Memories of Murder (Bong Joon-ho - 2003)

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés à partir de 1980.

Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky

Répondre
Avatar de l’utilisateur
Jack Griffin
Goinfrard
Messages : 12389
Inscription : 17 févr. 05, 19:45

Re: Memories of Murder (Bong Joon-ho - 2003)

Message par Jack Griffin »

Je viens de me rendre compte que le sujet avait été abordé dans le topic « la rabbia ». L’étalonnage divise. Je continue à trouver là colorimétrie appliquée bizarre et la baisse de luminosité malvenue. On perd en subtilité et en beauté. Dommage. Je me procurerai l’édition coréenne
Avatar de l’utilisateur
Mosin-Nagant
Producteur
Messages : 9635
Inscription : 12 juin 14, 19:36
Localisation : "Made in America"

Re: Memories of Murder (Bong Joon-ho - 2003)

Message par Mosin-Nagant »

Image

You know my feelings: Every day is a gift. It's just, does it have to be a pair of socks?
Spoiler (cliquez pour afficher)
Image
Avatar de l’utilisateur
Mosin-Nagant
Producteur
Messages : 9635
Inscription : 12 juin 14, 19:36
Localisation : "Made in America"

Re: Memories of Murder (Bong Joon-ho - 2003)

Message par Mosin-Nagant »

Image

You know my feelings: Every day is a gift. It's just, does it have to be a pair of socks?
Spoiler (cliquez pour afficher)
Image
Bastien69
Stagiaire
Messages : 32
Inscription : 24 sept. 19, 14:15

Re: Memories of Murder (Bong Joon-ho - 2003)

Message par Bastien69 »

Jack Griffin a écrit :Je viens de me rendre compte que le sujet avait été abordé dans le topic « la rabbia ». L’étalonnage divise. Je continue à trouver là colorimétrie appliquée bizarre et la baisse de luminosité malvenue. On perd en subtilité et en beauté. Dommage. Je me procurerai l’édition coréenne
J’ai plusieurs questions. Où peut-on se procurer cette édition koreenne et comporte t’elle des sous titre français?
Avatar de l’utilisateur
-magik-
Assistant opérateur
Messages : 2044
Inscription : 7 mars 19, 19:07

Re: Memories of Murder (Bong Joon-ho - 2003)

Message par -magik- »

Bastien69 a écrit :
Jack Griffin a écrit :Je viens de me rendre compte que le sujet avait été abordé dans le topic « la rabbia ». L’étalonnage divise. Je continue à trouver là colorimétrie appliquée bizarre et la baisse de luminosité malvenue. On perd en subtilité et en beauté. Dommage. Je me procurerai l’édition coréenne
J’ai plusieurs questions. Où peut-on se procurer cette édition koreenne et comporte t’elle des sous titre français?
Non, pas de sous-titres français sur l’édition coréenne.
Avatar de l’utilisateur
Supfiction
Charles Foster Kane
Messages : 22221
Inscription : 2 août 06, 15:02
Localisation : Have you seen the bridge?
Contact :

Re: Memories of Murder (Bong Joon-ho - 2003)

Message par Supfiction »

Coda :
https://www.lefigaro.fr/cinema/le-tueur ... e-20190920
Spoiler (cliquez pour afficher)
La police coréenne a annoncé en septembre avoir identifié un suspect dans cette affaire, confondu par son ADN plus de 30 ans après le premier meurtre. «Pendant des années, je n’ai pensé qu’à lui. Je me demandais comment je pouvais le rencontrer», raconte Bong Joon-ho.«J’en devenais complètement fou [...]. Comme aujourd’hui, on voit cet homme dans les journaux, on voit sa photo, j’ai des sentiments très mêlés, complexes», confie-t-il.
Avatar de l’utilisateur
tenia
Le Choix de Sophisme
Messages : 30888
Inscription : 1 juin 08, 14:29
Contact :

Re: Memories of Murder (Bong Joon-ho - 2003)

Message par tenia »

Il parait que le tueur a vu 3 fois le film.
Vertigineux, quand on y réfléchit.
Avatar de l’utilisateur
-Kaonashi-
Tata Yuyu
Messages : 11432
Inscription : 21 avr. 03, 16:18
Contact :

Re: Memories of Murder (Bong Joon-ho - 2003)

Message par -Kaonashi- »

