Legend (Ridley Scott - 1985)
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Legend (Ridley Scott - 1985)
J'ouvre ce topic à la suite d'une redécouverte en dvd de ce film dont je restais plutot distant jusqu'à présent. Cette nouvelle vision m'a totalement soufflée puisque je considère maintenant le film comme une des plus grandes réussites de Scott (tout du moins la plus belle).
Après Les duellistes, Alien et Blade Runner, Legend boucle une période dans la filmographie de Sir Scott ponctuée d'indéniables réussites. Etant déjà passé par les cases "Histoire" et "Science-fiction" le réalisateur s'essaye cette fois-ci à l'héroic fantasy ou plus précisément au film de conte après avoir envisagé un certain temps d'adapter Tristan et Iseult. Bien que l'histoire de Legend soit originale, elle s'assume comme un melting-pot de diverses influences qui vont des contes des frêres Grimm aux récits mythologiques grec, bibliques ou nordiques et se propose une fois de plus de raconter une lutte du Bien contre le Mal en convoquant les figures imposées et en s'y tenant à un schéma volontairement réduit. Une princesse, un jeune garçon intrépide, un seigneur des ténèbres et quelques personnages secondaires n'étant plus que des obstacles ou fournissant une aide précieuse au héros. Le seigneur des ténèbres (Tim Curry) souhaite voir disparaitre définitivement la lumière du jour à laquelle il est vulnérable pour asseoir son autorité et régner sans partage. Gardiennes de ce fragile équilibre, les deux seuls licornes restantes sur terre vont être mis rapidement en danger par l'imprudence d'une jeune princesse (Mia Sara) qui sera elle même enlevé par les sbires des ténèbres. Jack, épris de la belle, fera tout son possible pour la sauver du mal qui l'emprisonne et rétablir la paix.
L'explotation de Legend a été assez chaotique et plusieurs versions sont sortis suite à la décision des studios; Il existe donc une version américaine de 89 minutes, une version européenne de 94 minutes et une version télé d'également 94 minutes. La version américaine est sorti plusieurs mois après l'européenne afin qu'Universal puisse remanier le film à sa façon et l'adapter aux gouts du public américain, le film appelant exclusivement une culture propre à la vieille Europe. Ainsi il a été décidé que les chansons et la musique composée par Goldsmith soient remplacé par celle de Tangerine Dream, plus en phase avec son temps mais pas forcément avec l'esprit du film. Deux chansons dont l'une écrite par Jon Anderson et l'autre par Brian Fery font également leur entrée. Même si l'américaine est la plus sévèrement amputée, l'européenne est loin d'avoir été totalement épargnée et il faudra attendre la sortie du dvd en 2002 pour qu'un Director's cut d'une durée de 113 minutes voit enfin le jour. On peut penser que ces remaniements ont géné à la bonne appréciation du film aux états-unis et participer à son échec au box office. Scott durant de nombreuses années ne parla plus du film. L'intégralité du tournage s'est déroulé dans les studios Pinewood et les effets spéciaux ont été réalisés par la boîte de Gilliam.
Le principal reproche fait à Scott est de s'être interesser aux décors, aux costumes et à la photo plus qu'à ses personnages, en ne faisant presque rien pour les rendre attachant. C'est vrai qu'il manifeste ici,peut être davantage que dans tous ses autres films, une très grande attention à l'esthétique, composant la plupart des plans comme des tableaux vivants où la moindre parcelle du décor recelle un nombre impressionant de détails. Le tournage en studio renforce encore l'impression de naviguer dans un univers en vase clos entièrement asujetti au fantasme et aux rêve et c'est à travers cette approche que la sur-stylisation chère au cinéaste y trouve sa force et sa plus grande légitimité. Les 20 premières minutes de la première partie s'achevant par l'empoisonnement de la licorne sont à ce titre d'une poésie véritablement envoutante dans la narration et le montage (le passage des saisons). La musicalité du montage parralèle entre la plongée de Jack dans le lagon, la fuite de la princesse et la chute de la licorne force l'admiration. Legend joue ainsi un jeu de quitte ou double en misant sa capacité à émouvoir lors de scènes dont l'interêt dramatique reste assez banale et simpliste. L'autre grand moment est la séquence ou les pouvoirs du mal tente de séduir Lyli. La scène de danse avec son double maléfique est empreinte d'une grâce et d'une fluidité que Scott n'a peut être jamais regagné tout comme l'impressionante apparition du Seigneur des ténèbres lors du passage du miroir dans des lieux rappelant le chateau de la bête du film de Cocteau. L'aspect général est généralement sombre et inquiétant pour un long metrage familiale et n'hésite pas à être véritablement effrayant sans que l'on ressente une inventivité bridée par des impératifs. La direction d'acteur échappe également à toute mievrerie et reste convaincante. Dans les têtes de l'emploi; David Bennent en elfe possédé, Tim Curry aidé par des maquillages impressionant, et le regard d'Annabelle Lanyon en sucédanné de la fée clochette. Mia Sara fait passer de l'émotion et le jeune Cruise reste sobre.
