Votre Top Michael CAINE
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Merci, james.james a écrit :trop tard^pour les heros passe sur "cinésuccès" ce moi-ciGeoffrey Firmin a écrit :Le limier
l'homme qui voulut etre roi
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zoulou
trop tard pour les heros
Faut que je le revois çuilà...
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james a écrit :moi aussi,mais pas pour l'acteur mais pour l'ambiance guerre du pacificvic a écrit :
Merci, james.
Faut que je le revois çuilà...
Grâce au succès du film Les 12 Salopards, Robert Aldrich réalisa 3 ans plus tard <Trop tard pour les héros> avec notamment, Cliff Robertson, excellent dans ce film, et, la participation amicale en début du film du comédien Henri Fonda.
A voir pour ceux qui ne connaîssent pas encore ce film
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cliff robertson resteras cliff robertson ..bof bof bof...bogart a écrit :james a écrit :moi aussi,mais pas pour l'acteur mais pour l'ambiance guerre du pacific
Grâce au succès du film Les 12 Salopards, Robert Aldrich réalisa 3 ans plus tard <Trop tard pour les héros> avec notamment, Cliff Robertson, excellent dans ce film, et, la participation amicale en début du film du comédien Henri Fonda.
A voir pour ceux qui ne connaîssent pas encore ce film
je suis fana de ce genre ciné,je recherche et propose.merci
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Michael Caine : essai de filmographie sélective...
Un de ses tout premiers rôles (non-crédité) le placerait d'emblée sous les meilleurs auspices :
- THE STEEL BAYONET [Le commando sacrifié] (GB 1957) de Michael Carreras.
Mais on ne connaît qu'assez mal en France sa période 1957-ZULU qui est son premier rôle de stature internationale. Cela donne donc par ordre chronologique approximatif :
- ZULU [Zoulou] (1964)
- THE ICPRESS FILE [Icpress danger immédiat]
- HURRY SUNDOWN [Que vienne la nuit]
- PLAY DIRTY [Enfants de salauds]
- THE ITALIAN JOB [L'or se barre]
- BATTLE OF BRITAIN [La bataille d'Angleterre]
- TOO LATE THE HERO [Trop tard pour les héros]
- THE LAST VALLEY [La vallée perdue]
- GET CARTER [La loi du milieu]
- MARSEILLE CONTRAT
- THE BLACK WINDMILL [Contre une poignée de diamants]
- THE WILBY CONSPIRACY [Le vent de la violence]
- A ROMANTIC ENGLISWOMAN [Une anglaise romantique]
- THE MAN WHO WOULD BE A KING [L'homme qui voulut être roi]
- THE EAGLE HAS LANDED [L'aigle s'est envolé]
- A BRIDGE TOO FAR [Un pont trop loin] (1977)
La chute s'amorce avec DRESSED TO KILL (1980) qui vaut surtout pour son éblouissante première demi-heure (toute dédiée à la sublime Angie Dickinson) mais où Caine se voit confié un rôle ridicule de psychanalyste que des pulsions transsexuelles rendraient criminel : un des scénarios les plus homophobes et transsexualophobes jamais tournés aux USA, farci d'emprunts à Hitchcock qui alourdissent plutôt la sauce qu'ils ne la font lever. Reste ce début éblouissant de la rencontre au Musée, formaliste et très belle, avec la musique de Pino Donnagio ad hoc...
Elle se confirme avec le navrant JAWS THE REVENGE (le quatrième et dernier à ce jour de la série Paramount, encore plus médiocre que le JAWS 3D) - pourtant réalisé par un Joseph Sargent souvent autrement mieux inspiré.
Il touche un peu au fantastique classique avec deux téléfilms anglais dans les années 1990.
Une bonne surprise : le véhicule "Stallone" GET CARTER de 2000 où il éclaire quelques instants d'une étrange humanité son contre-rôle dans ce remake intéressant à comparer avec le film anglais de 1971.
J'avoue que SLEUTH - cité par nos cinéphiles avec constance - m'ennuie assez en revanche...
- THE STEEL BAYONET [Le commando sacrifié] (GB 1957) de Michael Carreras.
Mais on ne connaît qu'assez mal en France sa période 1957-ZULU qui est son premier rôle de stature internationale. Cela donne donc par ordre chronologique approximatif :
- ZULU [Zoulou] (1964)
- THE ICPRESS FILE [Icpress danger immédiat]
- HURRY SUNDOWN [Que vienne la nuit]
- PLAY DIRTY [Enfants de salauds]
- THE ITALIAN JOB [L'or se barre]
- BATTLE OF BRITAIN [La bataille d'Angleterre]
- TOO LATE THE HERO [Trop tard pour les héros]
- THE LAST VALLEY [La vallée perdue]
- GET CARTER [La loi du milieu]
- MARSEILLE CONTRAT
- THE BLACK WINDMILL [Contre une poignée de diamants]
- THE WILBY CONSPIRACY [Le vent de la violence]
- A ROMANTIC ENGLISWOMAN [Une anglaise romantique]
- THE MAN WHO WOULD BE A KING [L'homme qui voulut être roi]
- THE EAGLE HAS LANDED [L'aigle s'est envolé]
- A BRIDGE TOO FAR [Un pont trop loin] (1977)
La chute s'amorce avec DRESSED TO KILL (1980) qui vaut surtout pour son éblouissante première demi-heure (toute dédiée à la sublime Angie Dickinson) mais où Caine se voit confié un rôle ridicule de psychanalyste que des pulsions transsexuelles rendraient criminel : un des scénarios les plus homophobes et transsexualophobes jamais tournés aux USA, farci d'emprunts à Hitchcock qui alourdissent plutôt la sauce qu'ils ne la font lever. Reste ce début éblouissant de la rencontre au Musée, formaliste et très belle, avec la musique de Pino Donnagio ad hoc...
Elle se confirme avec le navrant JAWS THE REVENGE (le quatrième et dernier à ce jour de la série Paramount, encore plus médiocre que le JAWS 3D) - pourtant réalisé par un Joseph Sargent souvent autrement mieux inspiré.
Il touche un peu au fantastique classique avec deux téléfilms anglais dans les années 1990.
Une bonne surprise : le véhicule "Stallone" GET CARTER de 2000 où il éclaire quelques instants d'une étrange humanité son contre-rôle dans ce remake intéressant à comparer avec le film anglais de 1971.
J'avoue que SLEUTH - cité par nos cinéphiles avec constance - m'ennuie assez en revanche...
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Re: Michael Caine : essai de filmographie sélective...
Et moi, donc !francis moury a écrit : J'avoue que SLEUTH - cité par nos cinéphiles avec constance - m'ennuie assez en revanche...
Vous me faites penser qu'il faut que je vois The Last Valley, enregistré récemment.
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Re: Michael Caine : essai de filmographie sélective...
Je me demande s'il ne faudrait pas qualifier DRACULA de transylvanophobe.francis moury a écrit : un des scénarios les plus homophobes et transsexualophobes jamais tournés aux USA
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Re: Michael Caine : essai de filmographie sélective...
Faute avouée.......francis moury a écrit :J'avoue que SLEUTH - cité par nos cinéphiles avec constance - m'ennuie assez en revanche...
pas pardonnée du tout.
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