Les Blu-ray Artus
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Re: Les Blu-ray Artus
Qu’est-ce que tu racontes ?
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Re: Les Blu-ray Artus
Il n'a plus d'eau chaude pour prendre sa douche.
(si j'ai bien compris)
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Re: Les Blu-ray Artus
Erreur d'éditeur je voulais parler de Chiens enragés,il n'y a pas de bouton pour supprimer un message je voulais juste laisser un "."
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Re: Les Blu-ray Artus
J’avais posté les liens sur le topic restauration et Margheriti. Mais merci pour le rappel.C2302t a écrit : ↑16 avr. 22, 18:38 Je ne sais pas si quelqu'un en a parlé quelque part, mais je viens de recevoir un mail d'artus au sujet d'une collecte de fonds pour la restauration de danse macabre d'antonio Margheriti. Apparemment le négatif se détériore et la société Lyre souhaite entreprendre une restauration 4k.
Je mets le lien s'il y a parmi vous des mécènes en herbe qui souhaitent participer.
https://don-express.proarti.fr/ensemble ... -macabre-0
La collecte n’avance pas vraiment…
C’est defiscalisé donc 100€ coute en fait 33.
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Re: Les Blu-ray Artus
Zut, pour une fois que je sortais une bonne vanne
J'aurais dû faire un copier/coller
Alors à l'origine avant que notre ami moustachu n'édite :
halford66 avait écrit "Douche froide."...
Jack Carter lui a demandé "Qu'est-ce que tu racontes?"...
...et j'avais enchaîné sur un brillant trait d'esprit.
(on devrait interdire à halford66 d'éditer ses messages)
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- Tina Quintero
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Re: Les Blu-ray Artus
Je copie mon message posté sur le fil des achats, plus à sa place ici.
EDIT (à ne pas lire si vous n'avez pas vu le film). Je lis la critique https://www.dvdfr.com/dvd/c169482-canni ... assin.html les yeux écarquillés : le chroniqueur ne fait qu'évoquer une relation homosexuelle "platonique" et "suggérée" (je cite) ! Il est passé à côté d'un aspect fondamental du film, omniprésent dès les premières images avec Poncela reluquant les joueurs de foot avec ses jumelles, puis dans plusieurs symboles (le liquide blanc bu à la paille, toute la scène nocturne de la piscine avec notamment les jets d'eau et de ballon, le rocking-chair, le verre coupé...), dans l'inévitable allusion d'un traumatisme lié à la mère (particulièrement sordide !), ou encore avec le personnage secondaire du droguiste. Pour qui est familier des astuces habituelles qui permettaient de contourner la censure, la relation homosexuelle est plus que consommée, et absolument centrale dans le film : ce n'est pas sans raison que l'assassin tue des femmes ou personnes liées au mariage (forcément hétéro) de son frère, le film entier est - aussi - le récit de la découverte et acceptation de son homosexualité par le héros (le fait qu'il refuse d'avouer ses crimes est une vaste métaphore), et c'est ce qui le rend unique. Plus grave que cette critique ratée, cela voudrait dire que les nombreux baisers gays filmés par Eloy de la Iglesia (dont le très beau aquatique mentionné plus haut), mais censurés y compris à l'étranger, seraient absents de cette édition française ?! Ils sont évidemment présents sur l'édition espagnole comme "scènes coupées", je joins deux photos en spoiler. Quelqu'un confirme cette impardonnable omission ? Et donc même les suppléments ne développent pas cet angle ? Eloy de la Iglesia est pourtant connu notamment pour avoir contribué à banaliser la représentation de l'homosexualité dans le cinéma espagnol voire européen, on ne peut pas se pencher sur son œuvre, et en particulier ce film, sans y consacrer un bon chapitre. Je serais vraiment sidérée qu'une édition qui se veut si complète et soignée ait oublié LE supplément à ne pas oublier, à savoir ces quelques précieuses images, censurées en leur temps mais ayant survécu dans un tiroir, et qui explicitent tous les sous-entendus.
