Victor Mature (1913-1999)
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Victor Mature (1913-1999)
Que pensez vous de cet acteur qui tourna dans bon nombres de genre(western,guerre,aventure et comedie) acteur que j'apprecie beaucoup et qui excella notement chez ;ford,young,koster, etc......vos impression merci
je suis fana de ce genre ciné,je recherche et propose.merci
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les plus connus,heureusement que je connais de lui des titres moins connusbogart a écrit :En dehors de My Darling Clémentine et Le Carrefour de la mort, je connais surtout ce comédien dans les péplums :
Samson et Dalila de C.B De Mile
La Tunique de H.Koster
Les Gladiateurs de Delmer Daves
L'Egyptien de Michael Curtiz
je suis fana de ce genre ciné,je recherche et propose.merci
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Re: victor mature
Je préfère Debra Pagetjames a écrit :Que pensez vous de cet acteur qui tourna dans bon nombres de genre(western,guerre,aventure et comedie) acteur que j'apprecie beaucoup et qui excella notement chez ;ford,young,koster, etc......vos impression merci
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Même si sa composition ne se caractérisait pas par ses nuances, il est difficile d'oublier son étrange et sensuelle création du Docteur Omar dans le vénéneux Shanghaï Gesture de Sternberg.
Très bien aussi en accusé brisé et ténébreux dans l'excellent film noir d'Humberstone, I wake up screaming.
La dernière fois que je l'ai vu, c'est en proie au supplice des migales ou roucoulant au balcon d'Yvonne De Carlo dans le Timbuktu de Tourneur. Là faut avouer qu'il était un chouïa moins convaincant
Très bien aussi en accusé brisé et ténébreux dans l'excellent film noir d'Humberstone, I wake up screaming.
La dernière fois que je l'ai vu, c'est en proie au supplice des migales ou roucoulant au balcon d'Yvonne De Carlo dans le Timbuktu de Tourneur. Là faut avouer qu'il était un chouïa moins convaincant
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bon acteur de péplum tout de même avec Samson et Dalila, La Tunique et Les Gladiateurs...
sinon, découvert récemment dans Voyage au dela des vivants de Gottfied Reihard, aux côtés de Clark Gable et Lana Turner, et il était très convaincant en faux résistant, fou amoureux de sa mère...
un acteur bien plus interessant donc que ce que l'on veut bien dire de lui...
et aussi, une ressemblnce frappante avec Sylvester Stallone...
sinon, découvert récemment dans Voyage au dela des vivants de Gottfied Reihard, aux côtés de Clark Gable et Lana Turner, et il était très convaincant en faux résistant, fou amoureux de sa mère...
un acteur bien plus interessant donc que ce que l'on veut bien dire de lui...
et aussi, une ressemblnce frappante avec Sylvester Stallone...
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J'adhère aussi à ce film que j'ai découvert lors d'un cycle au cinéma de minuit.sinon, découvert récemment dans Voyage au dela des vivants de Gottfied Reihard, aux côtés de Clark Gable et Lana Turner, et il était très convaincant en faux résistant, fou amoureux de sa mère...
un acteur bien plus interessant donc que ce que l'on veut bien dire de lui...
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Victor Mature : quelques films pas encore cités ...
- ONE MILLION B.C. [Tumak fils de la jungle] (USA 1940) de D.W. Griffith, Hal Roach Sr. et Hal Roach Jr.
- THE LAST FRONTIER [La charge des tuniques bleues] (USA 1955) d'Anthony Mann
- ANNIBALE [Hannibal] (Ital.-USA) d'Edgard G. Ulmer et Carlo Ludovico Bragaglia
et je confirme la valeur des films précédents toujours bien interprétés par ce noble comédien, cités par mes prédécesseurs sauf L'EGYPTIEN que je trouve assez médiocre bien qu'il soit signé Curtiz, ici sans l'énergie habituelle de ses grandes mise en scène. Sa photo Scope est naturellement sompteuse, le travail est soigné mais le film est sans grand intérêt...
J'ai par ailleurs une fâcheuse tendance à le confondre avec le non moins bon acteur et réalisateur Cornel Wilde en raison de leur ressemblance physique.
- THE LAST FRONTIER [La charge des tuniques bleues] (USA 1955) d'Anthony Mann
- ANNIBALE [Hannibal] (Ital.-USA) d'Edgard G. Ulmer et Carlo Ludovico Bragaglia
et je confirme la valeur des films précédents toujours bien interprétés par ce noble comédien, cités par mes prédécesseurs sauf L'EGYPTIEN que je trouve assez médiocre bien qu'il soit signé Curtiz, ici sans l'énergie habituelle de ses grandes mise en scène. Sa photo Scope est naturellement sompteuse, le travail est soigné mais le film est sans grand intérêt...
J'ai par ailleurs une fâcheuse tendance à le confondre avec le non moins bon acteur et réalisateur Cornel Wilde en raison de leur ressemblance physique.
