Et un bon mois de septembre à toi aussi !G.T.O a écrit :FILMS DECOUVERTS
DEADPOOL: 2/10
THE NEON DEMON : 3/10
HOUSEBOUND : 3/10
THE SHALLOWS: 2/10
Commentaires à propos de votre film du mois
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Ratatouille a écrit :Et un bon mois de septembre à toi aussi !G.T.O a écrit :FILMS DECOUVERTS
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Oui, on peut dire ça.
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Premiers prétendants !
Un dimanche à la campagne (Bertrand Tavernier)
La traversée de Paris (Claude Autant-Lara)
Un couple épatant (Lucas Belvaux)
On m'a parlé de la particularité de cette trilogie de L. Belvaux, j'ai donc bien hâte de voir les deux suivants.
Un dimanche à la campagne (Bertrand Tavernier)
La traversée de Paris (Claude Autant-Lara)
Un couple épatant (Lucas Belvaux)
On m'a parlé de la particularité de cette trilogie de L. Belvaux, j'ai donc bien hâte de voir les deux suivants.
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Au final, tu gardes le premier auquel cas contraire tu auras à faire à moi !
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Un candidat qui tient bien la route pour l'instant avec le très beau Till the end of time d'Edward Dmytryk sorte de pendant idéal et plus méconnu de Les plus belles années de notre vie de William Wyler sur le même sujet de la réinsertion des vétérans de la Seconde Guerre Mondiale. Très belle découverte !
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Excellente surprise que le "tuez Charley varrick" de Don Siegel. Merci Arte de m'avoir fait découvert cette perle que je ne connaissais pas. Pour l'instant mon film de septembre.
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
C2302t a écrit :Excellente surprise que le "tuez Charley varrick" de Don Siegel. Merci Arte de m'avoir fait découvert cette perle que je ne connaissais pas. Pour l'instant mon film de septembre.
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Il ne revient pas à gauche ce topic!
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Le film ne finira peut-être pas film du mois, mais c'est la première belle surprise dans un mois jusqu'à présent un peu déc
evant
Mr Ove (Hannes Holm). Je m'attendais juste à une comédie teintée d'humour noir sur un vieux ronchon reprenant goût à la vie (avec bien sûr un cœur gros comme ça derrière le mauvais caractère), le film se révèle être surtout une chronique mélancolique (même si l'humour est bien présent) , à la conclusion très émouvante, de la vie de son personnage principal. Ce que rendait peut-être mieux le titre original, en man som heter Ove, mais mes connaissances en suédois sont à peu près égales à zéro (le roman adapté s'appellerait quelque chose comme la vie selon Mr Ove).
evant
Mr Ove (Hannes Holm). Je m'attendais juste à une comédie teintée d'humour noir sur un vieux ronchon reprenant goût à la vie (avec bien sûr un cœur gros comme ça derrière le mauvais caractère), le film se révèle être surtout une chronique mélancolique (même si l'humour est bien présent) , à la conclusion très émouvante, de la vie de son personnage principal. Ce que rendait peut-être mieux le titre original, en man som heter Ove, mais mes connaissances en suédois sont à peu près égales à zéro (le roman adapté s'appellerait quelque chose comme la vie selon Mr Ove).
Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? (pensée shadok)
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James White - Josh Mond
Tout en fureur rentrée, capable d'explosions de violence impressionnantes, un premier film nerveux tourné caméra au poing (dans la gueule) avec un étonnant Christopher Abbott, à la fois flippant dans ses agissements les plus extrêmes et bouleversant dans ses rapports les plus doux avec sa mère (méconnaissable Cynthia Nixon). Étrangement, tout ça m'a fait penser à l'univers de Selby.
À signaler que le réalisateur était aussi le producteur de Martha Marcy May Marlene (réalisé par Sean Dorkin, ici producteur de James White) et d'un Simon Killer à l'excellente réputation (malheureusement pas encore vu).
Bref, c'est très fort.
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Content que ça t'ait plu.
Ce qui me fait penser que Simon Killer m'attend patiemment sur mes étagères. Il faudrait que je me lance.
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Ratatouille a écrit :
James White - Josh Mond
Tout en fureur rentrée, capable d'explosions de violence impressionnantes, un premier film nerveux tourné caméra au poing (dans la gueule) avec un étonnant Christopher Abbott, à la fois flippant dans ses agissements les plus extrêmes et bouleversant dans ses rapports les plus doux avec sa mère (méconnaissable Cynthia Nixon). Étrangement, tout ça m'a fait penser à l'univers de Selby.
À signaler que le réalisateur était aussi le producteur de Martha Marcy May Marlene (réalisé par Sean Dorkin, ici producteur de James White) et d'un Simon Killer à l'excellente réputation (malheureusement pas encore vu).
Bref, c'est très fort.
Là ça m'intéresse. J'aime beaucoup Martha marcy may marlene mais toujours pas vu Simon killer. Je crois me souvenir que de ce dernier ACR en avait dit du bien
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Je l'ai noté relativement généreusement parce qu'il y a un ton assez singulier et on ne voit pas souvent Paris filmé de façon aussi glauque.G.T.O a écrit :Ratatouille a écrit :
James White - Josh Mond
Tout en fureur rentrée, capable d'explosions de violence impressionnantes, un premier film nerveux tourné caméra au poing (dans la gueule) avec un étonnant Christopher Abbott, à la fois flippant dans ses agissements les plus extrêmes et bouleversant dans ses rapports les plus doux avec sa mère (méconnaissable Cynthia Nixon). Étrangement, tout ça m'a fait penser à l'univers de Selby.
À signaler que le réalisateur était aussi le producteur de Martha Marcy May Marlene (réalisé par Sean Dorkin, ici producteur de James White) et d'un Simon Killer à l'excellente réputation (malheureusement pas encore vu).
Bref, c'est très fort.
Là ça m'intéresse. J'aime beaucoup Martha marcy may marlene mais toujours pas vu Simon killer. Je crois me souvenir que de ce dernier ACR en avait dit du bien
Meilleur topic de l'univers
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Re: Commentaires à propos de votre film du mois
Excellent, d'une grande modernité en matière de mise en scène. Les thématiques de la délation et de la culpabilité que nourrira plus tard Kazan, l'utilisation parcimonieuse de la musique, les temps de pause et le développement des personnages, l'accélération du dernier acte, le montage, associés à ce style hyperréaliste en font déjà un grand film. Mais ajoutez-y un Richard Widmark absolument stupéfiant en pourriture géniale et le film passe dans une autre catégorie encore.