Oh, je n'étais pas au courant qu'il était sorti en édition française ! J'ai le BR espagnol, c'est un film que j'aime beaucoup, assez hallucinant quand on le replace dans son contexte, avec la censure franquiste : l'épouvante et l'érotisme était tolérés car rentables, mais en principe il fallait que ça se passe à l'étranger (L'Horrible Docteur Orloff ou La Résidence sont situés en France, La Révolte des morts-vivants au Portugal, Le Massacre des morts-vivants en Angleterre...) ou à une autre époque, alors que là on a un véritable document sur le prolétariat madrilène vers 1970. Et bien sûr, Eloy de la Iglesia va le plus loin possible dans une représentation non négative de l'homosexualité, même s'il a dû beaucoup élaguer : ne pas rater le baiser gay aquatique parmi les scènes censurées. Eusebio Poncela (le voisin) sera le protagoniste de deux autres films cultes, une fois le cinéma espagnol libéré après 1975 : Arrebato de Zulueta et La Loi du désir d'Almodóvar. Ton retour m'intéresse concernant les suppléments, mais je pense que je vais craquer et l'acheter. Pas fan de Gaspar Noé cinéaste, mais il est passionnant comme cinéphile. Et je serais très curieuse de lire le livret de 64 pages.
EDIT (à ne pas lire si vous n'avez pas vu le film). Je lis la critique https://www.dvdfr.com/dvd/c169482-canni ... assin.html les yeux écarquillés : le chroniqueur ne fait qu'évoquer une relation homosexuelle "platonique" et "suggérée" (je cite) ! Il est passé à côté d'un aspect fondamental du film, omniprésent dès les premières images avec Poncela reluquant les joueurs de foot avec ses jumelles, puis dans plusieurs symboles (le liquide blanc bu à la paille, toute la scène nocturne de la piscine avec notamment les jets d'eau et de ballon, le rocking-chair, le verre coupé...), dans l'inévitable allusion d'un traumatisme lié à la mère (particulièrement sordide !), ou encore avec le personnage secondaire du droguiste. Pour qui est familier des astuces habituelles qui permettaient de contourner la censure, la relation homosexuelle est plus que consommée, et absolument centrale dans le film : ce n'est pas sans raison que l'assassin tue des femmes ou personnes liées au mariage (forcément hétéro) de son frère, le film entier est - aussi - le récit de la découverte et acceptation de son homosexualité par le héros (le fait qu'il refuse d'avouer ses crimes est une vaste métaphore), et c'est ce qui le rend unique. Plus grave que cette critique ratée, cela voudrait dire que les nombreux baisers gays filmés par Eloy de la Iglesia (dont le très beau aquatique mentionné plus haut), mais censurés y compris à l'étranger, seraient absents de cette édition française ?! Ils sont évidemment présents sur l'édition espagnole comme "scènes coupées", je joins deux photos en spoiler. Quelqu'un confirme cette impardonnable omission ? Et donc même les suppléments ne développent pas cet angle ? Eloy de la Iglesia est pourtant connu notamment pour avoir contribué à banaliser la représentation de l'homosexualité dans le cinéma espagnol voire européen, on ne peut pas se pencher sur son œuvre, et en particulier ce film, sans y consacrer un bon chapitre. Je serais vraiment sidérée qu'une édition qui se veut si complète et soignée ait oublié LE supplément à ne pas oublier, à savoir ces quelques précieuses images, censurées en leur temps mais ayant survécu dans un tiroir, et qui explicitent tous les sous-entendus.
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Re: Les Blu-ray Artus
Dommage que la campagne piétine, j'apprécie beaucoup ce film.The Eye Of Doom a écrit : ↑24 avr. 22, 13:16J’avais posté les liens sur le topic restauration et Margheriti. Mais merci pour le rappel.C2302t a écrit : ↑16 avr. 22, 18:38 Je ne sais pas si quelqu'un en a parlé quelque part, mais je viens de recevoir un mail d'artus au sujet d'une collecte de fonds pour la restauration de danse macabre d'antonio Margheriti. Apparemment le négatif se détériore et la société Lyre souhaite entreprendre une restauration 4k.
Je mets le lien s'il y a parmi vous des mécènes en herbe qui souhaitent participer.
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Re: Les Blu-ray Artus
Avant que je donne de l'argent pour restaurer un film en mode mécène, 'faudrait déjà que je puisse payer la rénovation de ma salle de bains
Dernière modification par Torrente le 25 avr. 22, 00:28, modifié 1 fois.