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Re: Victor Mature : quelques films pas encore cités ...
Yes ! Comment ai-je l'oublier celui-là ?! Mais Turmak fils de la préhistoire, non ?francis moury a écrit :- ONE MILLION B.C. [Tumak fils de la jungle] (USA 1940) de D.W. Griffith, Hal Roach Sr. et Hal Roach Jr.
francis moury a écrit : J'ai par ailleurs une fâcheuse tendance à le confondre avec le non moins bon acteur et réalisateur Cornel Wilde en raison de leur ressemblance physique.
J'essaie d'imaginer Mature dans la Proie Nue ... ça aurait pu le faire en plus ...
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confirmation
Je confirme : TUMAK FILS DE LA JUNGLE. D'ailleurs votre remarque me semble bonne : Victor Mature aurait pu tourner dans THE NAKED PREY : ils se ressemblent vraiment tous les deux mais je ne crois pas que Mature ait jamais tenté l'expérience de la réalisation alors que Wilde l'a tenté plusieurs fois avec un grand talent.
Je l'ai vu au ciné-club du lycée Henri Bergson (rue Edouard Pailleron, Paris XIXe) entre la Seconde et la Terminale, donc entre 1975 et 1978, si mes souvenirs sont bons. Nous avions un très sympathique animateur-cinéphile qui nous a diffusé en copies 16mm dans une petite salle de classe bondée - nous étions assis sur les tables et pas seulement sur les chaises, fautes de place et les jeunes filles de 16-18 ans fumaient de temps en temps leur cigarette dans la salle sous nos yeux admiratifs : toute une ambiance en somme) :
- THEM [Des monstres attaquent la ville] de Gordon Douglas
- les deux parties du Docteur Mabuse de Lang
- THE BIG COMBO [Association criminelle] de Joseph H. Lewis (à moins que je confonde avec une diffusion tv à la même époque au Cinéma de Minuit ?]
etc.
Ce garçon était très sympathique. Il m'admirait d'oser fréquenter le Colorado boulevard Blanche car pour sa part il n'osait pas s'y rendre. Lorsque je lui apprenais que j'y avais découvert THE REPTILE [La femme reptile] (GB 1966) de John Gilling, il était surpris...
Une anecdote : c'est dans ce lycée qu'enseignait comme professeur d'anglais Lise Frenkel à laquelle Jean-Marie Sabatier fait une allusion dans le cours de sa notice sur Roger Corman. Je lui avais montré le livre de Sabatier qu'elle ignorait et nous avions sympathisé : c'était autant une thuriféraire de Robbe-Grillet que de Roger Corman. Elle m'avait invité une fois à l'accompagner pour rencontrer Marcel L'Herbier avec qui elle avait pris un rendez-vous et j'avais stupidement décliné l'offre en lui répondant que j'aurais préféré rencontrer Corman ou Fisher ou Bava. Enfin pas si stupidement : à l'époque je n'aurais rien retiré d'un tel entretien - je n'avais pas les éléments pour en tirer quelque chose. Aujourd'hui, je me dis que les évènements ne sont pas bien synchronisés par le destin.
Et puisque nous en sommes au § des ciné-clubs, je voudrais rendre hommage au professeur de mathématique ou de physique qui animait en 1971-1972 celui du C.E.S. Pailleron (dans la même rue que le Lycée Bergson donc )- incendié dans des conditions tragiques et qui sert depuis à nommer une catégorie d'établissements construits avec des matériaux inflammables - dans lequel j'ai été collégien jusqu'à son incendie.
Là il s'agissait de copies 35mm projetées dans une salle énorme devant 700 ou 800 élèves : c'était Byzance.
- LES VIKINGS de Richard Fleischer (inoubliable - le générique sur fond de vitraux avec commentaire en voix-off avait inquiété bon nombre d'entre nous, jeunes spectateurs de 11 ou 12 ans : il nous ennuyait en dépit de sa beauté plastique. Mais dès que l'action - attaque de nuit dans une atmosphère de terreur et de violence, avec viol sous-entendu si je me souviens bien - avait commencé, un immense "Haaaa" de satisfaction avait monté de la salle comme du poumon d'un seul homme ! Les enfants sont de redoutables spectateurs qui en veulent pour leur argent ! )
- LE MONDE PERDU version 1960 d'Irwin Allen que j'avais déjà vue en Cinérama à l'Empire Cinérama, avenue de Wagram, projeté sur trois écrans ! Lors de la vision d'un iguane devenu géant optiquement, le professeur nous expliquait au micro, en parlant par-dessus la bande-son qu'il s'agissait "d'un lézard existant vraiment, dont le nom était ... et qui était en réalité assez petit" : grosse déception et énervement dans la salle à la suite de ce genre de remarques qui nous "cassaient" relativement la magie du film. Magie sous le charme de laquelle nous retombions, quelques secondes plus tard, aussi vite qu'il avait tenté de le dissiper.
