Steve Mc Queen (1930-1980)

[Ikebukuro]

Je viens de voir BULLIT... définitivement, la fin des années 60 et les 70 c'est, visuellement, pas du tout mon truc!!!!!!!!!!!!!!! Tout est laid : costumes, voitures, coupes de cheveux etc etc
Ah, l'époque du N&B de Capra, de Guitry... et les années 2000 avec Daniel Craig, Mission Impossible... mais ce type d'image, je ne peux pas

[Thesix]

L'exact opposé pour moi. Les rues de San Francisco en 68, je ne connais pas de décor plus enthousiasmant.
Les retours à son appartement au petit matin, le distributeur de journaux, le petit épicier du coin de la rue, le restaurant et le groupe de jazz, le soleil...

[Jeremy Fox]

#HachtagThesixteam

[Major Tom]

Les sixties c'est définitivement la meilleure époque pour le cinéma tant les décors naturels ne semblent exister que pour être filmés.
Un film est toujours le reflet de son époque et même les fictions finissent toujours par devenir des documents pouvant se transformer en fantasme de cinéphile. Et à l'instar du Tarantino d'Once Upon a Time in Hollywood, on se surprend à rêver de quitter la salle pour entrer dans l'écran et partir habiter dans le film.
Le post-Hays repoussant les limites de ce qu'on pouvait voir en matière de sexe et de violence à l'écran, les films étaient plus libres, et c'est à travers des images presque filmées caméra à l'épaule qu'on découvre un autre monde, comme l'extra-terrestre de L'homme qui venait d'ailleurs. On parcourt Paris avec Bébel ou Delon, Londres avec David Hemmings, la 110 ème avenue de New York avec George Chakiris et Natalie Wood, ou bien sûr San Francisco au volant d'une Ford Mustang avec le King of Cool à nos côtés. Oui, les voitures étaient classes et ne ressemblaient pas encore aux suppositoires chromés qui apparaîtront à partir des années 90. Oui, Bisset / Cardinale / Wood / Fonda / Deneuve et tant d'autres étaient peut-être les plus belles femmes du monde. Oui, les hommes qui, même avec des coupes de cheveux à la Brett Sinclair, avaient du style et des bollocks en acier. Et oui, le tout filmé en 35 / 70mm, avec des couleurs de tout le nuancier, des musiques très travaillées faites par de vrais musiciens, ont donné quelques-uns des plus beaux fantasmes sur pellicule de l'histoire du cinéma.

[Thesix]

Voilà !
Tout simplement.

[El Dadal]

Les sixties c'est définitivement la meilleure époque pour le cinéma tant les décors naturels ne semblent exister que pour être filmés.
Un film est toujours le reflet de son époque et même les fictions finissent toujours par devenir des documents pouvant se transformer en fantasme de cinéphile. Et à l'instar du Tarantino d'Once Upon a Time in Hollywood, on se surprend à rêver de quitter la salle pour entrer dans l'écran et partir habiter dans le film.
Le post-Hays repoussant les limites de ce qu'on pouvait voir en matière de sexe et de violence à l'écran, les films étaient plus libres, et c'est à travers des images presque filmées caméra à l'épaule qu'on découvre un autre monde, comme l'extra-terrestre de L'homme qui venait d'ailleurs. On parcourt Paris avec Bébel ou Delon, Londres avec David Hemmings, la 110 ème avenue de New York avec George Chakiris et Natalie Wood, ou bien sûr San Francisco au volant d'une Ford Mustang avec le King of Cool à nos côtés. Oui, les voitures étaient classes et ne ressemblaient pas encore aux suppositoires chromés qui apparaîtront à partir des années 90. Oui, Bisset / Cardinale / Wood / Fonda / Deneuve et tant d'autres étaient peut-être les plus belles femmes du monde. Oui, les hommes qui, même avec des coupes de cheveux à la Brett Sinclair, avaient du style et des bollocks en acier. Et oui, le tout filmé en 35 / 70mm, avec des couleurs de tout le nuancier, des musiques très travaillées faites par de vrais musiciens, ont donné quelques-uns des plus beaux fantasmes sur pellicule de l'histoire du cinéma.

Sentiment ambivalent en ce qui me concerne. Je suis d'accord avec ce que tu dis, et en même temps je me rends compte que les années 60 sont la décennie de cinéma vers laquelle je me dirige le moins spontanément. Entre les dernières prod des grands studios encroûtés et les velléités libertaires pas encore bien canalisées, il n'y a pas grand chose me fasse un effet d'herbe à chat.