Supfiction a écrit :Coda :
https://www.lefigaro.fr/cinema/le-tueur ... e-20190920
Spoiler (cliquez pour afficher)
La police coréenne a annoncé en septembre avoir identifié un suspect dans cette affaire, confondu par son ADN plus de 30 ans après le premier meurtre. «Pendant des années, je n’ai pensé qu’à lui. Je me demandais comment je pouvais le rencontrer», raconte Bong Joon-ho.«J’en devenais complètement fou [...]. Comme aujourd’hui, on voit cet homme dans les journaux, on voit sa photo, j’ai des sentiments très mêlés, complexes», confie-t-il.
Même article cité Mosin-Nagant trois messages avant le tien, le jour même de la parution de l'article... :|
Ou alors il y a une nouveauté à ce sujet que je ne vois pas dans ton lien ?
Image
perso / senscritique.com/-Kaonashi- / Letterboxd
Spoiler (cliquez pour afficher)
Image
Avatar de l’utilisateur
Supfiction
Charles Foster Kane
Messages : 22221
Inscription : 2 août 06, 15:02
Localisation : Have you seen the bridge?
Contact :

Re: Memories of Murder (Bong Joon-ho - 2003)

Message par Supfiction »

-Kaonashi Yupa- a écrit :
Même article cité Mosin-Nagant trois messages avant le tien, le jour même de la parution de l'article... :|
Ou alors il y a une nouveauté à ce sujet que je ne vois pas dans ton lien ?
La nouveauté c'est l'entretien de bong joon ho qui revient dessus et parle de Parasite et de ses projets:
Couronné à Cannes en mai dernier, son film Parasite est aujourd’hui un triomphe critique et commercial. Le cinéaste sud-coréen Bong Joon-ho, invité d’honneur du Festival Lumière à Lyon, ne s’attendait pas du tout au succès de ce film «un peu gênant, inconfortable». Vendu sur près de 200 marchés internationaux, un record pour un film sud-coréen, la Palme d’or 2019 a déjà engrangé plus de 90 millions de dollars de recettes dans le monde. En France, il a attiré 1,67 million de spectateurs, devenant la Palme d’or la plus vue depuis quinze ans.


Dans Parasite, drame social mâtiné de comédie, le destin d’une famille de chômeurs est bouleversé le jour où le fils est engagé par un riche couple en tant que professeur d’anglais de leur fille. Cette famille issue des bas-fonds de Séoul va peu à peu s’enfermer dans un dramatique engrenage de mensonges. «Parasite parle de la pauvreté, des odeurs, et le côté cru dans le film peut être un peu gênant pour les spectateurs», souligne Bong Joon-ho lors d’un entretien accordé à l’AFP à Lyon.



«Dans mon film, il n’y a pas du tout non plus de solidarité entre les pauvres. Au contraire, les pauvres se battent entre eux», ajoute le réalisateur de The Host. «C’est aussi pour ça que je pensais que le film dérangerait, parce qu’en général on voit les méchants riches et les pauvres solidaires et qui gagnent», analyse le cinéaste. «Très inquiet» de l’accueil qui serait réservé à ce long-métrage, il «espérait juste rentrer dans ses frais».

S’il passe avec Parasite - son septième film - aisément d’un ton à l’autre, alliant comédie noire et drame, le réalisateur de 50 ans affirme qu’il n’a «jamais senti qu’il mélangeait les genres, même pendant l’écriture du scénario ou le tournage».Il se dit traversé par des «émotions diverses», qu’il laisse «naturellement» ressortir dans ses films.


Bong Joon-ho, dont le premier long-métrage Barking dog est sorti en 2000, a connu le succès dès 2003 avec Memories of murder, inspiré de l’histoire vraie d’un tueur en série ayant sévi dans les années 1980. La police coréenne a annoncé en septembre avoir identifié un suspect dans cette affaire, confondu par son ADN plus de 30 ans après le premier meurtre. «Pendant des années, je n’ai pensé qu’à lui. Je me demandais comment je pouvais le rencontrer», raconte Bong Joon-ho.«J’en devenais complètement fou [...]. Comme aujourd’hui, on voit cet homme dans les journaux, on voit sa photo, j’ai des sentiments très mêlés, complexes», confie-t-il.

Bong Joon-ho s’attelle désormais à la préparation de son prochain film, projet auquel il songeait «depuis 17 ans». «C’est quelque chose d’assez étrange, une sorte de film d’horreur ou un thriller. Ça se passe à Séoul. On verra le paysage coréen, mais que j’ai envie de disséquer», détaille-t-il. «Et puis il y a un autre film, un projet en anglais. C’est un drame celui-là», ajoute le cinéaste décidément prolifique.

Serait-il prêt à travailler à nouveau avec Netflix? Okja, son précédent long-métrage dont la sélection à Cannes en 2017 avait suscité une vive polémique, conduisant le festival à obliger une sortie en salles pour les films en compétition. «Maintenant, avant que ce soit en streaming, il y a parfois des avant-premières des films Netflix en salles, donc je pense qu’eux aussi commencent à devenir un peu plus souples, à montrer les films au cinéma», estime le cinéaste. «Si ça continue dans cette direction-là, j’aimerais bien retravailler avec eux», ajoute-t-il.
https://www.lefigaro.fr/cinema/bong-joo ... t-20191020
Répondre