Les sfx ne sont pas si catastrophique, la génése de ce Jack fut d'ailleurs très difficile, il faudrait que je retrouve mon Mad Movies sur le sujet d'ailleurs. Article super intéréssant!
C'est vrai, les sfx sont si mauvais que ça, m'en rappelle plus trop ?
Les scènes d'animation de Jack sont intéressantes mais elles sont diminuées par l'aspect lisse et jouet des figurines, loin des textures réalistes et soignées de celles du maître. Il faut aussi savoir que certaines séquences d'animation on été rallongé à la tireuse optique ce qui rajoute encore un aspect saccadé...
Le film est quand même bien sympathique.
PS: le travail d'animation sur ce film est principalement effectué par Jim Danforth, dont c'est le premier film et qui est un très bon animateur (il a travaillé avec Ray Harryhausen sur le Choc es Titans).
J'arrive après la bataille mais je ne resiste pas à faire mon top Harryhausen (suis très fan du monsieur, comme bcp ici) :
1. Golden Voyage of Sinbad
2. Jason et les Argonautes
3. 7th Voyage of Sinbad
4. Valley of Gwangi
5. Beast from 20,000 fathoms
Mais comme dit Marcel, chez Harryhausen, tout est bon !
Et j'aime bcp aussi Jack, le Tueur de géant, très grand souvenir de gamin et revu avec un immense plaisir il y a qq années... il faudrait d'ailleurs que je prenne le dvd.
Unité Ogami Ittô
Withdrawing in disgust is not the same thing as apathy.
Je suis un grand admirateur de Ray Harryhausen, et je ne peux que déplorer la qualité généralement décevante des films auxquels il a collaboré.
Il eût mérité d'avoir son King Kong plutôt que de se retrouver nanti de réalisateurs de seconde zone (dans les bons jours), de scénarii infantiles et de budgets étriqués.
Haut la main, Jason et les Argonautes... mais j'avoue apprécier tous les autres aussi car la nostalgie qu'ils dégagent fonctionne à fond sur ma personne!
Jason et les argonautes tout simplement parce que je ne me souviens que de ce film (vu pourtant dans les années 80).
C'est dire s'il m'avait enthousiasmé !
"De toutes les sciences humaines, la pipeaulogie - à ne pas confondre avec la pipe au logis - ou art de faire croire qu'on sait de quoi on parle, est sans conteste celle qui compte le plus de diplômés !" Cosmo (diplômé en pipeaulogie)
De loin, mon préféré, c'est Jason et les Argonautes, son plus beau travail, de son propre aveu, en particulier la scène la plus complexe et la plus réussie qui soit: l'attaque des squelettes soldats ("en voilà un! Et un autre! Et encore un autre!!") magnifiquement portée par la musique de Herrmann. Le Choc des Titans mérite aussi le détour, ne serait-ce que pour la scène du combat entre Persée et la méduse, superbe!
Beule a écrit :[Mythologie hellenique et féérie mille et une nuits constituent des univers fort distincts, à priori.
je préfère la version Rimski-Korsakov
Mécréant, tu ne sais pas ce qui est bon.
Et as-tu goûté aux délices de la bio, non du délire kitsch, de Walter Reisch (je ne connais d'ailleurs Schéhérazade que par l'entremise de ce nanar )?
Beule a écrit :
Et as-tu goûté aux délices de la bio, non du délire kitsch, de Walter Reisch (je ne connais d'ailleurs Schéhérazade que par l'entremise de ce nanar )?
Beule a écrit :
Et as-tu goûté aux délices de la bio, non du délire kitsch, de Walter Reisch (je ne connais d'ailleurs Schéhérazade que par l'entremise de ce nanar )?
Jamais entendu parler
Ah il te faut réparer cette lacune.
Où le jeune Rimsky-Korsakov (Jean-Pierre Aumont ) encore matelot rencontre le temps d'une escale en Afrique du Nord une jeune noble déchue dansant le soir dans les bouges aux bariolés aux couleurs irréelles pour entretenir sa famille (De Carlo en ballerine échappée de Salomé). Il reconnaît en elle le mythe de la princesse orientale et lui inspire son ballet, lequel sera interprété par la belle, émigrée en Russie, lors de sa première représentation sous la baguette du compositeur lui-même.
Ah il te faur réparer cette lacune.
Où le jeune Rimsky-Korsakov (Jean-Pierre Aumont ) encore matelot rencontre le temps d'une escale en Afrique du Nord une jeune noble déchue dansant le soir dans les bouges aux bariolés aux couleurs irréelles pour entretenir sa famille (De Carlo en ballerine échappée de Salomé). Il reconnaît en elle le mythe de la princesse orientale et lui inspire son ballet, lequel sera interprété par la belle, émigrée en Russie, lors de sa première représentation sous la baguette du compositeur lui-même.
Un effet pas très élaboré mais saisissant : dans le théâtre antique, on voit le fils de la déesse (comment s'appelait-il déjà ??) devenir un monstre diabolique en ombre chinoise : il lui pousse une queue et des cornes.
)?