Aujourd'hui le visuel a peu vieilli... La direction artisitique reste toujours exceptionnelle et est perennisé par l'utilisation restreinte d'effets spéciaux.
David Bennent posant son énigme
Après Les duellistes, Alien et Blade Runner, Legend boucle une période dans la filmographie de Sir Scott ponctuée d'indéniables réussites. Etant déjà passé par les cases "Histoire" et "Science-fiction" le réalisateur s'essaye cette fois-ci à l'héroic fantasy ou plus précisément au film de conte après avoir envisagé un certain temps d'adapter Tristan et Iseult. Bien que l'histoire de Legend soit originale, elle s'assume comme un melting-pot de diverses influences qui vont des contes des frêres Grimm aux récits mythologiques grec, bibliques ou nordiques et se propose une fois de plus de raconter une lutte du Bien contre le Mal en convoquant les figures imposées et en s'y tenant à un schéma volontairement réduit. Une princesse, un jeune garçon intrépide, un seigneur des ténèbres et quelques personnages secondaires n'étant plus que des obstacles ou fournissant une aide précieuse au héros. Le seigneur des ténèbres (Tim Curry) souhaite voir disparaitre définitivement la lumière du jour à laquelle il est vulnérable pour asseoir son autorité et régner sans partage. Gardiennes de ce fragile équilibre, les deux seuls licornes restantes sur terre vont être mis rapidement en danger par l'imprudence d'une jeune princesse (Mia Sara) qui sera elle même enlevé par les sbires des ténèbres. Jack, épris de la belle, fera tout son possible pour la sauver du mal qui l'emprisonne et rétablir la paix.
L'explotation de Legend a été assez chaotique et plusieurs versions sont sortis suite à la décision des studios; Il existe donc une version américaine de 89 minutes, une version européenne de 94 minutes et une version télé d'également 94 minutes. La version américaine est sorti plusieurs mois après l'européenne afin qu'Universal puisse remanier le film à sa façon et l'adapter aux gouts du public américain, le film appelant exclusivement une culture propre à la vieille Europe. Ainsi il a été décidé que les chansons et la musique composée par Goldsmith soient remplacé par celle de Tangerine Dream, plus en phase avec son temps mais pas forcément avec l'esprit du film. Deux chansons dont l'une écrite par Jon Anderson et l'autre par Brian Fery font également leur entrée. Même si l'américaine est la plus sévèrement amputée, l'européenne est loin d'avoir été totalement épargnée et il faudra attendre la sortie du dvd en 2002 pour qu'un Director's cut d'une durée de 113 minutes voit enfin le jour. On peut penser que ces remaniements ont géné à la bonne appréciation du film aux états-unis et participer à son échec au box office. Scott durant de nombreuses années ne parla plus du film. L'intégralité du tournage s'est déroulé dans les studios Pinewood et les effets spéciaux ont été réalisés par la boîte de Gilliam.
