Van Helsing (Stephen Sommers - 2004)
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Van Helsing (Stephen Sommers - 2004)
Le voilà qu'il arrive sur nos écrans avec 2 jours d'avance sur les ricains !
Et sincérement en y repensant je me disais il y a quelque mois :
"Sommers qui réunit DRACULA,LA CRATURE DE FRANKENSTEIN et LE LOUP GAROU soit il est maso et on frise l'indigestion ou soit il a des couilles et nous pond un trés bon divertissement de derriére les fagots...."
Et ma réponse est
Monsieur Sommers a réussi son pari et signe là un trés bon film qui en met plein les yeux et les oreilles.
Et pendant 2h10 je n'ai pas vu le temps passer.
SPOILERS
Direct dans l'ambiance avec le préambule en noir et blanc:bien joué!
La scéne d'intro de Van Helsing à Paris:re-bien joué!!
La premiére rencontre entre Helsing et Anna :ça en donne l'eau à la bouche
...........
FINSPOILERS
Hugh Jackman en impose grave ( ça devient une habitude )
Kate Beckinsale ne demande qu'à se faire empaler
Sommers maitrise sa réal. et nous fait passer un trés bon moment à grands de pieux et de crucifix et cela pendant 2h10....Que demande le peuple Une suite .....ça c sur si le film dépasse les 100 millions de $ aux US .PLus sérieusement Stephen Sommers dépoussiére grve le mythe et impose Van Helsing en nouveau Héros du grand écran c toujours mieux que de dépoussiérer Moogly .
Et sincérement en y repensant je me disais il y a quelque mois :
"Sommers qui réunit DRACULA,LA CRATURE DE FRANKENSTEIN et LE LOUP GAROU soit il est maso et on frise l'indigestion ou soit il a des couilles et nous pond un trés bon divertissement de derriére les fagots...."
Et ma réponse est
Monsieur Sommers a réussi son pari et signe là un trés bon film qui en met plein les yeux et les oreilles.
Et pendant 2h10 je n'ai pas vu le temps passer.
SPOILERS
Direct dans l'ambiance avec le préambule en noir et blanc:bien joué!
La scéne d'intro de Van Helsing à Paris:re-bien joué!!
La premiére rencontre entre Helsing et Anna :ça en donne l'eau à la bouche
...........
FINSPOILERS
Hugh Jackman en impose grave ( ça devient une habitude )
Kate Beckinsale ne demande qu'à se faire empaler
Sommers maitrise sa réal. et nous fait passer un trés bon moment à grands de pieux et de crucifix et cela pendant 2h10....Que demande le peuple Une suite .....ça c sur si le film dépasse les 100 millions de $ aux US .PLus sérieusement Stephen Sommers dépoussiére grve le mythe et impose Van Helsing en nouveau Héros du grand écran c toujours mieux que de dépoussiérer Moogly .
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Re: Van Helsing
J'espère m'y amuser gentiment...les premiers échos sont assassins.
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Re: Van Helsing
Je suis déçu d'ou viennent-ilsPancake a écrit :J'espère m'y amuser gentiment...les premiers échos sont assassins.
ces échos?
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Re: Van Helsing
De droite à gauche sur le net par des journaleux ou gens placés américains (ça vaut ce que ça vaut hum). En France je ne sais pas trop encore...quelques amis m'ont un peu refroidi. Je vois ça mercrediRobert 'Butch' Haynes a écrit :Je suis déçu d'ou viennent-ils
ces échos?
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pas vu une seule bonne critique.
C embétant tout de même car je trouve les décors et design que l'on voit dans la ba fort réussi.
Enfin si c'est du niveau de la momie voir même du retour de la momie (mais alors au minimum) ça devrait aller. Du gros bluckbuster qui tache mais qui partira de toute façon au lavage alors ...
C embétant tout de même car je trouve les décors et design que l'on voit dans la ba fort réussi.
Enfin si c'est du niveau de la momie voir même du retour de la momie (mais alors au minimum) ça devrait aller. Du gros bluckbuster qui tache mais qui partira de toute façon au lavage alors ...
