographie solaire et la vitalité contagieuse de ses cinq jeunes et merveilleuses actrices. Les choses sont dites avec une admirable subtilité et le message politique passe sans aucune lourdeur. Vraiment bouleversant. BR FR
Captain Fantastic (Matt Ross, 2016) **
Viggo Mortensen incarne avec intensité un père de famille qui éduque ses six enfants de façon libérale et alternative dans une forêt près de Seattle avant d'être confronté au retour dans la société. Sur un scénario qui pose de bonnes questions sur le rôle et la responsabilité des parents, un film tour à tour étonnant, drôle, tendre et cruel qui pose un regard incisif sur la vie américaine mais souffre d'une dernière séquence peu crédible. BR DE
Juste la fin du monde (Xavier Dolan, 2016) *
Un trentenaire (Gaspard Ulliel, excellent) retrouve sa famille qu'il n'a pas vue depuis douze ans pour annoncer qu'il va mourir. D'après la pièce de Jean-Luc Lagarce (1990), un film sur les non-dits et les trop-dits familiaux qui tourne vite aux performances hypertrophiées des visages en gros plans de Nathalie Baye, Marion Cotillard, Léa Seydoux et Vincent Cassel. Quelques belles scènes mélancoliques parsèment l'hystérie de l'ensemble. BR FR
C.O.G. (Kyle Patrick Alvarez, 2013) **
Pour Children of God. Un étudiant de Yale (Jonathan Groff, très bien dans un rôle étonnament passif) rompt les amarres avec son milieu et se fait embaucher comme cueilleur de pommes dans l'Oregon où il croise des personnages aussi paumés que lui. Plus drame que comédie, un film maladroit dans son rythme littéraire mais intéressant dans son propos qui montre une Amérique schizophrène et menaçante pour ses brebis égarées. BR US
Café society (Woody Allen, 2016) **
Le parcours professionnel et sentimental d'un jeune homme dans les années 30, entre New York et Hollywood. La lumière dorée teint de crépuscule ce marivaudage mélancolique sur le conflit entre la passion et la raison. Typiquement allenien, le film offre un scénario et une mise en scène classiques, porté par la direction artistique et le casting parfait, dont Jesse Eisenberg et Kristen Stewart au sommet de son charme et de sa photogénie. BR FR
La belle saison (Catherine Corsini, 2015) ***
En 1971, le coup de foudre entre une jeune agricultrice du Limousin et une activiste féministe qui se rencontrent à Paris. Un séjour ensemble dans la ferme des parents de la première complique les choses. On pense bien sûr à "La vie d'Adèle" mais ce film s'ancre dans un contexte social prononcé qui lui donne son originalité. Izïa Higelin, Cécile de France et Noémie Lvovsky sont formidables de justesse. Avec une fin à la fois radieuse et douce-amère. BR FR
Le petit roi (Julien Duvivier, 1933) ***
Un orphelin, jeune roi souffreteux d'un petit royaume d'Europe centrale, est le jouet de son gouvernement. Un séjour médical sur la Côte d'Azur lui révèle la vie d'enfance. Un film sans pareil dans le cinéma français, mi-conte mi-pamphlet, dont le sujet est de l'ordre du mélodrame mais sublimé par le décor et la photo, superbement travaillés. De chaque plan, le jeune et tragique Robert Lynen joue comme un somnanbule et crève l'écran. DVD FR
Francofonia (Alexander Sokurov, 2015) **
En fusionnant images d'archives et reconstitutions avec acteurs, faits historiques et réflexions philosophiques, Sokurov dresse, à travers un portrait du musée du Louvre et de son directeur sous l'Occupation, le constat du fonds commun, menacé et fragile, que sont l'Art et la Culture. Il y a des maladresses, du kitsch et de la subjectivité mais le point de vue est perspicace et les travellings dans les salles du Louvre sont splendides. BR UK
Loin de Sunset Boulevard / Daleko ot Sanset Bulvara (Igor Minaiev, 2006) 0
A Moscou dans les années 30, un réalisateur de comédies musicales gay marié à son actrice principale est surveillé par le Kremlin. L'histoire est intéressante, le budget y est et les couleurs semblent sorties d'un Powell/Pressburger mais la mise en scène anémique et le jeu des médiocres acteurs transforment la grandeur en spectacle de patronage et l'ennui s'impose. Un beau potentiel ruiné par l'incompétence du réalisateur. DVD FR
La maison des ténèbres / Don't breathe (Fede Alvarez, 2016) **
A Detroit, trois jeunes qui cambriolent la maison d'un veteran aveugle se retrouvent pris au piège. Un thriller qui panache home invasion et survival et réussit, par sa mise en scène assurée (avec une excellente utilisation de l'ombre et de la lumière), son décor inquiétant bien pensé et ses acteurs crédibles, à créer une vraie tension. Si l'inversion des rôles est moralement douteuse, le suspense fonctionne et pour ce genre de film, c'est le principal. BR DE
... and Barbara Stanwyck feels the same way !
Pour continuer sur le cinéma de genre, visitez mon blog : http://sniffandpuff.blogspot.com/
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- Machino
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Pour ma part, c est sur le fil que le two lovers de James gray l emporte sur the big short. L émotion l emporte sur la mécanique bien huilée.
- origan42
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
FILM DE FÉVRIER
SCUM (Alan Clarke, 1979) *****
Le reste du mois , par ordre de préférence :
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INTERPRÉTATION MASCULINE DU MOIS : ADAM SANDLER Barry Egan dans Punch-drunk love
top 10, top de tous les temps, films ***** par année
top film par année
actrices, acteurs de l'année
mucho, mucho, mucho nullos
top film par année
actrices, acteurs de l'année
mucho, mucho, mucho nullos
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Un mois assez chargé avec 34 films sur 28 jours. Beaucoup de déchets mais 2 belles parenthèses puisque les 2 meilleurs films ont donc été vus le 1er et le 28.
Voici ce que ça donne :
Une vie difficile - Dino Risi
Everybody wants some - Richard Linklater
Ma vie de courgette - Claude Barras
I saw the light - Marc Abraham
45 years - Andrew Haigh
Miles ahead - Don Cheadle
Voici ce que ça donne :
Une vie difficile - Dino Risi
Everybody wants some - Richard Linklater
Ma vie de courgette - Claude Barras
I saw the light - Marc Abraham
45 years - Andrew Haigh
Miles ahead - Don Cheadle
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Un mois avec beaucoup de très bon films, mon top 5 :
- Rockatansky
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Encore un petit mois niveau quantité, mais quelques films sympa. Un vainqueur haut la main avec Premier Contact, le 3e film du mois pour Villeneuve pour ma part au moins.
- Spoiler (cliquez pour afficher)
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
- Jeremy Fox
- Shérif adjoint
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Celui-ci, je l'attends de pied ferme et si j'adore autant que son précédent, pas de raison qu'il ne finisse pas non plus en film du mois.
- Rockatansky
- Le x20, c'est dangereux
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Pour moi c'est très supérieur à Sicario, mais je trouve que c'est son moins bon film donc...
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
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