Le principal reproche fait à Scott est de s'être interesser aux décors, aux costumes et à la photo plus qu'à ses personnages, en ne faisant presque rien pour les rendre attachant. C'est vrai qu'il manifeste ici,peut être davantage que dans tous ses autres films, une très grande attention à l'esthétique, composant la plupart des plans comme des tableaux vivants où la moindre parcelle du décor recelle un nombre impressionant de détails. Le tournage en studio renforce encore l'impression de naviguer dans un univers en vase clos entièrement asujetti au fantasme et aux rêve et c'est à travers cette approche que la sur-stylisation chère au cinéaste y trouve sa force et sa plus grande légitimité. Les 20 premières minutes de la première partie s'achevant par l'empoisonnement de la licorne sont à ce titre d'une poésie véritablement envoutante dans la narration et le montage (le passage des saisons). La musicalité du montage parralèle entre la plongée de Jack dans le lagon, la fuite de la princesse et la chute de la licorne force l'admiration. Legend joue ainsi un jeu de quitte ou double en misant sa capacité à émouvoir lors de scènes dont l'interêt dramatique reste assez banale et simpliste. L'autre grand moment est la séquence ou les pouvoirs du mal tente de séduir Lyli. La scène de danse avec son double maléfique est empreinte d'une grâce et d'une fluidité que Scott n'a peut être jamais regagné tout comme l'impressionante apparition du Seigneur des ténèbres lors du passage du miroir dans des lieux rappelant le chateau de la bête du film de Cocteau. L'aspect général est généralement sombre et inquiétant pour un long metrage familiale et n'hésite pas à être véritablement effrayant sans que l'on ressente une inventivité bridée par des impératifs. La direction d'acteur échappe également à toute mievrerie et reste convaincante. Dans les têtes de l'emploi; David Bennent en elfe possédé, Tim Curry aidé par des maquillages impressionant, et le regard d'Annabelle Lanyon en sucédanné de la fée clochette. Mia Sara fait passer de l'émotion et le jeune Cruise reste sobre.
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Très beau topic Tuck!!
Je te rejoins sur l'idée que Ridley Scott s'est attaché énormément (voire trop ) à l'esthétique de son film. pour ma part, je pense que c'est un divertissement plutôt réussi signé par ce cinéaste qui se demandait certainement quelles étaient ses limites (toujours esthétiquement parlant), après avoir monté Les Duellistes ou Blade Runner!
Je te rejoins sur l'idée que Ridley Scott s'est attaché énormément (voire trop ) à l'esthétique de son film. pour ma part, je pense que c'est un divertissement plutôt réussi signé par ce cinéaste qui se demandait certainement quelles étaient ses limites (toujours esthétiquement parlant), après avoir monté Les Duellistes ou Blade Runner!
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Re: Legend - Ridley Scott (1985)
Sur le plan formel, sans aucun doute.Tuck pendleton a écrit : je considère maintenant le film comme une des plus grandes réussites de Scott ( tout du moins la plus belle).
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J'ai du mal à ressentir ce reproche très répandu à propos de ce film d'une complaisance esthétisante, dans le sens où je considère et je vois ce film comme un pur spectacle d'images et d'atmosphères. J'avoue que je me fous un peu de l'histoire et que les personnages ou les enjeux me touchent assez peu. Tom Cruise, pour moi un très grand acteur, parvient même ici à être fade !
Je suis même plutôt content que Scott ait eu au moins une fois dans sa vie, la pleine liberté d'assumé son goût du décorum. Je trouve la composition de ses plans et le travail de lumière aussi somptueux et ahurissants que l'inégalée prouesse de maquillage de Rob Bottin (aussi bien le Seigneur des ténèbres que les différentes créatures bien visqueuses. Avec tous ces éléments maîtrisés comme rarement, Scott parvient à rendre l'ambiance de son film de plus en plus étouffante jusqu'au dénouement et au retour du jour.
Aujourd'hui certains pourraient trouver ça visuellement indigeste (voire kitsch), personnellement j'ai conservé face à ce film exactement le même regard et la même passion que quand môme je me le matais en boucle.
Ma VHS, réenregistrée il y a peu de temps en VO, fait 90 minutes. Ce DVD serait donc réellement plus long et director's cuted ?
Parce que du coup, ça vaut peut-être le coup que j'en fasse la substitution, non ?
Je suis même plutôt content que Scott ait eu au moins une fois dans sa vie, la pleine liberté d'assumé son goût du décorum. Je trouve la composition de ses plans et le travail de lumière aussi somptueux et ahurissants que l'inégalée prouesse de maquillage de Rob Bottin (aussi bien le Seigneur des ténèbres que les différentes créatures bien visqueuses. Avec tous ces éléments maîtrisés comme rarement, Scott parvient à rendre l'ambiance de son film de plus en plus étouffante jusqu'au dénouement et au retour du jour.
