Le film qui a déclenché votre cinéphilie

[Alexandre Angel]

De ceux dont j'ai le souvenir, mon instit de CM1-CM2 nous avait passé le diptyque Jeanne d'Arc de Rivette

[Sybille]

Je sais que j'avais déjà répondu à cette question sur un autre topic mais y a très longtemps donc pour moi, ce fut avec Vertigo d'Hitchcock et Le port de l'angoisse de Hawks, découverts sur VHS.

[poet77]

African Queen de John Huston, que j'ai vu pour la première fois à l'âge de 11 ans.

[Flol]

Parking.

[Dunn]

Oui mais après pour quel ciné ?

Moi c'était E.T en 82 j'avais 7 ans et c'était au Rio à Nancy.
Salle comble , grosse émotion dans la salle à la fin...le cinéma était né pour moi.

[El Dadal]

De ceux dont j'ai le souvenir, mon instit de CM1-CM2 nous avait passé le diptyque Jeanne d'Arc de Rivette

J'en profite pour rendre hommage à Mr Gilbert, le meilleur des instits (même s'il avait accéléré quelques séquences de fesses d'Excalibur et La guerre du feu).

[beb]

...

[la_vie_en_blueray]

Excalibur en 81, j'imagine.

ET, 1ere fois ou j'ai pleuré.

War Games, ou j'ai décidé d'être un hacker recherché par le FBI.

[Roilo Pintu]

Oui mais après pour quel ciné ?

Moi c'était E.T en 82 j'avais 7 ans et c'était au Rio à Nancy.
Salle comble , grosse émotion dans la salle à la fin...le cinéma était né pour moi.

Je partage le même film séminal, la même émotion, au mythique cinéma l'Olympia à Nantes (aujourd'hui disparu).
Une autre passion commençait en même temps, la musique de film, ma mère eu la bonne idée de m'acheter la K7 audio de la B.O.F dès le lendemain.
Je t'aime Maman!

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[la_vie_en_blueray]

Oui, la BO d''ET pour le Noel. La decouverte de John Williams.

[Loup Solitaire]

Pour moi c'était l'Impasse/Carlito's Way de de Palma, vu lors de sa sortie française au cinéma à douze ans, avec un super Pacino et la découverte du flashback, et deux années plus tard l'Antre de la folie de Carpenter & Casino de Scorsese.

Pour le cinéma classique hollywoodien, le Faucon Maltais, Bogart, Lorre, Greenstreet, Astor, la mythique dernière réplique, son ambiance...à 16-17 ans.

[batfunk]

Premiers bons souvenirs, diffusion de Retour vers le Futur, La Forêt d'Emeraude et Greystoke en Classe au collège(1987-88?)Depaysement garanti
Puis premier enregistrement magnétoscope, Les Aventuriers de l'arche perdue(merci la 5!),Terminator ...
Premiers naphtas avec Eddy Mitchell(Fenêtre sur Cour).
Premier ciné, entre potes., .. . à 16 ans (Terminator 2,j'ai détesté) puis première fête du ciné, j'ai adoré(Delicatessen, j'ai halluciné )
Et pour finir, les critiques ciné de Télérama, je vivais les films pas vus à travers elles..
Ce fut Progressif, en autodidacte, sans film fondateur(ou alors occulté par mon inconscient )

[Roilo Pintu]

Oui, la BO d''ET pour le Noel. La decouverte de John Williams.

Je l'ai toujours, comme un petit trésor, à côté de celles des Indiana Jones, Star Wars, Batman (89, pour Batman returns j'étais passé au CD ), Tuer n'est pas jouer ou encore Twin Peaks.
(Pardon pour le HS)

[hansolo]

Perso, Henry V de Branagh (en VF) vu lors d'une rétrospective adaptations de Shakespeare.
Un souvenir inoubliable !

[Thesix]

J'ai d'abord pensé que je ne saurais pas répondre à cette question parce que j'ai toujours été fasciné par les films, que ce soit au club Disney de ma petite enfance ou à la séquence du spectateur vu 2 ou 3 fois par an quand nous étions invité par les membres de la famille possédant une télévision. Même une simple pochette de disque d'Il était une fois dans l'Ouest m'avait fait un effet incroyable juste par sa photo et par ce que j'en avais entendu des oncles et tantes l'ayant vu.

Mais après avoir vu hier soir Les Héritiers avec Ariane Ascaride, je me suis finalement souvenu d'une prof d'Histoire en seconde ou première, époque qui doit coïncider avec mes premières soirées assidues et attendues devant le Ciné-Club de Claude-Jean Philippe.
Elle nous avait passé, après une séance de torture qu'elle avait fait subir au pauvre magnétoscope, n'étant pas douée pour cette technologie ultra moderne, , elle nous avait passé donc Los Olvidados de Bunuel, et je crois que c'était elle également qui nous avait passé Alexandre Nevski d'Eisenstein.
Los Olvidados pourrait bien être ce film, tant cette adorable prof d'histoire stressée nous avait transmis son enthousiasme chaotique, et communicatif.