[Flol]

Si je pouvais faire un voyage dans le temps et l'espace, direct je voudrais qu'on m'envoie dans la Californie du début des années 70. Je ne sais pas trop pourquoi, mais la musique, la lumière, les fringues, la musique, les rouflaquettes, les jolies filles, la musique, les jolies filles...comment peut-on rejeter tout ça ?

il n'y a pas grand chose me fasse un effet d'herbe à chat.

Pardon ?

[Major Tom]

Sentiment ambivalent en ce qui me concerne. Je suis d'accord avec ce que tu dis, et en même temps je me rends compte que les années 60 sont la décennie de cinéma vers laquelle je me dirige le moins spontanément. Entre les dernières prod des grands studios encroûtés et les velléités libertaires pas encore bien canalisées, il n'y a pas grand chose me fasse un effet d'herbe à chat.

Disons qu'entre 1965 et 1975, c'est ma décennie. Et si à partir des années 60, le monde change pour devenir insouciant, novateur, libre et tout ce qu'on veut, comme Flol c'est quand même dans un film des années 70 (mais pas très éloigné des années 60) que j'aurais totalement aimé vivre (j'aurais fini mort d'overdose ou d'une maladie sexuellement transmissible, mais j'aurais été heureux ), en l'occurrence il s'agit de Play Misty for Me.
On peut poursuivre la discussion là-bas : https://www.dvdclassik.com/forum/viewto ... 6#p2138956

[El Dadal]

Ah non mais il y a méprise. Je parle de cinéma, vous me renvoyez au monde au delà de l'écran. Pas le même sujet, et le Major a raison de poursuivre ailleurs.

les fringues

Hum.
Jean-Pierre Festina et Ikebukuro vont venir te botter les fesses.

[Major Tom]

les fringues

Hum.

Ah si, si, ça éclabousse.

[Flol]

Ah non mais il y a méprise. Je parle de cinéma, vous me renvoyez au monde au delà de l'écran. Pas le même sujet, et le Major a raison de poursuivre ailleurs.

Mais quelle idée de parler de cinéma aussi. Est-ce que Ikekuburo parle de cinéma, lui ?

Jean-Pierre Festina et Ikebukuro vont venir te botter les fesses.

Et je leur rétorquerais qu'ils sont complètement loufdingues :

[El Dadal]

Je te mets au défi de porter le même futal.

Hum.

Ah si, si, ça éclabousse.

Oui mais bon... Marielle, quel homme, quelle classe. Prends ça Steve McQueen !

[Jean-Pierre Festina]

Jean-Pierre Festina et Ikebukuro vont venir te botter les fesses.

Et je leur rétorquerais qu'ils sont complètement loufdingues :

A noter qu'il n'y a pas très longtemps, il y avait une marque qui s'appelait Melinda Gloss et qui reprenait le créneau laissé vacant par Renoma depuis 1979, c'est-à-dire la confection de vestes sombres à petits motifs spiralaires et parme, entre autres menus trésors. Jailaflemme en possède un exemplaire dans sa penderie. Je crois qu'il me tuerait s'il savait que j'ébruitais ça.

A part ça rien à dire sur Steve McQueen, sa belle gueule ne m'a jamais rien inspiré de précis, si ce n'est le souvenir que nous en fait partager Polanski dans ses mémoires : un con fini, mais dingue de sa Jeep.

[harry]

Je viens de voir BULLIT... définitivement, la fin des années 60 et les 70 c'est, visuellement, pas du tout mon truc!!!!!!!!!!!!!!! Tout est laid : costumes, voitures, coupes de cheveux etc etc
Ah, l'époque du N&B de Capra, de Guitry... et les années 2000 avec Daniel Craig, Mission Impossible... mais ce type d'image, je ne peux pas

Tout?

Vraiment?





Et les caisses ressemblaient a des caisses qu'on avait envie de conduire. Pas des especes de coques "over designees" simili urban/SUV mes couilles...

[jailaflemme]

Jailaflemme en possède un exemplaire dans sa penderie. Je crois qu'il me tuerait s'il savait que j'ébruitais ça.

Te tuer ?! Au contraire, si j'avais activé le téléphone intelligent que tu m'as gracieusement cédé, j'aurais fièrement posté ici une photo de moi, un selfie, portant ladite veste !