Aujourd'hui certains pourraient trouver ça visuellement indigeste (voire kitsch), personnellement j'ai conservé face à ce film exactement le même regard et la même passion que quand môme je me le matais en boucle.
Ma VHS, réenregistrée il y a peu de temps en VO, fait 90 minutes. Ce DVD serait donc réellement plus long et director's cuted ?
Parce que du coup, ça vaut peut-être le coup que j'en fasse la substitution, non ?
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Il s'agit en effet d'un tout nouveau montage, mais tu peux garder le montage européen à titre documentaire - le Zone 1 te permettra aussi de découvrir la version US, encore différente, et je ne parle même pas de la musique.Max Schreck a écrit :Ma VHS, réenregistrée il y a peu de temps en VO, fait 90 minutes. Ce DVD serait donc réellement plus long et director's cuted ?
Parce que du coup, ça vaut peut-être le coup que j'en fasse la substitution, non ?
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Tonton Jeremy, tu veux pas redescendre plus souvent de tes alpages, pour nous raconter plein de jolies histoires d'avant l'invention du téléphone ? On trépigne d'avance, merci.
[...]But being this a .44 magnum, the most powerful handgun in the world, and would blow your head clean off, you have to ask yourself one question : "Do I feel lucky ?". Well, do you, punk ?
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Ah ! L'arrivée du téléphone dans ma cabane au fond des bois ! Je m'en souviens comme si c'était hier. J'enfile mes charentaises, j'allume le feu dans la cheminée et viens vous narrer d'autres anecdotes toutes aussi passionnantes.harry callahan a écrit :Tonton Jeremy, tu veux pas redescendre plus souvent de tes alpages, pour nous raconter plein de jolies histoires d'avant l'invention du téléphone ? On trépigne d'avance, merci.
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Quand tu parles comme ça, tu me rappelles quelqu'un...Jeremy Fox a écrit :Ah ! L'arrivée du téléphone dans ma cabane au fond des bois ! Je m'en souviens comme si c'était hier. J'enfile mes charentaises, j'allume le feu dans la cheminée et viens vous narrer d'autres anecdotes toutes aussi passionnantes.harry callahan a écrit :Tonton Jeremy, tu veux pas redescendre plus souvent de tes alpages, pour nous raconter plein de jolies histoires d'avant l'invention du téléphone ? On trépigne d'avance, merci.
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Attention, le DVD montré ici ne propose à ma connaissance que le montage européen.Swan a écrit :Il s'agit en effet d'un tout nouveau montage, mais tu peux garder le montage européen à titre documentaire - le Zone 1 te permettra aussi de découvrir la version US, encore différente, et je ne parle même pas de la musique.Max Schreck a écrit :Ma VHS, réenregistrée il y a peu de temps en VO, fait 90 minutes. Ce DVD serait donc réellement plus long et director's cuted ?
Parce que du coup, ça vaut peut-être le coup que j'en fasse la substitution, non ?
Pour avoir la Director's Cut + la version US d'époque, il faut acheter le magnifique zone 1 (l'image est : ). Il y des STF et une VF (pas sûr, pour la VF).
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Dis donc, un peu de respect, on vouvoie ses aînés. Surtout quand ceux ci sont de vénérables Jeremy Fox. Non mais des fois.Jake Scully a écrit : Quand tu parles comme ça, tu me rappelles quelqu'un...
Jeremy, cause nous de la machine à vapeur, siouplaît ....
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C'est donc bien ce qu'il me semblait. Ce zone 2 n'est pas le director's cut. N'ayant pas accès aux Z1, je me calme donc et je garde ma bonne vieille VHS qui est quand même très très bian.Nimrod a écrit :Attention, le DVD montré ici ne propose à ma connaissance que le montage européen.Swan a écrit : Il s'agit en effet d'un tout nouveau montage, mais tu peux garder le montage européen à titre documentaire - le Zone 1 te permettra aussi de découvrir la version US, encore différente, et je ne parle même pas de la musique.
Pour avoir la Director's Cut + la version US d'époque, il faut acheter le magnifique zone 1 (l'image est : ). Il y des STF et une VF (pas sûr, pour la VF).
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