Le projet Blair Witch (D.Myrick - E.Sanchez - 1999)

[Solaris]

Comptez pas sur moi pour le critiquer, je l'adore!

On était pas bien nombreux dans la salle, ce fut une expérience inoubliable! J'ai pris le film comme ça, sans quelque apriori: on était deux, on voulait voir un film, on l'a choisi a cause de l'affiche...

Je suis "rentré" complétement dedans! aujourd'hui, j'en retiens de grands moments d'angoisse et de terreur...

bref, un classique de mon modeste parcours cinéphilique

Tu n'te sens pas trop con de t'être fait avoir j'espère, par ce produit marketing? Parce que moi là, j'ai comme un doute maintenant...

On peut l'aimer en sachant très bien que ce qu'on voit à l'écran est un film de tout ce qu'il y a de plus fictif, non?

ce n'est pas parce que j'y suis allé sans préméditation que je n'avais pas lu les critiques et les articles expliquant la supercherie...

[Cinetudes]

Bon Doudou Style :

je ne te cause pas à toi si t'est pas cinéphile

Stefan

[Swan]

Ni même le dernier plan ?

Ce qui est amusant concernant ce plan, c'est le nombre de spectateurs qui n'ont pas vu la même chose.

[Tuck pendleton]

Ni même le dernier plan ?

Ce qui est amusant concernant ce plan, c'est le nombre de spectateurs qui n'ont pas vu la même chose.

c'est vrai qu'il faut être attentif

[Solaris]

Ni même le dernier plan ?

Ce qui est amusant concernant ce plan, c'est le nombre de spectateurs qui n'ont pas vu la même chose.

il y a aussi une histoire de bande-son, il me semble...

[Jordan White]

Ni même le dernier plan ?

Ce qui est amusant concernant ce plan, c'est le nombre de spectateurs qui n'ont pas vu la même chose.

L'imagination peut aussi nous faire voir des choses qui n'existent pas, ou bien se sentir bernés par ce que l'on a pas vu et que l'on désirait voir.

[Invité]

Bon Doudou Style :

je ne te cause pas à toi si t'est pas cinéphile

Stefan

La prochaîne fois, évite les fautes, j'ai honte. Et reconnais quand même que tu prends pour des cons ceux qui ont aimé ce film.

[Tuck pendleton]

Ca démarre tranquille, on fait connaissance avec les persos, les branches craquent, etc...
Mais LA scène qui emballe le cours de l'histoire c'est celle durant laquelle la fille dit aux autres :" Quoi ? Vous avez jeté la carte ? Et on fait comment pour s'orienter maintenant ?! Vous êtes vraiment trop cons". Et là c'est le malaise. .

c'est ce genre de pirouette scénaristique qui décrédibilise un peu l'entreprise.

[Swan]

L'imagination peut aussi nous faire voir des choses qui n'existent pas, ou bien se sentir bernés par ce que l'on a pas vu et que l'on désirait voir.

En tous cas, plusieurs personnes m'ont affirmé avoir vu le reporter mis au coin se retourner et regarder la caméra avec un sourire de dément.

[Cinetudes]

Attends Jordan pour une fois que je peux m'acharner sur un film sans tomber sur une horde d'admirateurs bien décidés à le défendre coute que coute !!

Non sérieusement je ne nie pas le fait que les réals sont malins et on bien etudiés les différentes séquences d'angoisse au cinéma et que certains passages fonctionnent mais ce n'est certainement pas grace à un quelconque talent cinématographique de leur part mais bel et bien une gestion géniale du marketing.

Donc Jordan je ne vois vraiment aucun intérêt à ce film, Cannibal Holocaust tent lui au moins de faire passer quelque chose.

Pour ce qui est du trouble et de l'angoisse je prefère me tourner vers des films comme Cure .

Je suis content de t'amuser Jordan

Stefan

[Spongebob]

Le Projet Blair Witch n'a fait que reprendre plus de vingt ans aprés le concept génial de Cannibal Holocaust en l'édulcorant au maximum. Dans le premier on voyait (presque) tout alors que dans le second on ne voit (presque) rien. Maintenant il faut dire que les intentions des réalisateurs sont totalements opposés : l'un veut nous choquer par tous les moyens alors que l'autre ne cherche qu'à nous faire peur.
Personnellement je trouve qu'il rate complétement son objectif, ne réussissant qu'à instaurer une ambiance lourde, parfois inquiétante mais vraiment loin d'être effrayante. La fin du film est d'ailleurs un monument d'hystérisme, incompréhensible et insupportable.
Vendre cette chose avec une accroche aussi osée mérite plusieurs coup de pieds aux fesses parcequ'on est vraiment à cent lieux du sompteux Shining, monument de terreur pure.

Je pense qu'il n'est même pas la peine d'évoquer la suite (mince je viens justement de le faire ).

[Cinetudes]

Bon Doudou Style :

je ne te cause pas à toi si t'est pas cinéphile

Stefan

La prochaîne fois, évite les fautes, j'ai honte. Et reconnais quand même que tu prends pour des cons ceux qui ont aimé ce film.

Non je te prends juste toi pour un con puisqu'on joue çà ce jeu la et puis oui tu peux avoir honte !!!

Dans ce cas la tout les forumeurs prennent les autres forumeurs pour des cons mon cher

Si être en désaccord sur une oeuvre correspond à prendre pour des cons ceux qui ont aimés alors que je déteste on n'ira pas loin et ce forum est vraiment alors un piège à cons

Stefan

[Invité]

Je m'incline. Je suis d'humeur câline. Pour l'instant.

[mezhia]

Le film est à ne voir qu'une fois...Rien à reprocher à la mise en scène puisqu'elle est dans une logique déjà soulevée ici mais les rebondissements ou la caractérisation des personnages sont quand même très pauvres. En revanche, les dix dernières minutes sont très réussies

+1

Je suis allé voir le film en ignorant absolument tout du projet en question. Coup de bol donc. Et c'est ce qui m'a permis de l'apprécier au plus haut point. Maintenant une seule fois suffira. Je préfère en garder un très bon souvenir plutôt que de le revoir, de peur d'être déçu.

Ps : Il y a des bouses infames dans le domaine de l'horreur à 10, 20 ou 30 millions de dollars qui, hormis le fait d'être raté, n'invente strictement rien de nouveau.
Avec Blair Witch, j'ai eu au moins l'impression d'avoir affaire à quelque chose d'original et ce, pour un budget dérisoire, au contraire des sempiternelles Williamson-like de l'époque.

[Colqhoun]

Un film d'un ennui terrifiant.

PS: j'ai aussi vu SPOILER le mec au coin se retourner avec un visage bizarre, à la fin