Roy Neary a écrit :Dans la religion juive, l'Arche d'Alliance n'a jamais été récupérée par Dieu !
De nombreux débats théologiques ont eu lieu au cours des siècles pour déterminer l'endroit où elle pourrait se trouver après qu'elle fut volée (l'Arche d'alliance a disparu à la fin du règne du roi Salomon). Certains pensent qu'elle a été confiée à la Reine de Saba, d'autres disent que, selon le Talmud, une réplique l'aurait remplacée. De plus dernièrement, des archéologues israéliens l'auraient situé dans un tunnel sous le Mont du Temple, mais vu le conflit actuel, il est encore impossible d'aller vérifier.
Pffff, j'ai mieux.... L'arche d'alliance est en France (tout comme le Graal d'ailleurs qui est caché à Brive la gaillarde). D'après certaines théories l'arche aurait constitué la pièce maitresse du trésor ramenés des croisades par les templiers. Elle serait donc cachée sous la ville qui a été la "capitale" de leur ordre et dont le sous-sol est truffé d'innombrables galeries...
Roy Neary a écrit :Dans la religion juive, l'Arche d'Alliance n'a jamais été récupérée par Dieu !
De nombreux débats théologiques ont eu lieu au cours des siècles pour déterminer l'endroit où elle pourrait se trouver après qu'elle fut volée (l'Arche d'alliance a disparu à la fin du règne du roi Salomon). Certains pensent qu'elle a été confiée à la Reine de Saba, d'autres disent que, selon le Talmud, une réplique l'aurait remplacée. De plus dernièrement, des archéologues israéliens l'auraient situé dans un tunnel sous le Mont du Temple, mais vu le conflit actuel, il est encore impossible d'aller vérifier.
Bonsoir,
Je ne sais pas trop, il y a tellement de version que c'est dur de trouver la bonne.
Sinon, le mont de Temple c'est le mont Sion (oui comme dans matrix).
"Vous qui entrez, laissez toute espérance"
Dante ALIGHIERI (1265-1321)
Raiders of the Lost Ark de Stephen Spielberg.
Que dire?
J'en avais gardé le souvenir (lointain) d'un GRAND film d'aventures, et ce souvenir est bien entendu non seulement vérifié, mais j'irai même jusqu'à oser dire qu'il s'agit là du plus grand des films d'aventure (enfin, parmi ceux que j'ai vu, s'entend)!
Cerise sur le gateau dont je n'avais pu vraiment apprécier à l'époque, ce film est vraiment superbe, avec mention toute spéciale pour toute la scène d'intro, MA-GNI-FI-QUE...
Comme l'écrit Roy un peu plus haut, on n'en fait plus, des films comme ça...
D., qui, dans un autre genre, avait beaucoup aimé Dude, Where's My Car?
Dracu a écrit :Raiders of the Lost Ark de Stephen Spielberg.
Que dire?
J'en avais gardé le souvenir (lointain) d'un GRAND film d'aventures, et ce souvenir est bien entendu non seulement vérifié, mais j'irai même jusqu'à oser dire qu'il s'agit là du plus grand des films d'aventure (enfin, parmi ceux que j'ai vu, s'entend)!
Cerise sur le gateau dont je n'avais pu vraiment apprécier à l'époque, ce film est vraiment superbe, avec mention toute spéciale pour toute la scène d'intro, MA-GNI-FI-QUE...
Comme l'écrit Roy un peu plus haut, on n'en fait plus, des films comme ça...
D., qui, dans un autre genre, avait beaucoup aimé Dude, Where's My Car?
le dvd est bien?
« Quand la mort de mourir de la peur de mourir fait plus peur de périr de la mort de pourrir… de la mort »
Dracu a écrit :Raiders of the Lost Ark de Stephen Spielberg. Snikt
le dvd est bien?
Ben... oui. Je ne sais pas pourquoi, je m'attendais à une image bien mais sans plus, et j'ai été heureusement surpris de voit qu'elle était de très bonne tenue...
D., qui ne parle même pas du plaisir d'écouter la musique de John Williams en 5.1...
(...)the original 1978 story conference between Steven Spielberg, George Lucas, and Lawrence Kasdan for a little film called Raiders of the Lost Ark.
