Le Cinéma muet

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés avant 1980.

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Ann Harding
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Re: Le cinéma muet

Message par Ann Harding »

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The Cradle of Courage (1920, Lambert Hillyer) avec William S. Hart, Ann Little, Gertrude Claire et Tom Santschi

'Square' Kelly (Wm S. Hart) revient à San Francisco, de retour du front en France. Il est devenu sergent, mais avant la guerre, il était chef d'un gang de cambrioleurs. Son meilleur ami est le fils d'un policier et voudrait le remettre dans le droit chemin...

Ce film de William S. Hart, pour une fois, n'est pas un western. Il n'est plus un westerner, mais un ancien mauvais garçon irlandais qui va rejoindre la police de San Francisco, au grand dam de sa mère (la fidèle Gertrude Claire présente dans de nombreux films de Hart) qui souhaite le voir reprendre son métier de cambrioleur. On retrouve donc le thème cher à Hart de la redemption d'un mauvais garçon. Les années passées dans les tranchées ont changé Kelly qui ne veut plus faire partie de ce gang mené par Tierney (Tom Santschi, un autre spécialiste des rôles de traites dans les westerns).Comme toujours, Joseph August est derrière la caméra et donne au film le clair-obscur et l'atmosphère requise à cette histoire de gangsters. L'environnement familial de Kelly est peu propice à un changement de milieu. Sa chère mère hait les policiers et lui apporte sa trousse de cambrioleur. Quant à son frère, il travaille avec Tierney. Mais, écoeuré par les méthodes de Tierney, il va se décider à rejoindre les forces de police. Il doit précisément poursuivre le gang de cambrioleurs dont son frère fait partie. Celui-ci est tué alors qu'il les a surpris en flagrant délit. Il réalise rapidement qu'il ne l'a pas tué lui-même car il a reçu une balle dans le dos. Le policier se tranforme alors en vengeur, prêt à tout pour retrouver l'assassin de son frère. Comme dans ses westerns, le personnage de Hart est à la limite de la légalité, oscillant entre le bien et la mal. Mais, la morale est sauve à la fin, même si les moyens employés ne sont pas précisément toujours légaux. Le film est bien dirigé par Lambert Hillyer et est dominé par Hart qui incarne les dilemmes de son personnage avec son charisme habituel. La copie publiée par Grapevine Video est d'une qualité acceptable comparée aux horreurs d'Alpha Video.
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Silenttimo
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Re: Le cinéma muet

Message par Silenttimo »

allen john a écrit :Merci pour le compliment, Someone. Si tu farfouilles un peu dans le forum (Notamment ici, ou sur le topic consacré à Conrad Veidt) il y a d'autres avis, généralement laudatifs... Film indispensable pour moi.
"L'homme qui rit", vu à la cité de la musique il y a quelques années, est en effet (pour moi) un film majeur de la 2nde moitié des années 20.

Indispensable pour moi également.

Il y a d'ailleurs un érotisme qui se dégage de certaines scènes qui valent celles de "Queen Kelly".
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Ann Harding
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Re: Le cinéma muet

Message par Ann Harding »

Un nouveau festival de films restaurés doit avoir lieu à la cinémathèque du 27 novembre au 2 décembre. Parmi les films muets présentés, il y a quelques perles à cueillir.

La Chronique de Grieshuus (1923) de Arthur von Gerlach avec au piano Stephen Horne (formidable accompagnateur)
L'hirondelle et la mésange (1922) d'André Antoine avec Quatuor Voce et la pianiste Hélène Peyrat (connais pas)
Blackmail (1929) de A. Hitchcock avec une DJ (ce sera sans moi :fiou: )
The Spanish Dancer (La danseuse espagnole, 1923) de Herbert Brenon avec Pola Negri (C'est une toute nouvelle restau qui présente pour la première fois le film complet) avec le pianiste Mathieu Regnault (parfois inégal)
The Goose Woman (Déchéance, 1925) de Clarence Brown (nouvelle restau) avec Stephen Horne au piano (génial! :) )
Suzanne (1916) de L. Mercanton et R. Hervil avec Suzanne Grandais avec Paul Goussot au piano (connais pas)
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Re: Le cinéma muet

Message par Silenttimo »

Ann Harding a écrit :Blackmail (1929) de A. Hitchcock avec une DJ (ce sera sans moi :fiou: )
The Spanish Dancer (La danseuse espagnole, 1923) de Herbert Brenon avec Pola Negri (C'est une toute nouvelle restau qui présente pour la première fois le film complet) avec le pianiste Mathieu Regnault (parfois inégal)
The Goose Woman (Déchéance, 1925) de Clarence Brown (nouvelle restau) avec Stephen Horne au piano (génial! :) )
S'agissant de musique électro, il y a de très belles choses qui ont parfois été faites pour le cinéma muet.
C'est variable ! 8)

Bon, à Pordenone (dont je n'ai toujours pas fait de compte-rendu), j'ai vu les deux derniers !

