La Ligne rouge (Terrence Malick - 1998)
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Re: La Ligne rouge
Alléluia !
La même chose pour Blow Out chez Carlotta et je serais comblé.
(oui, je radote)
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Re: La Ligne rouge
Un visuel qui ne rend pas justice à ce merveilleux film effectivementinderweltsein a écrit :J'ai croisé les doigts depuis un mois et demi pour que cela soit différent de la version britannique, et plus fort encore depuis l'annonce de FPE..
En vain:
mais bon avec une qualité image et son (la VO du DVD était particulièrement étouffée selon mes souvenirs) à la hauteur, ça passera quand même
- Boubakar
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Re: La Ligne rouge (Terrence Malick - 1998)
Selon LAL, les bonus annoncés :
- commentaire audio
- interviews de 5 acteurs et de Hans ZImmer
- montage du film
- 8 scènes coupées
- 5 films d'archives de 1942 et 43 sur Guadalcanal
, le tout en SD.
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- montage du film
- 8 scènes coupées
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Re: La Ligne rouge (Terrence Malick - 1998)
Le Brd vient de sortir en magasins, au PVP de 20 euros.
Contrairement à ce que disait LAL, il est annoncé 90 minutes de bonus (et non 2 heures).
Contrairement à ce que disait LAL, il est annoncé 90 minutes de bonus (et non 2 heures).
- tenia
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Re: La Ligne rouge (Terrence Malick - 1998)
Peu importe la durée des bonus :
- en manque-t'il par rapport au CC ?
- qu'en est-il du master / transfert ?
- en manque-t'il par rapport au CC ?
- qu'en est-il du master / transfert ?
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Re: La Ligne rouge (Terrence Malick - 1998)
- oui, il en manque.tenia a écrit :Peu importe la durée des bonus :
- en manque-t'il par rapport au CC ?
- qu'en est-il du master / transfert ?
- c'est du AVC, dont LAL note l'excellente qualité ("à tomber à genoux")
- reuno
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Re: La Ligne rouge (Terrence Malick - 1998)
Reçu aujourd'hui, regardé la première demi heure et c'est magnifique !
Dommage juste que la jaquette soit à nulle et qu'il manque des bonus...
Bon maintenant messieurs les éditeurs faut enchainer sur Days of Heaven zone B fr !
Dommage juste que la jaquette soit à nulle et qu'il manque des bonus...
Bon maintenant messieurs les éditeurs faut enchainer sur Days of Heaven zone B fr !
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Re: La Ligne rouge (Terrence Malick - 1998)
Il ne manque qu'une seul bonus et le livret.
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Re: La Ligne rouge (Terrence Malick - 1998)
Bon alors j'ai vu les scènes coupées: sincèrement à part 2 le reste tu m'étonnes qu'elles ont été virées.
Celle de Nick Stahl méritait d'être dans le montage final. Le caméo de Rourke est très juste, court mais touchant. Le départ de Fife ne sert à rien. Les 2 premières scènes coupées idem.
J'ai regardé la featurette sur Hans Zimmer: bonus très très intéressant où pour une fois on nous parle vraiment du travail technique lié à la musique (bon c’est pas très profond mais ya des termes professionnels). On en apprend pas beaucoup plus sur Malick sauf ce qu'on savait déjà. Bine vu Berry sur "la rivière qui coule" comme pour Desplat sur Tree of Life. Malick a l'air d'être un artiste torturé par les mêmes thèmes et les mêmes sujets/questionnements qu'il ne fait que ressasser plus ou moins dans tous ses films. The thin red line hier ça m'a sauté aux yeux le rapport avec Tree of Life sur l'ambivalence. Je pense aussi que Malick surligne pas mal ses thèmes pourtant ça n'empêche que pas le de personnes restent sur le carreau et cela vient surtout de la forme de ses trois derniers films (surtotu les 2 derniers en fait) où c'est tellement plein de volupté et de virtuosité que la narration poétique éclatée se mue en une multitude de plans hautement métaphoriques auxquels il faut trouver un (son) sens par rapport à ce qui est dit, ce qui vécu, ce qui montré.