Some background first. Spielberg suggested that Kasdan write Raiders because he admired his Continental Divide script. Lucas agreed. Now, imagine with me: Lucas had just released Star Wars, the biggest film in the history of Hollywood and a cult phenomenon. Spielberg had just released Close Encounters of the Third Kind and before that, Jaws. Now Kasdan was called in to have a story conference with the biggest names in Hollywood who wanted to talk about their next blockbuster. The conference took place at the L.A. home of Jane Bay, who was Lucas’ assistant. They had 5 consecutive 9-hour days to talk about the story. This .pdf is a transcript from taped recordings of those meetings.
The gospel was told, some souls it swallowed whole
Mentally they fold, and they eventually sold
Their life and times, deadly like the virus design
But too, minute to dilute, the scientist mind.
Wu.
- What do you do if the envelope is too big for the slot?
- Well, if you fold 'em, they fire you. I usually throw 'em out.
Le grand saut - Joel & Ethan Coen (1994)
Spielberg a non seulement réinventer le film d'aventures mais il l'a porté à un niveau qu'il est difficile d'atteindre sans en copier ou rendre hommage les tenants et aboutissants. Grâce à l'imagination de George Lucas et Spielberg, Indiana Jones est devenu un protagoniste mythique et extrêmement populaire, car il est devenu le héros que les spectateurs percevaient comme l'incarnation exemplaire de l'évasion et du devenir onirique (qui n'a pas rêvé d'être un héros jouissif).
Mais là où le film va devenir un classique, c'est incontestablement par la précision exceptionnelle de la mise en scène. Et c'est là que l'on voit que Spielberg est bien un fils de Hitchcock. Lors des séquences spectaculaires, séquences d'anthologies se succédant sans temps morts, le cinéaste rend l'efficacité à son sommet, ce qui est la moindre des choses, mais lors des séquences intimistes ou calmes, on s'aperçoit que la mise en scène, grâce à un découpage technique très élaboré, semble à chaque fois sûre de ses effets : jeux de lumière et d'éclairage, contrastes visuels, montage sans fausse note, mouvements de caméras jamais gratuits, envolées lyriques placées au bon moment. L'art de Spielberg est de créer des images, n'importe lesquelles, au service de son histoire, qui fonctionnent à chaque fois. L'énergie cinématographique déployée par Spielberg est telle que la maîtrise s'efface remarquablement dans l'histoire (avec un scénario excellent de Lawrence Kasdan).
Harrison Ford est le complice ultime de cette archaïsation du héros, son charme, son jeu, son charisme emportent l'interprétation à un niveau d'idéalisation.
Dès lors, Spielberg ouvre une brèche sur le statut du héros de cinéma, et laisse éclater sa mysoginie infantile car le genre lui permet. Il va s'interroger par la suite sur ce statut en l'introduisant dans tous ses stéréotypes.
C'est un film intrépide, brillant, superbement divertissant, mais aussi intelligent et rénovateur, et le début d'une saga incomparable !
Watkinssien a écrit :Spielberg a non seulement réinventer le film d'aventures mais il l'a porté à un niveau qu'il est difficile d'atteindre sans en copier ou rendre hommage les tenants et aboutissants.
En 1982, trois adolescents se lancent dans une entreprise inattendue : un remake plan par plan des Aventuriers de l'arche perdue , tourné dans les arrière-cours de leurs maisons. Six ans plus tard, ils bouclent Raiders : the adaptation, qui commence à circuler sous le manteau avant d'être projeté dans une poignée de festivals, ou encore lors de séances à but caritatif. En 2003, il fut question que cette histoire devienne à son tour un film, Daniel Clowes ( Ghost World ) devant l'écrire. Si ce projet semble abandonné, le remake amateur, lui, refait surface ! Le BBFC - comité de censure anglaise - vient en effet de lui donner un visa pour une sortie commerciale dans les salles britanniques. On espère quand même que les copies seront de meilleure qualité que la mini-bande annonce disponible sur le net... Voir la bande annonce de Raiders : the adaptation.
- What do you do if the envelope is too big for the slot?
- Well, if you fold 'em, they fire you. I usually throw 'em out.
Le grand saut - Joel & Ethan Coen (1994)
Raiders of the Lost Ark :
Revu cet après-midi pour au moins la 57ème...et ça reste toujours, selon moi, LE film d'aventures ultime. Les 40 dernières minutes sont juste parfaites !
