OK, je crois que je vais le prendre, c'est le genre de film qui va me plaire.Jeremy Fox wrote:Rick Blaine wrote:Ca donne envie de le voir, je n'en avais jamais entendu parler.
Julien en parle bien mieux que moi

Moderators: cinephage, Karras, Rockatansky
OK, je crois que je vais le prendre, c'est le genre de film qui va me plaire.Jeremy Fox wrote:Rick Blaine wrote:Ca donne envie de le voir, je n'en avais jamais entendu parler.
Julien en parle bien mieux que moi
AtCloseRange wrote:ça aurait fait un bon film du mois pour Kevin95
C'est un excellent film avec un bon climax dans un téléphérique à NYC.Jeremy Fox wrote:AtCloseRange wrote:ça aurait fait un bon film du mois pour Kevin95
Oui voilà ; j'ai pensé à lui tout le long
Joshua Baskin wrote:C'est un excellent film avec un bon climax dans un téléphérique à NYC.Jeremy Fox wrote:
Oui voilà ; j'ai pensé à lui tout le long
Profondo Rosso wrote:Premier candidat avec Quelques jours avec moi, un Sautet atypique et touchant, une des très grandes prestations de Daniel Auteuil
Je vois ce que tu veux dire, mais Sorcerer (que j'ai vu récemment) est un film nihiliste, sans transcendance. Rien n'est à sauver. Les personnages vont en enfer (l'enfer est sur terre) et y restent, se rapprochant même à chaque fois un peu plus de son centre, en parcourant les cercles de l'enfer. C'est un des films les plus désespérés que j'ai vus. Il n'y a pas de solidarité entre les personnages, juste le lien qui se tisse entre des damnés de la terre. Fury Road, c'est le chemin inverse. Les héros partent de l'enfer pour en sortir, et ils y parviennent, l'héroïne cherchant la rédemption, le héros (privé de nom puis le récupérant) recouvrant l'espoir et le donnant aux autres (qui recréent une communauté), ce qui révèle in fine un sous-jacent judéo-chrétien. Les points de vue portés par les deux films sont donc différents.AtCloseRange wrote:D'ailleurs, ça n'est pas si loin de Sorcerer par certains côtés.
Non mais pas tant dans ses thèmes que dans son univers visuel (les nuits bleues ne sont pas très éloignées de celles du Friedkin).Strum wrote:Je vois ce que tu veux dire, mais Sorcerer (que j'ai vu récemment) est un film nihiliste, sans transcendance. Rien n'est à sauver. Les personnages vont en enfer (l'enfer est sur terre) et y restent, se rapprochant même à chaque fois un peu plus de son centre, en parcourant les cercles de l'enfer. C'est un des films les plus désespérés que j'ai vus. Il n'y a pas de solidarité entre les personnages, juste le lien qui se tisse entre des damnés de la terre. Fury Road, c'est le chemin inverse. Les héros partent de l'enfer pour en sortir, et ils y parviennent, l'héroïne cherchant la rédemption, le héros (privé de nom puis le récupérant) recouvrant l'espoir et le donnant aux autres (qui recréent une communauté), ce qui révèle in fine un sous-jacent judéo-chrétien. Les points de vue portés par les deux films sont donc différents.AtCloseRange wrote:D'ailleurs, ça n'est pas si loin de Sorcerer par certains côtés.
Ouais, Sorcerer et Duel de Spielberg, même combat !AtCloseRange wrote:Et puis bon, y a des camions qui roulent pour aller d'un point A à un point B
Par curiosité, tu parles de quoi ? (j'ai la flemme de chercher, pardon)El Dadal wrote:Juillet fut un mois constellé de bons petits films sans trop de génie. Pas de purge réelle (si ce n'est un des pires films vus depuis Die Hard 5 que je préfère extraire de ma mémoire)
Mais oui !Joshua Baskin wrote:Et c'est peut-être déjà plié pour le mois d'août :
Thaddeus wrote:
2. Bonjour Tristesse (Otto Preminger, 1958)