There is something very important that we need to do as soon as possible.
What's that?
Fuck !
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Alors achète Vampire Hunter D, anime de Yoshiaki Kawajiri, dispo dans une belle édition z2fr, et apparemment allègremment pompé par ce tâcheron de Sommers.kyle reese a écrit :pas vu une seule bonne critique.
C embétant tout de même car je trouve les décors et design que l'on voit dans la ba fort réussi.
Enfin si c'est du niveau de la momie voir même du retour de la momie (mais alors au minimum) ça devrait aller. Du gros bluckbuster qui tache mais qui partira de toute façon au lavage alors ...
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Je le sens super mal çui-là !
Il a tout pour me déplaire, un Jackman auquel je n'accroche pas, et qui m'a gaché mon plaisir sur les X-Men, Bekinsdale, c'est pas mon type de nenette et j'ai dormi une bonne moitié de film sur Underworld. Cerise sur le gateau, je trouve que Sommers a enchaîné les bouses (la serie Momie) depuis le pêchu Un cri dans l'ocean.
En plus, je viens de lire ça :
"Inaudible, humainement impossible à regarder, film-bouillie, Van Helsing nous invite à dégainer quelques rengaines de vieux cons : qu’est-ce que c’est que ce truc ? Ça ressemble à ça, un blockbuster hollywoodien ? À un concert de hurlements, un déluge d’explosions, un arsenal pyrotechnique assourdissant qui semble n’avoir d’autre but que de boucher l’écran comme on bouche un évier ? Oui. Van Helsing, c’est ça, et c’est affreux. Le film aspire à se rendre invisible. Non par la disparition ou l’effacement, mais par une sorte d’hystérie du voir, du voir-beaucoup. Remplir le champ, obstruer. Le blockbuster, ce n’est pas nouveau, a horreur du vide. Du silence, de la durée, des intervalles. Ce film-là ne cherche qu’à occuper le terrain du visible, selon une logique de remplissage rarement poussé à une telle extrémité de disgrâce. Et ne propose comme résistance de se replier sur soi, en fermant ses yeux, en bouchant ses oreilles pour les préserver d’une pareille agression.
Comme, récemment, La Ligue des gentlemen extraordinaires, Van Helsing est une compilation de monstres et de motifs venus de la Hammer, de Universal (hommage maison), de Terence Fisher. Stephen Sommers réussit à tourner un mauvais Dracula, un mauvais Frankenstein, un mauvais Dr Jekyll, un mauvais film de Loup-Garou. Le héros, Van Helsing, est une sorte d’homme de main à la solde du Vatican, chargé de poursuivre toutes les anomalies diaboliques et autres créatures que la morale chrétienne réprouve. Un personnage assez beau, ténébreux et secret, affecté d’une amnésie qui jette sur sa nature l’ombre d’un doute, laissant percer l’hypothèse qu’il est un oiseau de nuit errant entre le monde des morts et celui des vivants. De ces qualités, le film n’en tire rien. Un peu d’humour potache (le soldat est affublé d’un moine craintif, sorte de Q venu des caves du Vatican), une fadasse romance avec une tueuse de vampires transylvanienne, et surtout une petite boutique des horreurs, agencement d’un mauvais goût inouï de tout ce qui compose la mythologie des films de monstres.
Stephen Sommers, petit artisan passé petit maître dans la surenchère puérile de l’action (La Momie), a définitivement laissé mourir l’espoir de voir en lui un sympathique petit truqueur des mythes du cinéma d’aventures classique. Après deux heures de film et une sévère migraine, on sort broyé : l’invraisemblable forçage des effets spéciaux aboutit à une espèce de ratatouille immonde ; c’est l’écran tout entier qui semble pris de convulsions, prêt à vomir toutes les explosions, tous les programmes informatiques, tous les trucs et astuces qu’il a dû ingurgiter. Un blockbuster dans toute sa splendide et caricaturale laideur. "
Jean-Philippe Tessé
http://www.chronicart.com/cine/cine_ens ... p3?id=8746
Bon même si ce canard n'est pas une référence, je ne vais pas m'infliger ça. Je vais attendre Hellboy bien sagement...[/b]
Il a tout pour me déplaire, un Jackman auquel je n'accroche pas, et qui m'a gaché mon plaisir sur les X-Men, Bekinsdale, c'est pas mon type de nenette et j'ai dormi une bonne moitié de film sur Underworld. Cerise sur le gateau, je trouve que Sommers a enchaîné les bouses (la serie Momie) depuis le pêchu Un cri dans l'ocean.
