Seule dans la nuit (Terence Young - 1967)
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Seule dans la nuit (Terence Young - 1967)
(Wait until Dark), Terence Young, 1967.
Suzy Hendriks (Audrey Hepburn) est une jeune femme aveugle que trois truands essaient de tromper pour récupérer une poupée plein de cocaïne qu'elle est censée avoir en sa possession.
L'actrice interprête à la perfection ce personnage, et le film est grâce à elle encore plus fascinant que ce que promettait le pitch audacieux. Assez vite, l'appartement dans lequel se déroule la quasi-totalité de l'action est perçu comme le lieu potentiel de plein de dangers, et la cécité de Suzy devient presque perceptible (si l'on peut dire). Au point que la tension progresse en un crescendo infernal, culminant dans une splendide scène alternant lumière et obscurité, l'une étant à l'avantage des malfaiteurs, l'autre à l'avantage de la jeune femme aveugle.
La mise en scène, le découpage et tous ces jeux sur la lumière permettent au film de dépasser l'origine théâtrale du scénario, et de surpasser le statut de simple film à suspense.
Et David Fincher et ses scénariste ont dû pas mal revoir Seule dans la nuit en préparant Panic Room, beaucoup d'élements du premier font écho au second : une femme, une petite fille, face à trois malfrats dont un au bon fond et un psychopathe qui ne montre pas volontiers son vrai visage.
Suzy Hendriks (Audrey Hepburn) est une jeune femme aveugle que trois truands essaient de tromper pour récupérer une poupée plein de cocaïne qu'elle est censée avoir en sa possession.
L'actrice interprête à la perfection ce personnage, et le film est grâce à elle encore plus fascinant que ce que promettait le pitch audacieux. Assez vite, l'appartement dans lequel se déroule la quasi-totalité de l'action est perçu comme le lieu potentiel de plein de dangers, et la cécité de Suzy devient presque perceptible (si l'on peut dire). Au point que la tension progresse en un crescendo infernal, culminant dans une splendide scène alternant lumière et obscurité, l'une étant à l'avantage des malfaiteurs, l'autre à l'avantage de la jeune femme aveugle.
La mise en scène, le découpage et tous ces jeux sur la lumière permettent au film de dépasser l'origine théâtrale du scénario, et de surpasser le statut de simple film à suspense.
Et David Fincher et ses scénariste ont dû pas mal revoir Seule dans la nuit en préparant Panic Room, beaucoup d'élements du premier font écho au second : une femme, une petite fille, face à trois malfrats dont un au bon fond et un psychopathe qui ne montre pas volontiers son vrai visage.
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Un film que j'aime beaucoup.
Audrey Hepburn y révèle un savant équilibre entre fragilité et résistance. La mise en scène de Terence Young est en effet d'une grande précision et sait parfaitement mettre en valeur les décors du film qui ont un grand rôle dramatique.
Seule dans la nuit permet justement de montrer que Young fut un vrai bon réalisateur, chose que ses James Bond démontrent aisément alors qu'on se focalise trop sur la performance de Sean Connery et les codes bondiens (qu'il a justement grandement contribués à définir).
Audrey Hepburn y révèle un savant équilibre entre fragilité et résistance. La mise en scène de Terence Young est en effet d'une grande précision et sait parfaitement mettre en valeur les décors du film qui ont un grand rôle dramatique.
Seule dans la nuit permet justement de montrer que Young fut un vrai bon réalisateur, chose que ses James Bond démontrent aisément alors qu'on se focalise trop sur la performance de Sean Connery et les codes bondiens (qu'il a justement grandement contribués à définir).
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Beule a écrit :Au regard de l'exceptionnelle réussite que constituait son premier film (l'envoûtant et surréaliste L'étrange rendez-vous) la carrière de Young ne laisse pas de me décevoir. Mais ce thriller témoigne effectivement d'un sursaut d'orgueil.
Quels sont les Bond qu'il a réalisés?
James Bond contre Docteur No et Bon baisers de Russie.
meme si c'est un réalisateur vraiment irrégulier,je trouve qu'il a quand meme une carriére plus qu'honorable.et effectivement Seule dans la nuit fait parti de ses réussites
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Re: Seule dans la nuit (Wait until Dark)
un très bon film qui m'as laissez de glace-Kaonashi Yota- a écrit :Seule dans la nuit, Terence Young, 1967.
Suzy Hendriks (Audrey Hepburn) est une jeune femme aveugle que trois truands essaient de tromper pour récupérer une poupée plein de cocaïne qu'elle est censée avoir en sa possession.
L'actrice interprête à la perfection ce personnage, et le film est grâce à elle encore plus fascinant que ce que promettait le pitch audacieux. Assez vite, l'appartement dans lequel se déroule la quasi-totalité de l'action est perçu comme le lieu potentiel de plein de dangers, et la cécité de Suzy devient presque perceptible (si l'on peut dire). Au point que la tension progresse en un crescendo infernal, culminant dans une splendide scène alternant lumière et obscurité, l'une étant à l'avantage des malfaiteurs, l'autre à l'avantage de la jeune femme aveugle.
La mise en scène, le découpage et tous ces jeux sur la lumière permettent au film de dépasser l'origine théâtrale du scénario, et de surpasser le statut de simple film à suspense.
Et David Fincher et ses scénariste ont dû pas mal revoir Seule dans la nuit en préparant Panic Room, beaucoup d'élements du premier font écho au second : une femme, une petite fille, face à trois malfrats dont un au bon fond et un psychopathe qui ne montre pas volontiers son vrai visage.
je suis fana de ce genre ciné,je recherche et propose.merci
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Re: Seule dans la nuit (Wait until Dark)
Ah ? ça manquait peut-être de dilligences et de cow-boys à ton goût ?james a écrit :un très bon film qui m'as laissez de glace
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Re: Seule dans la nuit (Wait until Dark)
splashhhhhhhhhh grrrrrrr-Kaonashi Yota- a écrit :Ah ? ça manquait peut-être de dilligences et de cow-boys à ton goût ?james a écrit :un très bon film qui m'as laissez de glace
je suis fana de ce genre ciné,je recherche et propose.merci
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