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Re: Les Blu-ray Artus
¡ Hola Tina !Tina Quintero a écrit : ↑24 avr. 22, 14:40 Je copie mon message posté sur le fil des achats, plus à sa place ici.Oh, je n'étais pas au courant qu'il était sorti en édition française ! J'ai le BR espagnol, c'est un film que j'aime beaucoup, assez hallucinant quand on le replace dans son contexte, avec la censure franquiste : l'épouvante et l'érotisme était tolérés car rentables, mais en principe il fallait que ça se passe à l'étranger (L'Horrible Docteur Orloff ou La Résidence sont situés en France, La Révolte des morts-vivants au Portugal, Le Massacre des morts-vivants en Angleterre...) ou à une autre époque, alors que là on a un véritable document sur le prolétariat madrilène vers 1970. Et bien sûr, Eloy de la Iglesia va le plus loin possible dans une représentation non négative de l'homosexualité, même s'il a dû beaucoup élaguer : ne pas rater le baiser gay aquatique parmi les scènes censurées. Eusebio Poncela (le voisin) sera le protagoniste de deux autres films cultes, une fois le cinéma espagnol libéré après 1975 : Arrebato de Zulueta et La Loi du désir d'Almodóvar. Ton retour m'intéresse concernant les suppléments, mais je pense que je vais craquer et l'acheter. Pas fan de Gaspar Noé cinéaste, mais il est passionnant comme cinéphile. Et je serais très curieuse de lire le livret de 64 pages.
EDIT (à ne pas lire si vous n'avez pas vu le film). Je lis la critique https://www.dvdfr.com/dvd/c169482-canni ... assin.html les yeux écarquillés : le chroniqueur ne fait qu'évoquer une relation homosexuelle "platonique" et "suggérée" (je cite) ! Il est passé à côté d'un aspect fondamental du film, omniprésent dès les premières images avec Poncela reluquant les joueurs de foot avec ses jumelles, puis dans plusieurs symboles (le liquide blanc bu à la paille, toute la scène nocturne de la piscine avec notamment les jets d'eau et de ballon, le rocking-chair, le verre coupé...), dans l'inévitable allusion d'un traumatisme lié à la mère (particulièrement sordide !), ou encore avec le personnage secondaire du droguiste. Pour qui est familier des astuces habituelles qui permettaient de contourner la censure, la relation homosexuelle est plus que consommée, et absolument centrale dans le film : ce n'est pas sans raison que l'assassin tue des femmes ou personnes liées au mariage (forcément hétéro) de son frère, le film entier est - aussi - le récit de la découverte et acceptation de son homosexualité par le héros (le fait qu'il refuse d'avouer ses crimes est une vaste métaphore), et c'est ce qui le rend unique. Plus grave que cette critique ratée, cela voudrait dire que les nombreux baisers gays filmés par Eloy de la Iglesia (dont le très beau aquatique mentionné plus haut), mais censurés y compris à l'étranger, seraient absents de cette édition française ?! Ils sont évidemment présents sur l'édition espagnole comme "scènes coupées", je joins deux photos en spoiler. Quelqu'un confirme cette impardonnable omission ? Et donc même les suppléments ne développent pas cet angle ? Eloy de la Iglesia est pourtant connu notamment pour avoir contribué à banaliser la représentation de l'homosexualité dans le cinéma espagnol voire européen, on ne peut pas se pencher sur son œuvre, et en particulier ce film, sans y consacrer un bon chapitre. Je serais vraiment sidérée qu'une édition qui se veut si complète et soignée ait oublié LE supplément à ne pas oublier, à savoir ces quelques précieuses images, censurées en leur temps mais ayant survécu dans un tiroir, et qui explicitent tous les sous-entendus.
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J’ai pu recevoir l’édition Artus un peu avant la sortie officielle pour rédiger cette chronique : http://www.cinespagne.com/dossiers/3391 ... n-assassin.
En effet, ces scènes de baisers entre Parra et Poncela sont absentes de la version proposée. D’après ce que j’ai pu lire, elles avaient été tirées d’une version allemande qui avait ensuite servie (de même que du matériau provenant d’une copie anglaise) à reconstituer l’édition présente sur le Blu Ray espagnol. Cette dernière affiche une minute de plus que la version Artus (108’ contre 107’). À noter que quelques scènes de la copie Artus sont montées avec la piste sonore anglaise uniquement (dont la scène au tout début dans le bar-restaurant où l’on voit un pub pour les soupes de viande que vend l’usine de Marcos/Parra et aussi celle du contrôle d’identité entre Parra, Poncela et la police) donc issues de la copie anglaise. Je suppose qu’ils n’ont pas eu accès à la fameuse copie allemande…
Pour le reste, oui le film est vraiment excellent, inclassable, à la production/carrière commerciale rocambolesque. Cela faisait longtemps que je voulais le voir et je n’ai pas été déçu (jamais pensé prendre l’édition espagnole tiens…). Plus un drame social et psychologique qu’un thriller (ce que sont déjà plus nettement les deux films de De Iglesia qui encadrent chronologiquement La Semana del asesino et dont je parle dans la chronique : El Techo de Cristal et Nadie oyó gritar). Ces dernières auraient d’ailleurs totalement leurs places chez Artus ou Le Chat qui Fume. La filmographie de De La Iglesia est de toute manière passionnante et espérons que cette sortie en appelle d’autres en France (j’ai aussi découvert récemment El Diputado qui est totalement « soufflant » aussi).