et j'avais donc bien raison qund je parlais dans le topic de Tree of life de bouddhisme puisque Hans Zimemr raconte une anecdote sur un musicien japonais fraichement débarqué pour bosser sur une musique et qui voit sur l'écran une scène se dérouler mais sans le son et juste en lisant sur les l lèvres du personnage il a demandé "c'est une prière bouddhiste?" et ça m'a toujours paru clair justement par rapport à ce thème d’ambivalence ,le yin et le yang pour simplifier (mais aussi le rapport d'interdépendance : la Nature n’existe pas sans la Grâce qui ne peut avoir de sens qu'au trvers de sa création, Witt/Welsh qui se confronte mais s'attirent puis se rejettent puis s'attirent et se complètent, dans Tree of life la mère/le père, Jack/père, Jack/mère, c'est dans une sorte de conflit harmonieux que nous évoluons.. . et c'est une récurrente dans chaque spiritualité de ce monde. C’est pour certains d'un banalité affligeante mais c’est ce qui nous torture tous plus ou moins : assaillit par le doute, nous sommes en perpétuel quête de la Vérité qu'on ne saisira jamais (la finalité des films de Malick c'est justement de ne pas en avoir : chacun choisit sa voie car la Grâce reste finalement sans voix ).
Celle de Nick Stahl méritait d'être dans le montage final. Le caméo de Rourke est très juste, court mais touchant. Le départ de Fife ne sert à rien. Les 2 premières scènes coupées idem.
J'ai regardé la featurette sur Hans Zimmer: bonus très très intéressant où pour une fois on nous parle vraiment du travail technique lié à la musique (bon c’est pas très profond mais ya des termes professionnels). On en apprend pas beaucoup plus sur Malick sauf ce qu'on savait déjà. Bine vu Berry sur "la rivière qui coule" comme pour Desplat sur Tree of Life. Malick a l'air d'être un artiste torturé par les mêmes thèmes et les mêmes sujets/questionnements qu'il ne fait que ressasser plus ou moins dans tous ses films. The thin red line hier ça m'a sauté aux yeux le rapport avec Tree of Life sur l'ambivalence. Je pense aussi que Malick surligne pas mal ses thèmes pourtant ça n'empêche que pas le de personnes restent sur le carreau et cela vient surtout de la forme de ses trois derniers films (surtotu les 2 derniers en fait) où c'est tellement plein de volupté et de virtuosité que la narration poétique éclatée se mue en une multitude de plans hautement métaphoriques auxquels il faut trouver un (son) sens par rapport à ce qui est dit, ce qui vécu, ce qui montré.
et j'avais donc bien raison qund je parlais dans le topic de Tree of life de bouddhisme puisque Hans Zimemr raconte une anecdote sur un musicien japonais fraichement débarqué pour bosser sur une musique et qui voit sur l'écran une scène se dérouler mais sans le son et juste en lisant sur les l lèvres du personnage il a demandé "c'est une prière bouddhiste?" et ça m'a toujours paru clair justement par rapport à ce thème d’ambivalence ,le yin et le yang pour simplifier (mais aussi le rapport d'interdépendance : la Nature n’existe pas sans la Grâce qui ne peut avoir de sens qu'au trvers de sa création, Witt/Welsh qui se confronte mais s'attirent puis se rejettent puis s'attirent et se complètent, dans Tree of life la mère/le père, Jack/père, Jack/mère, c'est dans une sorte de conflit harmonieux que nous évoluons.. . et c'est une récurrente dans chaque spiritualité de ce monde. C’est pour certains d'un banalité affligeante mais c’est ce qui nous torture tous plus ou moins : assaillit par le doute, nous sommes en perpétuel quête de la Vérité qu'on ne saisira jamais (la finalité des films de Malick c'est justement de ne pas en avoir : chacun choisit sa voie car la Grâce reste finalement sans voix ).
