western des anneés 60

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés avant 1980.

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Beule
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Re: western des anneés 60

Message par Beule »

james a écrit :les anneés 60 voit le declin d'un genre le western l'heure de gloire etant passez les producteurs se retirent peu a peu des ces films qui pour eux ne trouve plus client voire recette je pense que cela fut faux,certains realisateur furent encore inspiré et de bons petit western voire quelque classic sortir des studios.voicis une liste des 10 westerns des anneés 60 je vous demandes s'il vous plait de classez par orde de preference vos 10 westerns préferez merci, :wink:

:arrow: les 4 fils de katie elder...1965
:arrow: le mercenaire de minuit...1964
:arrow: les compagnons de la gloire...1965
:arrow: le justicier de l'arizona...1966
:arrow: la horde sauvage...1969
:arrow: le tresor des 7 collines...1961
:arrow: pendez les haut et court...1968
:arrow: la bataille de la valleé du diable...1966
:arrow: 7 secondes en enfer...1967
:arrow: un homme fait la loi...1969

:wink:
Les cinq en gras je ne crois pas les connaître :? Et les cinq autres, je ne les aime vraiment pas :oops: , sorry James, excepté peut-être Pendez-les haut et court.

Les westerns des 60s que j'apprécie particulièrement:

L'homme qui tua Liberty Valance
Les deux cavaliers
L'homme sauvage
El Dorado
puis
Coups de feu dans la Sierra
Rio Conchos
Le sergent noir
Les Cheyennes
Le pistolero de la Rivière Rouge (excellent souvenir mais il faudrait que je puisse le revoir)
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Jeremy Fox
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Re: western des anneés 60

Message par Jeremy Fox »

Il faut absolument que je me dégotte les deux cavaliers et pour Le pistoléro de la rivière rouge, toujours aussi bon ;-)
james
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Re: western des anneés 60

Message par james »

Beule a écrit :
james a écrit :les anneés 60 voit le declin d'un genre le western l'heure de gloire etant passez les producteurs se retirent peu a peu des ces films qui pour eux ne trouve plus client voire recette je pense que cela fut faux,certains realisateur furent encore inspiré et de bons petit western voire quelque classic sortir des studios.voicis une liste des 10 westerns des anneés 60 je vous demandes s'il vous plait de classez par orde de preference vos 10 westerns préferez merci, :wink:

:arrow: les 4 fils de katie elder...1965
:arrow: le mercenaire de minuit...1964
:arrow: les compagnons de la gloire...1965
:arrow: le justicier de l'arizona...1966
:arrow: la horde sauvage...1969
:arrow: le tresor des 7 collines...1961
:arrow: pendez les haut et court...1968
:arrow: la bataille de la valleé du diable...1966
:arrow: 7 secondes en enfer...1967
:arrow: un homme fait la loi...1969

:wink:
Les cinq en gras je ne crois pas les connaître :? Et les cinq autres, je ne les aime vraiment pas :oops: , sorry James, excepté peut-être Pendez-les haut et court.

Les westerns des 60s que j'apprécie particulièrement:

L'homme qui tua Liberty Valance
Les deux cavaliers
L'homme sauvage
El Dorado
puis
Coups de feu dans la Sierra
Rio Conchos
Le sergent noir
Les Cheyennes
Le pistolero de la Rivière Rouge (excellent souvenir mais il faudrait que je puisse le revoir)
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beule concernant"l'homme sauvage" de mulligan western trop souvent injustement meprisé tu as raison de le noté j'adore. :wink:
je suis fana de ce genre ciné,je recherche et propose.merci
O'Malley
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Message par O'Malley »

il est vrai que L'homme sauvage est intéressant à défaut d'être véritablement réussi.

3 autres films injustement oublié mais qui méritent de figurer au panthéon de la décennie:

-El perdido, magnifique western crépusculaire qui offre à Kirk Douglas l'un des ses plus belles compositions dans le genre,
- Will Penny le solitaire, trés beau poème violent rythmé par les saisons avec un Charlton Heston tout a tour dur et fragile,
- Major Dundee, un peu décousu certes mais neammoins passionnant. belle interprétation de Heston et Harris et surtout une mise en scène de Peckinpah solide et de magnifiques paysages mexicains...

La conquête de l'Ouest est aussi très réussi pour un film à sketches, dont l'épisode réalisé par Hathaway avec Gregory Peck est un petit bijou à lui seul...
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Jeremy Fox
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Message par Jeremy Fox »

O'Malley a écrit :
La conquête de l'Ouest est aussi très réussi pour un film à sketches, dont l'épisode réalisé par Hathaway avec Gregory Peck est un petit bijou à lui seul...
Autant j'ai adoré ce film étant gosse autant la revision récente m'a très très mal :(
O'Malley
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Message par O'Malley »

Jeremy Fox a écrit :
O'Malley a écrit :
La conquête de l'Ouest est aussi très réussi pour un film à sketches, dont l'épisode réalisé par Hathaway avec Gregory Peck est un petit bijou à lui seul...
Autant j'ai adoré ce film étant gosse autant la revision récente m'a très très mal :(
je ne suis pourtant plus un gosse et j'ai tjs apprécié lors de sa précédente vision (mais j'avoue que la B.O d'Alfred Newman y est aussi pour quelque chose :wink: )
Bartlebooth
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Message par Bartlebooth »

