tenia a écrit : ↑30 avr. 21, 11:15
Oui, je crois que c'est vraiment une question de rythme car l'ambiance et le cast est sinon bien, mais effectivement, je me suis demandé ce qu'on en dirait sans cette course poursuite (que j'ai trouvé bien longue, perso).
Je l'ai découvert il y a quelques mois et j'ai énormément lutté contre le sommeil, heureusement que la course-poursuite est venue me sortir un peu de ma torpeur...
Thesix a écrit : ↑2 mai 21, 22:54
Supfiction a écrit : ↑2 mai 21, 18:31
C’était une demi-boutade. Mais il n’y a rien d’extraordinaire à cela, c’est une démarche cinéphile très courante de se faire un peu violence parfois. Beaucoup le font de temps en temps (après avoir lu un avis contraire bien argumenté ou celui d’un ami) ou l’ont fait à une époque d’apprentissage.
(...)
C’est valable dans tous les domaines en fait.
Même si je n'ai pas d'exemple en tête, je suppose que, un peu comme pour certains livres, revoir un film à une autre époque de sa vie peut permettre de voir/ressentir autre chose qu'à sa première vision.
Absolument d'accord sur ce point, j'ai un exemple précis avec "Les Choses de la Vie" de Sautet, abandonné en cours de route il y a 15 ans mais littéralement adoré quand j'ai fini par le voir en entier il y a un an ou 2.
Avant que je n'ai des enfants, je prenais assez souvent du temps pour tenter de découvrir des œuvres majeures du ciné, mais souvent je me faisais un mal fou. Là j'ai l'exemple de "Stalker" de Tarkovsky qui me vient en tête, une souffrance sans nom...
Mais avec moins de temps (et paradoxalement, jamais vu autant de films que ces 2 dernières années, je tourne à 500 de moyenne), je n'ai plus trop envie de m'emmerder. Le seul pour lequel j'ai tenté en 2020 c'est Ingmar Bergman (avec "La Source" et "Persona"), mais je suis resté dubitatif devant le résultat. Je vais retenter avec "Le septième sceau" dispo sur Netflix, et puis ce sera fini !