En plus, je viens de lire ça :
"Inaudible, humainement impossible à regarder, film-bouillie, Van Helsing nous invite à dégainer quelques rengaines de vieux cons : qu’est-ce que c’est que ce truc ? Ça ressemble à ça, un blockbuster hollywoodien ? À un concert de hurlements, un déluge d’explosions, un arsenal pyrotechnique assourdissant qui semble n’avoir d’autre but que de boucher l’écran comme on bouche un évier ? Oui. Van Helsing, c’est ça, et c’est affreux. Le film aspire à se rendre invisible. Non par la disparition ou l’effacement, mais par une sorte d’hystérie du voir, du voir-beaucoup. Remplir le champ, obstruer. Le blockbuster, ce n’est pas nouveau, a horreur du vide. Du silence, de la durée, des intervalles. Ce film-là ne cherche qu’à occuper le terrain du visible, selon une logique de remplissage rarement poussé à une telle extrémité de disgrâce. Et ne propose comme résistance de se replier sur soi, en fermant ses yeux, en bouchant ses oreilles pour les préserver d’une pareille agression.
Comme, récemment, La Ligue des gentlemen extraordinaires, Van Helsing est une compilation de monstres et de motifs venus de la Hammer, de Universal (hommage maison), de Terence Fisher. Stephen Sommers réussit à tourner un mauvais Dracula, un mauvais Frankenstein, un mauvais Dr Jekyll, un mauvais film de Loup-Garou. Le héros, Van Helsing, est une sorte d’homme de main à la solde du Vatican, chargé de poursuivre toutes les anomalies diaboliques et autres créatures que la morale chrétienne réprouve. Un personnage assez beau, ténébreux et secret, affecté d’une amnésie qui jette sur sa nature l’ombre d’un doute, laissant percer l’hypothèse qu’il est un oiseau de nuit errant entre le monde des morts et celui des vivants. De ces qualités, le film n’en tire rien. Un peu d’humour potache (le soldat est affublé d’un moine craintif, sorte de Q venu des caves du Vatican), une fadasse romance avec une tueuse de vampires transylvanienne, et surtout une petite boutique des horreurs, agencement d’un mauvais goût inouï de tout ce qui compose la mythologie des films de monstres.
Stephen Sommers, petit artisan passé petit maître dans la surenchère puérile de l’action (La Momie), a définitivement laissé mourir l’espoir de voir en lui un sympathique petit truqueur des mythes du cinéma d’aventures classique. Après deux heures de film et une sévère migraine, on sort broyé : l’invraisemblable forçage des effets spéciaux aboutit à une espèce de ratatouille immonde ; c’est l’écran tout entier qui semble pris de convulsions, prêt à vomir toutes les explosions, tous les programmes informatiques, tous les trucs et astuces qu’il a dû ingurgiter. Un blockbuster dans toute sa splendide et caricaturale laideur. "
Jean-Philippe Tessé
http://www.chronicart.com/cine/cine_ens ... p3?id=8746
Bon même si ce canard n'est pas une référence, je ne vais pas m'infliger ça. Je vais attendre Hellboy bien sagement...[/b]
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Sommers a un chouille de liberté et go on se faufile, le vampire marche à l'envers pendant que sa bouche se déforme fort et que ses putes sorties d'un clip d'une Toni Braxton roumaine dansent autour, jusqu'à ce que l'histoire se limite à de la baston filmée bouillie. On ne semble connaître que l'accumulation pour en mettre plein la vue, c'est juste abrutissant et très laid visuellement. Coquille vide et moche, dommage j'étais plutôt partant (j'aime plutôt bien les autres Sommers malgré leurs défauts).
1/6
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