- "Spanish dancer" : la restauration est superbe, avec toutefois un passage de danse dans les jardins de la reine (un peu après la moitié du film) qui est très très abîmé, et dure bien 2 minutes.
Si Wallace Beery en fait un peu des tonnes (comme souvent), mais après tout, il incarne un roi, le couple Pola Negri / Antonio Moreno fonctionne bien, et le film contient son lot de rebondissements.
D'ailleurs, pour ceux qui ont vu "The patsy" de K. Vidor, lorsque Marion Davies imite Pola Negri, on n'est pas très éloigné du rôle qu'elle incarne ici.

- "The goose woman" : très inégal. Une sorte de "whodunit" social (un riche notable a été assassiné en rentrant chez lui, de nuit et une alcoolique indique à la police ce qu'elle a vu du crime), avec des rebondissements un peu artificiels d'un côté, et de très bonnes idées de l'autre.
Le film vaut pour le rôle de vedette déchue et revancharde de Louise Dresser extrêmement convaincante, mais aussi et surtout pour les décors sordides de sa bicoque et les descriptions de son alcoolisme notoire. Sans la dévoiler, si la fin aurait pu être réussie (j'ai imaginé 2-3 idées avant l'ultime rebondissement), l'ultime rebondissement et la découverte du coupable m'ont paru totalement artificiels, et font perdre beaucoup d'intérêt à ce film qui frôle le "très bon" sans l'atteindre, notamment à cause de cette fin.
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Re: Le cinéma muet

Message par Ann Harding »

Ayant déjà vu ces deux films, je serais moins dure que toi pour Goose Woman qui est plus un film d'atmosphère qu'un film criminel. Voici ce que j'en disais:
The Goose Woman (Déchéance, 1925) de Clarence Brown avec Louise Dresser, Jack Pickford et Constance Bennett

Marie de Nardi (L. Dresser) vit dans un taudis en élevant des oies. Elle fût autrefois une cantatrice célèbre et reconnue. Un soir, un crime est commis près de chez elle. Elle décide d'aider la police. Mais, son témoignage fait de son fils Gerald (J. Pickford) le suspect numéro un...

Clarence Brown avait travaillé comme assistant de Maurice Tourneur avant de devenir réalisateur à par entière. Ce film réalisé pour la Universal montre l'influence de son mentor par la précision de la composition picturale des images et le sens du récit. Louise Dresser, dans la rôle principal, n'est plus qu'une épave humaine qui noie son désespoir dans le gin. Elle, qui était une artiste réputée, a sombré après avoir donné naissance à son fils. Sa voix a été détruite. Les rapports entre cette femme et son fils sont faits de rancoeurs et de ressentiments. Face à elle, Jack Pickford donne une vraie épaisseur humaine à ce garçon fragile et sentimental. Il essaie tant bien que mal de sortir sa mère de cette cabane sordide où elle croupit, en vain. Finalement, c'est le désir de notoriété qui va la pousser à sortir de son taudis. Lorsqu'un juge lui fait miroiter la possibilité de faire la une des journaux, elle décide de faire un témoignage. Elle est prête à mentir pour être à nouveau considérer comme un être humain et non plus un objet de dérision. La construction du film -qui annonce le film noir par certains aspects- est remarquable. Brown nous apprend toutes sortes de détails grâce aux images en évitant les cartons. Par exemple, Louise Dresser touche la surface de la carte de visite du juge et remarque que les caractères sont en relief - le signe, pour elle, de son importance - contrairement au policier qui n'a qu'un bristol ordinaire. Le récit se fait à coup de flash-backs qui vont nous révéler peu à peu les circonstances du crime. Un homme a été tué avec un révolver devant son portail. Mais, au début, nous ne savons rien de lui, ni du motif du crime. Mais, ce crime n'a finalement que peu d'importance car il n'est là qu'un catalyseur de la transformation de Marie de Nardi. Il va lui permettre de retrouver visage humain et de l'affection pour son fils. Brown a donné à son film une belle authenticité avec pour décor une vieille cabane qu'il avait réussi à trouver et fait déplacer en studios. Le film offre aussi une vision des coulisses d'un théâtre lorsque Jack Pickford va retrouver sa petite amie actrice (jouée par Constance Bennett). Nous assistons amusés aux performances du bruiteur alors que les acteurs s'agitent en scène. Puis, la scène de l'interrogatoire au poste de police est superbement rythmée par des inserts: robinet qui coule, pièces de monnaie qui s'entrechoquent et agent se limant les ongles. Le malaise de Jack Pickford va grandissant avec tous ces bruits parasites. Le film contient un humour bienvenu dans cette histoire très noire qui pourrait tourner au mélo. On voit, par exemple, le policier incommodé par la puanteur de la cabane, ouvrir la fenêtre pour avoir un peu d'air frais. Mais, c'est l'odeur du lisier des porcs qui vient lui frapper les narines. De plus, la cinématographie est superbe avec toutes les ombres et lumières requises. Le film vient de faire l'objet d'une restauration par la UCLA Film and TV Archive. Espérons qu'il sera édité en DVD rapidement.
Quant à Spanish Dancer, c'est une comédie en costumes superbement photographiée par James Wong Howe. Mais, je ne trouve pas que le film atteigne le niveau de Goose Woman. D'ailleurs, ça va être le bon moment pour réévaluer le Clarence Brown pré-MGM, la cinémathèque va passer les superbes Smouldering Fires et The Signal Tower durant sa rétro Universal. J'espère seulement que ce seront de belles copies et pas des contretypes hideux...
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Silenttimo
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Re: Le cinéma muet

