harry callahan a écrit :"Simplicité" est en effet un mot définissant très bien Fucking Amal, il y en a un deuxième : "réalité". On parle souvent, à tort ou à raison, de tel film qui dépeint ceci ou cela de manière plus ou moins "réaliste", ici j'irais donc jusqu'à parler de "réalité". Car je doute très fortement que n'importe quelle personne de culture occidentale âgée entre 20 et 30 ans aujourd'hui puisse ne pas se reconnaître soi même ou reconnaître des amis de l'époque dans certains des tiraillements de l'adolesence qui nous sont présentés dans ce film.
On peut et c'est légitime considérer le film comme un journal intime. C'est comme ça que je le vois en tout cas.
Mac Lean a écrit :L'un des méfaits du film est de vous inciter à écouter "Show me love" de Robyn en boucle après...
En effet, et même de pouvoir écouter la chanson de Foreigner sans sourciller ou presque.
Par contre je cherche l'auteur de l'avant dernière chanson utilisée.
[...]But being this a .44 magnum, the most powerful handgun in the world, and would blow your head clean off, you have to ask yourself one question : "Do I feel lucky ?". Well, do you, punk ?
Je compte pas revoir le film de sitôt, étant donné que je l'ai regardé il y a quelques jours de ça, mais elle est peut ête créditée au générique de fin. Je sais même pas s'il existe une B.O..
[...]But being this a .44 magnum, the most powerful handgun in the world, and would blow your head clean off, you have to ask yourself one question : "Do I feel lucky ?". Well, do you, punk ?
harry callahan a écrit :Je compte pas revoir le film de sitôt, étant donné que je l'ai regardé il y a quelques jours de ça, mais elle est peut ête créditée au générique de fin. Je sais même pas s'il existe une B.O..
C'est bon harry, j'ai trouvé.
Il s'agit de la chanson "Undergound" qui se situe donc au moment où elles ouvrent la porte et qui les suit ensuite dans la rue. Ca ne dure pas longtemps mais ça me colle encore des frissons rien que d'y penser. L'auteur est Daniel Broder.
Et je te confirme qu'il existe une BO du film, peut-être encore dispo chez EMI, avec 19 titres.
Une petite photo du très talentueux réalisateur accompagné d'Alexandra - j'ai un petit faux air de Scarlett Johansson - Dahlström et de Rebecca Liljeberg, héroïnes de cette première oeuvre magnifique.
Avec l'affiche suédoise du film derrière.
Yes !
J'ai trouvé le DVD, un seul exemplaire perdu derrière un écriteau qui attendait que je le prenne. Je vais pouvoir le revoir au format respecté et en 16/9.
Il y a du grain, un bon gros grain même, mais ça ne me dérange pas plus que cela, alors que je pourrais grogner pour n'importe quel autre film.
Son pas mal, qui casse pas des briques, mais les voix sont claires. Par contre, je n'ose pas le regarder - même un peu - en VF alors qu'il y a possibilité.
J'ai commencé à écouter le commentaire audio et m'attendant à bien pire que cela après avoir lu un avis plus que mitigé, je dois dire que je suis pour l'instant surpris dans le bon sens du terme. Lukas Moodysson est plutôt loquace. Plusieurs anecdotes relevées, et l'homme est intelligent et parle avec empathie de son film et de ses acteurs. Ca me semble être d'un bon niveau, sans atteindre les délires de John Carpenter, mais bon c'est pas non plus ce que je recherche.
Jordan White a écrit :Yes !
J'ai trouvé le DVD, un seul exemplaire perdu derrière un écriteau qui attendait que je le prenne. Je vais pouvoir le revoir au format respecté et en 16/9.
vu aussi à 10 ou 15 euros dans une promo FNAC. J'ai hésité
Tuck pendleton a écrit :vu aussi à 10 ou 15 euros dans une promo FNAC. J'ai hésité
Fallait pas. Il se laisse très bien re-voir.
[...]But being this a .44 magnum, the most powerful handgun in the world, and would blow your head clean off, you have to ask yourself one question : "Do I feel lucky ?". Well, do you, punk ?