- LA GRANDE EVASION de John Sturges
- LES SEPT MERCENAIRES du même
- ALEXANDRE LE BIENHEUREUX d'Yves Robert : c'est le soir de cette projection que le C.E.S. a été incendié d'ailleur... mais je n'y avais pas été car je préférais déjà la violence, le wester, le fantastique, l'aventure, le péplum, le film de guerre à la comédie en matière de genres cinématographiques.
Je l'ai vu au ciné-club du lycée Henri Bergson (rue Edouard Pailleron, Paris XIXe) entre la Seconde et la Terminale, donc entre 1975 et 1978, si mes souvenirs sont bons. Nous avions un très sympathique animateur-cinéphile qui nous a diffusé en copies 16mm dans une petite salle de classe bondée - nous étions assis sur les tables et pas seulement sur les chaises, fautes de place et les jeunes filles de 16-18 ans fumaient de temps en temps leur cigarette dans la salle sous nos yeux admiratifs : toute une ambiance en somme) :
- THEM [Des monstres attaquent la ville] de Gordon Douglas
- les deux parties du Docteur Mabuse de Lang
- THE BIG COMBO [Association criminelle] de Joseph H. Lewis (à moins que je confonde avec une diffusion tv à la même époque au Cinéma de Minuit ?]
etc.
Ce garçon était très sympathique. Il m'admirait d'oser fréquenter le Colorado boulevard Blanche car pour sa part il n'osait pas s'y rendre. Lorsque je lui apprenais que j'y avais découvert THE REPTILE [La femme reptile] (GB 1966) de John Gilling, il était surpris...
Une anecdote : c'est dans ce lycée qu'enseignait comme professeur d'anglais Lise Frenkel à laquelle Jean-Marie Sabatier fait une allusion dans le cours de sa notice sur Roger Corman. Je lui avais montré le livre de Sabatier qu'elle ignorait et nous avions sympathisé : c'était autant une thuriféraire de Robbe-Grillet que de Roger Corman. Elle m'avait invité une fois à l'accompagner pour rencontrer Marcel L'Herbier avec qui elle avait pris un rendez-vous et j'avais stupidement décliné l'offre en lui répondant que j'aurais préféré rencontrer Corman ou Fisher ou Bava. Enfin pas si stupidement : à l'époque je n'aurais rien retiré d'un tel entretien - je n'avais pas les éléments pour en tirer quelque chose. Aujourd'hui, je me dis que les évènements ne sont pas bien synchronisés par le destin.
Et puisque nous en sommes au § des ciné-clubs, je voudrais rendre hommage au professeur de mathématique ou de physique qui animait en 1971-1972 celui du C.E.S. Pailleron (dans la même rue que le Lycée Bergson donc )- incendié dans des conditions tragiques et qui sert depuis à nommer une catégorie d'établissements construits avec des matériaux inflammables - dans lequel j'ai été collégien jusqu'à son incendie.
Là il s'agissait de copies 35mm projetées dans une salle énorme devant 700 ou 800 élèves : c'était Byzance.
- LES VIKINGS de Richard Fleischer (inoubliable - le générique sur fond de vitraux avec commentaire en voix-off avait inquiété bon nombre d'entre nous, jeunes spectateurs de 11 ou 12 ans : il nous ennuyait en dépit de sa beauté plastique. Mais dès que l'action - attaque de nuit dans une atmosphère de terreur et de violence, avec viol sous-entendu si je me souviens bien - avait commencé, un immense "Haaaa" de satisfaction avait monté de la salle comme du poumon d'un seul homme ! Les enfants sont de redoutables spectateurs qui en veulent pour leur argent ! )
- LE MONDE PERDU version 1960 d'Irwin Allen que j'avais déjà vue en Cinérama à l'Empire Cinérama, avenue de Wagram, projeté sur trois écrans ! Lors de la vision d'un iguane devenu géant optiquement, le professeur nous expliquait au micro, en parlant par-dessus la bande-son qu'il s'agissait "d'un lézard existant vraiment, dont le nom était ... et qui était en réalité assez petit" : grosse déception et énervement dans la salle à la suite de ce genre de remarques qui nous "cassaient" relativement la magie du film. Magie sous le charme de laquelle nous retombions, quelques secondes plus tard, aussi vite qu'il avait tenté de le dissiper.
- LA GRANDE EVASION de John Sturges
- LES SEPT MERCENAIRES du même
- ALEXANDRE LE BIENHEUREUX d'Yves Robert : c'est le soir de cette projection que le C.E.S. a été incendié d'ailleur... mais je n'y avais pas été car je préférais déjà la violence, le wester, le fantastique, l'aventure, le péplum, le film de guerre à la comédie en matière de genres cinématographiques.
"Felix qui potuit rerum causas cognoscere "