Message par Silenttimo »

Ann Harding a écrit :Ayant déjà vu ces deux films, je serais moins dure que toi pour Goose Woman qui est plus un film d'atmosphère qu'un film criminel. (...)

Quant à Spanish Dancer, c'est une comédie en costumes superbement photographiée par James Wong Howe. Mais, je ne trouve pas que le film atteigne le niveau de Goose Woman.
En fait, tout dépend de ce que l'on y cherche.

Sur le fond, oui, "Goose woman" a beaucoup de qualités. J'ai en effet pensé à "My fair lady", "pygmalion" et autres histoires de transformation.
Personnellement, j'ai beaucoup aimé le "nettoyage" de Marie (qui s'apparente à un récurage).
Tu as raison de mentionner les nombreuses métaphores visuelles relatives aux sens auditif et de l'odorat : à ce niveau là, c'est particulièrement réussi.
Mais je trouve que la fin est terriblement bâclée !
Et en effet, si l'intrigue policière est moins importante, il n'en reste pas moins que beaucoup de choses tournent autour et qu'elle n'est pas vraiment reléguée au second plan.
J'imaginais au moins cette fin :
Spoiler (cliquez pour afficher)
L'homme qui a quitté Marie n'est autre que le décédé. Le voyant jouer la séduction auprès de la petite jeune, quitte à l'abandonner si elle tombe enceinte comme c'est arrivé à Marie, elle ne le supporte pas et le tue. Et se dénonce à la fin.

OU

même scénario, mais elle ne se dénonce pas, souhaitant se "venger" de ce fils qui lui a enlevé ses meilleures années !
Un truc encore plus noir, en quelque sorte...
Je crois que, à froid, j'ai vite déjugé le film sur la base de cette fin artificielle.

D'autant que je suis peut-être moyennement objectif, car "the spanish dancer" étant l'un des évènements de Pordenone, il a bénéficié d'un accompagnement magnifique (2-3 guitares type flamenco +percus hispanisantes type castagnettes et tutti quanti +violon).
Et que la copie (hormis le défaut mentionné) était magnifique. Pola Negri y rayonne.
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Re: Le cinéma muet

Message par Ann Harding »

Tu as tout à fait raison en disant qu'un bon accompagnement peut donner des ailes à un film. Pour ma part, je les ai vu tous les deux sans musique. Mais, j'attends avec impatience de les voir avec de la musique!
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Message par Happy Charly »

Tom Peeping a écrit :Un excellent site sur le ciné muet : http://www.silentera.com/
Excellent site effectivement!