Au sujet des bonus, le livret est vraiment LA pièce maitresse de l’édition Artus. Comme l’indique la chronique de dvdfr.com dont tu donnes le lien, on peut trouver des redondances entre les différents compléments. L’intervention de G. Noé est intéressante (mais presque trop courte à mon goût). Cela dit, il met l’accent sur les touches d’humour du film, ce sur quoi je suis tout à fait d'accord ("Trotski" le chien de Nestor/Poncela , la tirage grandiloquente d’Ismael Merlo/le patron de l’usine…).
Curieux de l’avis de Jack (et des autres classikiens qui se procureront cette édition)
- Tina Quintero
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Re: Les Blu-ray Artus
Salut et merci pour ce très bon article ! Il témoigne de véritables recherches et souligne bien la richesse des films d'Eloy de la Iglesia, dont il y a énormément de choses à dire : dénonciation politique, violence sociologique, sexualité non hétéronormée, humour provoc... Je suis bien d'accord avec l'idée selon laquelle il a "amené la marge au centre de l'industrie". Et ses films ont en effet eu beaucoup de succès au moment de leur sortie, avant d'être quelque peu oubliés (occultés par ceux de l'ogre Almodóvar ?). C'est en train de changer : rééditions, rétrospectives, thèses, et même une jolie exposition à Madrid il y a 3 ans https://www.youtube.com/watch?v=Ser1zTlUvUk.cinéfile a écrit : ↑24 avr. 22, 23:29 J’ai pu recevoir l’édition Artus un peu avant la sortie officielle pour rédiger cette chronique : http://www.cinespagne.com/dossiers/3391 ... n-assassin.
Quel dommage vraiment. Je répète que même s'il ne s'agit que de quelques plans, ils éclairent le propos du réalisateur, qui les aurait voulu au montage : ce ne sont pas du tout des bonus superflus (comme le sont par ex, pour d'autres films, les scènes coupées pour raison de rythme). Pour preuve, le chroniqueur DVDfr est resté en surface et a raté l'essentiel. Je ne sais pas de quelle version ils ont survécu, peut-être celle présentée au festival de Berlin.En effet, ces scènes de baisers entre Parra et Poncela sont absentes de la version proposée. D’après ce que j’ai pu lire, elles avaient été tirées d’une version allemande.
Oui, plusieurs métaphores aliment-sexe (souvent dans la bouche de la serveuse aguichant Marcos) avaient également été censurées en Espagne, elles sont pourtant savoureuses, et à rattacher au côté farce canaille dont parle ton article. La scène du contrôle d'identité a quant à elle été tronquée pour raison politique, parce qu'elle dénonçait la différence de traitement de la police franquiste en fonction de la classe sociale.À noter que quelques scènes de la copie Artus sont montées avec la piste sonore anglaise uniquement (dont la scène au tout début dans le bar-restaurant où l’on voit un pub pour les soupes de viande que vend l’usine de Marcos/Parra et aussi celle du contrôle d’identité entre Parra, Poncela et la police) donc issues de la copie anglaise.
Je finirai sans doute par l'acheter ! C'est quand même super de faire redécouvrir ce réalisateur passionnant en France. Gageons qu'au moins El pico suivra.Au sujet des bonus, le livret est vraiment LA pièce maitresse de l’édition Artus.
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Re: Les Blu-ray Artus
Avis vachard sur le film, sans doute pas un classique (, même pour du bis) mais dont je garde un bon souvenir, forcément grâce à Helmut Berger. Il faudra que je retente...
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Re: Les Blu-ray Artus
Je me suis fait violence pour pas être encore plus sévère. C'est vraiment pas génial, et particulièrement molasson.Shin Cyberlapinou a écrit : ↑5 mai 22, 10:40 Avis vachard sur le film, sans doute pas un classique (, même pour du bis) mais dont je garde un bon souvenir, forcément grâce à Helmut Berger. Il faudra que je retente...
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Re: Les Blu-ray Artus
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Re: Les Blu-ray Artus
Chef d'œuvre absolu du polar italien.
Ce final !!!
Je prendrais les 3.