Oui d'accord, mais moi je me tue à te dire que c'est différent du type de mise en scène dont tu parlais au début.Jake Scully a écrit :est-ce qu'il a lu? Bien sûr on ne voir rien, c'est ce que je me tue à dire: la caméra se focalise sur le regard ébahi du personnage! mais nous on ne voit rien! lol
Steven Spielberg
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Bon bref, c'est pareil.Roy Neary a écrit :Oui d'accord, mais moi je me tue à te dire que c'est différent du type de mise en scène dont tu parlais au début.Jake Scully a écrit :est-ce qu'il a lu? Bien sûr on ne voir rien, c'est ce que je me tue à dire: la caméra se focalise sur le regard ébahi du personnage! mais nous on ne voit rien! lol
On se comprend.
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Re: Steven SPIELBERG
Metal Rider a écrit :
Dernièrement, si MINORITY REPORT m'a quelque peu déçu de son réalisateur, je lui reconnais des qualités. On retrouve la signature du réalisateur, et quelques trépidantes scènes d'action sont bien venues. La scène où Cruise fait rouler la boule et Colin Farrell la rattrappe permet de donner une superbe théorie qui développe le propos du film : "on peut changer l'avenir si on est sûr de la façon dont il se déroulera", la boule aurait dû tomber si Farell ne l'avait pas rattrappée - les meurtriers arrêtés avant qu'ils commettent leur crime sont certainement coupables de leurs futurs actes... normalement.
Les films que je n'ai pas vu de Spielberg sont A.I. et LA COULEUR POURPRE. Mais j'en ai beaucoup entendu parler, je rémédierai vite à cette lacune.
Minority report est mon préféré de Spielberg avec Schindler et Jaws. De voir enfin un film du cinéaste où le personnage principal est réalsite, c'est à dire pas imperméable au malheur, c'est uen bonne chose: ca change. A part la fin qui est un peu toute simple, il y a un vrai travail visuel, de rapport à l'image qui est fait.
A.I. mériterait un débat à lui tout seul, perso je n'ai pas vraiment aimé, mais quand on voit Minority et Arrete moi, c'est étonnant de constater à quel points ces trois films, bien que différents dans le genre, dans le style, parlent strictement de la même chose
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J'ai eu une relation très curieuse avec le cinéma de Spielberg. Dans un premier temps j'ai découvert comme bon nombre d'enfants de ma génération E.T en cassette à l'époque, à la toute fin des années 80 et j'avais adoré. Ensuite j'ai vu dans la foulée les deux premiers Indiana jones que j'ai trouvé aussi très bons et qui représentaient à l'époque les films que j'avais envie de découvrir : une aventure périlleuse, un héros charismatique, de belles séquences d'action et de l'humour. Puis, pendant quelques années je n'ai plus suivi le réalisateur, découvrant dans le même temps des réalisateurs comme Stanley Kubrick, Sam Raimi, Henri Verneuil, De palma, Bertrand Blier, etc... ce qui fait que je m'en suis désintéressé.
Des années après en voyant A.I au cinéma, je me suis dit qu'on ne m'y reprendrait plus car j'étais sorti en colère de la salle m'attendant à tout autre chose. M'étais-je trop mis dans la tête que le film avait quelque chose de l'univers de Kubrick, je ne sais pas, mais j'avais trouvé la fin interminable. Aujourd'hui je voudrais le revoir, car le film a bien vieilli dans ma tête.
Ce n'est que un an après que j'ai découvert Rencontres du troisième type qui m'a mis une gifle à laquelle je ne m'attendais pas. Pour moi ça été une grande leçon de cinéma, et mon intérêt a soudain ressurgi pour ce qui touchait à Spielberg. La vision en salle de Minority Report m'a réconcilié à la fois avec son cinéma et m'a poussé à revenir sur ce que j'avais manqué du cinéaste, me poussant à revoir des films et à en découvrir d'autres, comme l'Empire du Soleil dont je n'avais plus de souvenirs.
Je ne pourrais jamais parler aussi bien et de façon aussi passionnée de Spielberg que ne peut le faire Roy, qui de plus la rencontrer, ce qui est un paramètre affectif indéniable. Mais, c'est un réalisateur que je considère toujours important, dont l'univers pour peu qu'on sy plonge est plus riche que certains ne peuvent le penser ( et les mauvaises langues sont légion quand il s'agit de fustiger une "certaine guimauve", des "clichés à la pelle" ou pire "un chantage à l'émotion", comme il m'arrive parfois de le lire). Spielberg a su faire des films universels, et en côtoyant différents genres, en y mettant sa personnalité et en cherchant à rassembler les gens autour de ses oeuvres tout en les soignant, il demeure une personnalité incontournable du cinéma.
Des années après en voyant A.I au cinéma, je me suis dit qu'on ne m'y reprendrait plus car j'étais sorti en colère de la salle m'attendant à tout autre chose. M'étais-je trop mis dans la tête que le film avait quelque chose de l'univers de Kubrick, je ne sais pas, mais j'avais trouvé la fin interminable. Aujourd'hui je voudrais le revoir, car le film a bien vieilli dans ma tête.
Ce n'est que un an après que j'ai découvert Rencontres du troisième type qui m'a mis une gifle à laquelle je ne m'attendais pas. Pour moi ça été une grande leçon de cinéma, et mon intérêt a soudain ressurgi pour ce qui touchait à Spielberg. La vision en salle de Minority Report m'a réconcilié à la fois avec son cinéma et m'a poussé à revenir sur ce que j'avais manqué du cinéaste, me poussant à revoir des films et à en découvrir d'autres, comme l'Empire du Soleil dont je n'avais plus de souvenirs.
Je ne pourrais jamais parler aussi bien et de façon aussi passionnée de Spielberg que ne peut le faire Roy, qui de plus la rencontrer, ce qui est un paramètre affectif indéniable. Mais, c'est un réalisateur que je considère toujours important, dont l'univers pour peu qu'on sy plonge est plus riche que certains ne peuvent le penser ( et les mauvaises langues sont légion quand il s'agit de fustiger une "certaine guimauve", des "clichés à la pelle" ou pire "un chantage à l'émotion", comme il m'arrive parfois de le lire). Spielberg a su faire des films universels, et en côtoyant différents genres, en y mettant sa personnalité et en cherchant à rassembler les gens autour de ses oeuvres tout en les soignant, il demeure une personnalité incontournable du cinéma.
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Re: Steven SPIELBERG
Bof.Metal Rider a écrit :.... Le but du topic est de faire une sorte de "thread officiel sur les débats autour du plus grand réalisateur du Cinéma" :wink: )
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Alors que je viens de redécouvrir rencontre du troisième type avec un énorme plaisir, que AI est incontestablement l'un de mes films préférés, et que je lui dois mes plus anciens souvenirs de bonheur cinematographiques, je ne peux pas faire autrement que m'accorder à dire que Steven Spielberg est un grand.
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J'ai adoré comme tout le monde... mais, depuis 1998 (après 1998), tous ses films m'ont déplu !
Je donne un "Sugarland Express" pour 10 "Minority Report" ou "AI" ! Quant à "Catch Me" ou le sujet du "Terminal", au secours ! Pour l'instant, il ne me fait plus rêver du tout.
J'espère des retrouvailles pour Indy IV.
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C'est marrant, je pense exactement le contraire. Mais alors exactement !Commissaire Juve a écrit :J'ai adoré comme tout le monde... mais, depuis 1998 (après 1998), tous ses films m'ont déplu !
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