Qui me fait réaliser que sur les cinquante premiers, il m'en reste tout de même quelques-uns à découvrir (ou qui ne me disent plus rien) :arrow:

10. Greed (1924) d'Erich von Stroheim 1924
11. Die Büchse der Pandora (1929) de G.W. Pabst
12. The Crowd (1928) de King Vidor
13. The Wind (1928) de Victor Sjöström
18. The Big Parade (1925) de King Vidor
19. Safety Last (1923) de Fred Newmeyer et Sam Taylor
21. Broken Blossoms (1919) de D.W. Grifffith
24. Steamboat Bill, Jr. (1928) de Charles F. Reisner
27. Flesh and the Devil (1927) de Clarence Brown
29. Wings (1927) de William A. Wellman
30. Chelovek s kinoapparatom (1929) de Dziga Vertov
31. Nanook of the North (1922) de Robert J. Flaherty
33. Way Down East (1920) de D.W. Griffith
35. Das Tagebuch einer Verlorenen (1929) de G.W. Pabst
37. The Cameraman (1928) d'Edward Sedgwick
39. Show People (1928) de King Vidor
43. The Four Horsemen of the Apocalypse (1921) de Rex Ingram
44. The Sheik (1921) de George Melford
46. The Freshman (1925) de Sam Taylor et Fred Newmeyer
48. Tol’able David (1921) d' Henry King
49. He Who Gets Slapped (1924) de Victor Sjöström
50. Girl Shy (1924) de Fred Newmeyer et Sam Taylor

Je crois qu'on peut dire que King Vidor (ainsi que D.W. Griffith mais aussi le duo de Fred Newmeyer et Sam Taylor) est de ces réalisateurs sur lesquels j'ai des lacunes... graves :(
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Re: Le cinéma muet

Message par Ann Harding »

On peut maintenant voir en ligne le film de Graham Cutts THE WHITE SHADOW (1924) que l'on présente souvent à tort comme un film de Hitchcock:
http://www.filmpreservation.org/preserv ... hadow-1924
Filiba
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Re: Le cinéma muet

Message par Filiba »

Une question pour nos spécialistes du cinéma muet : quelles sont les éditions DVD des muets de Lubitsch (j'ai vu qu'il y a un coffret MoC Lubitsch in Berlin, et Lady Windermere chez Bac, Y a t il autre chose?)
merci d'avance
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Re: Le cinéma muet

Message par Rick Blaine »

En plus de ce que tu cites, il y a Comediennes chez Arte:
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Et également la femme du Pharaon en DVD et BR chez Alpha-Omega:
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En muet, je crois que c'est tout (il y a un coffret MK2 qui est un sous-ensemble du coffret MoC également)
Filiba
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Re: Le cinéma muet

Message par Filiba »

Rick Blaine a écrit :En plus de ce que tu cites, il y a Comediennes chez Arte:

Et également la femme du Pharaon en DVD et BR chez Alpha-Omega:

En muet, je crois que c'est tout (il y a un coffret MK2 qui est un sous-ensemble du coffret MoC également)
merci Rick
sais tu ce qu'ils valent?
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Re: Le cinéma muet

Message par Rick Blaine »

Filiba a écrit :
Rick Blaine a écrit :En plus de ce que tu cites, il y a Comediennes chez Arte:

Et également la femme du Pharaon en DVD et BR chez Alpha-Omega:

En muet, je crois que c'est tout (il y a un coffret MK2 qui est un sous-ensemble du coffret MoC également)
merci Rick
sais tu ce qu'ils valent?

J'ai les deux, mais je n'ai regardé aucun des deux... :oops:
Filiba
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Re: Le cinéma muet

Message par Filiba »

Rick Blaine a écrit :
Filiba a écrit : merci Rick
sais tu ce qu'ils valent?
J'ai les deux, mais je n'ai regardé aucun des deux... :oops:
merci, (je te dirai si je les vois avant toi :wink:)
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Tommy Udo
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Re: Le cinéma muet

Message par Tommy Udo »

Comme l'a précisé Rick, il y a un coffret MK2 qui est quasiment identique à celui de MoC.
Les mêmes films sont présents (ich möchte kein Mann sein/Die Austernprinzessin/Sumurun/Anna Boleyn et Die Bergkatze) mais, malheureusement, le MK2 ne contient pas ce chef-d'oeuvre qu'est DIE PUPPE.
Les deux coffrets sont encore dispo sur le net.

Sinon, pour Das Weib des Pharao :
http://www.dvdtalk.com/reviews/57141/lo ... es-pharao/
http://www.blu-ray.com/movies/The-Loves ... 12/#Review
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