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Re: La Ligne rouge (Terrence Malick - 1998)
Je suis heureux de lire ce que tu écris, mais je pense que pour Malick il y a une solution, pas seulement du ressassement. Witt, Pocahontas, et Jack meurent et renaissent exactement de la même manière, la solution est là, et il n'est pas besoin d'en dire plus.waylander a écrit :et j'avais donc bien raison qund je parlais dans le topic de Tree of life de bouddhisme puisque Hans Zimemr raconte une anecdote sur un musicien japonais fraichement débarqué pour bosser sur une musique et qui voit sur l'écran une scène se dérouler mais sans le son et juste en lisant sur les l lèvres du personnage il a demandé "c'est une prière bouddhiste?" et ça m'a toujours paru clair justement par rapport à ce thème d’ambivalence ,le yin et le yang pour simplifier (mais aussi le rapport d'interdépendance : la Nature n’existe pas sans la Grâce qui ne peut avoir de sens qu'au trvers de sa création, Witt/Welsh qui se confronte mais s'attirent puis se rejettent puis s'attirent et se complètent, dans Tree of life la mère/le père, Jack/père, Jack/mère, c'est dans une sorte de conflit harmonieux que nous évoluons.. . et c'est une récurrente dans chaque spiritualité de ce monde. C’est pour certains d'un banalité affligeante mais c’est ce qui nous torture tous plus ou moins : assaillit par le doute, nous sommes en perpétuel quête de la Vérité qu'on ne saisira jamais (la finalité des films de Malick c'est justement de ne pas en avoir : chacun choisit sa voie car la Grâce reste finalement sans voix ).
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Re: La Ligne rouge (Terrence Malick - 1998)
Bah je plussoie tu vois.Wagner a écrit :Je suis heureux de lire ce que tu écris, mais je pense que pour Malick il y a une solution, pas seulement du ressassement. Witt, Pocahontas, et Jack meurent et renaissent exactement de la même manière, la solution est là, et il n'est pas besoin d'en dire plus.waylander a écrit :et j'avais donc bien raison qund je parlais dans le topic de Tree of life de bouddhisme puisque Hans Zimemr raconte une anecdote sur un musicien japonais fraichement débarqué pour bosser sur une musique et qui voit sur l'écran une scène se dérouler mais sans le son et juste en lisant sur les l lèvres du personnage il a demandé "c'est une prière bouddhiste?" et ça m'a toujours paru clair justement par rapport à ce thème d’ambivalence ,le yin et le yang pour simplifier (mais aussi le rapport d'interdépendance : la Nature n’existe pas sans la Grâce qui ne peut avoir de sens qu'au trvers de sa création, Witt/Welsh qui se confronte mais s'attirent puis se rejettent puis s'attirent et se complètent, dans Tree of life la mère/le père, Jack/père, Jack/mère, c'est dans une sorte de conflit harmonieux que nous évoluons.. . et c'est une récurrente dans chaque spiritualité de ce monde. C’est pour certains d'un banalité affligeante mais c’est ce qui nous torture tous plus ou moins : assaillit par le doute, nous sommes en perpétuel quête de la Vérité qu'on ne saisira jamais (la finalité des films de Malick c'est justement de ne pas en avoir : chacun choisit sa voie car la Grâce reste finalement sans voix ).
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Re: La Ligne rouge (Terrence Malick - 1998)
Je ne retouve pas la discussion autour du problème de sous-titrage sur les bonus du BR de "La ligne rouge". Parce que j'ai le même problème : ils sont touts petits et sont incrustés à gauche au milieu de l'image, bref illisibles. Y-a-il un moyen s'y remedier au dois-je juste patienter et retenter lors d'un nouvel achat de lecteur ?
- Dunn
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Re: La Ligne rouge (Terrence Malick - 1998)
le film ressort en edition collector digibook avec un dvd de supplément(?)
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Re: La Ligne rouge (Terrence Malick - 1998)
Il s'agit de la reprise du combo déjà édité en France.Dunn a écrit :le film ressort en edition collector digibook avec un dvd de supplément(?)
Le BR possède des suppléments sur le même disque que le film. Le DVD est le DVD du film édité il y a bien longtemps. Aucun bonus dessus, je crois.
- monk
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