Ne pas oublier non plus les deux westerns de Monte Hellman avec Jack Nicholson, Ride in the Whirlwind (L'Ouragan de la vengeance, 1965) et The Shooting. (1967)

Je garde aussi un bon souvenir de 100 Rifles de Tom Gries (1969), qui contient sauf erreur le premier baiser inter-racial du cinéma américain. Pas un chef-d'oeuvre (mais n'y prétend pas non plus), mais un de ces "petits films" qui fait son boulot de film de genre et le fait bien.

Cela dit pour ne pas reciter les westerns indiscutables de la décennie (Ford, Hawks, etc.) et les bons artisans (Gordon Douglas et consorts) déjà mentionnés par les uns et les autres.

En ce qui concerne Leone, il me semble qu'il occupe dans l'histoire du genre la même place que Bronzino ou Pontormo par rapport à Michel-Ange dans l'histoire de la Renaissance (excusez ce que la référence peut avoir de pédant): celle d'un maniériste (le mot n'est pas péjoratif) qui a travaillé sur les formes du genre dans le sens d'un étirement, d'une exagération, jusqu'à l'exhaustion. C'est du western au carré en quelque sorte.

Mon goût me porte vers d'autres tentatives de renouvellement du genre (Hellman au premier chef), mais c'est affaire de préférence personnelle. Pour ma part, le style de Leone ne s'accomplit véritablement que dans
Il était une fois en Amérique, superbe chant du cygne (à tous égards).
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Jeremy Fox
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Message par Jeremy Fox »

Bartlebooth a écrit :Ne pas oublier non plus les deux westerns de Monte Hellman avec Jack Nicholson, Ride in the Whirlwind (L'Ouragan de la vengeance, 1965) et The Shooting. (1967)

.
Encore eut-il fallu qu'on ait pu les voir car ils sont plus que rarissimes :(
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Roy Neary
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Message par Roy Neary »

Bartlebooth a écrit :Pour ma part, le style de Leone ne s'accomplit véritablement que dansIl était une fois en Amérique, superbe chant du cygne (à tous égards).
Je ne partage pas du tout cet avis.
Pour moi, le cinéma particulier de Sergio Leone atteint sa plénitude avec Le Bon, la Brute et le Truand et Il était une fois dans l'Ouest.
Il était une fois en Amérique est un film plus dense, plus complexe, plus riche de thèmes et plus mélancolique, avec une vison très affirmée de l'Amérique et de sa mythologie. Un film somme et involontairement testamentaire, mais l'accomplissement stylistique, pour ne parler que de cela, s'est produit bien avant.
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George Bailey
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Message par George Bailey »

Je rajouterai à vos listes Butch Cassidy et the kid.
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Kurtz

Message par Kurtz »

George Bailey a écrit :Je rajouterai à vos listes Butch Cassidy et the kid.
:?:
c pas les années 70 ?

ha, si c peut-être 69 en fait
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Geoffrey Firmin
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Message par Geoffrey Firmin »

Roy Neary a écrit :
Geoffrey Firmin a écrit :En ce qui concerne Leone, je ne pense pas a un renouveau mais plustot à un prolongement d'une voie ouverte par Sturges dans les 7 mercenaires, c'est a dire influence de Kurosawa , personnage à la psychologie minimaliste, reperes historico-géographiques absents .Sans etre méchant je ne vois rien de génial la dedans meme si j'aprécie ce cinéma la aussi.
Pas d'accord du tout. :wink:
Leone c'est une véritable cassure. Bien sûr tout est affaire d'influences et les idées se répercutent. Ainsi, je remonterai plutôt à Aldrich (Vera Cruz) plutôt qu'à Sturges (Les 7 mercenaires) pour voir les prémices de ce bouleversement. Cela n'empêche pas que Sergio Leone, influencé par Kurosawa bien sûr au départ, a imposé une fracture. Leone est l'un des derniers créateurs de forme apparus dans les années 60. Et ça, c'est primordial dans l'histoire du cinéma.
Et je n'hésite pas, de mon côté, à employer le terme "génial".
Etonnant qu'on en soit toujours aujourd'hui à discuter de l'originalité de Sergio Leone ! :wink:
Pas d'accord à mon tour:
Le bouleversement est arrivé à la fin des années 50, lorsque la télévision a décidé de marcher sur les plates bandes du western classique avec des séries comme "Rawide","Maverick","Au nom de la loi" etc.Les grands studios se devaient de proposer autre chose pour attirer le spectateur, c'est ainsi qu'ils ont mis en chantier des westerns à gros budget comme "Les grands espaces","Cimarron" de Mann,"la conquète de l'ouest".Ces films extremement couteux n'étaient pas rentables, jusqu'au succès "des sept mercenaires" qui changea la donne avec de nouveaux éléments: nouvelle génération d'acteurs, abandon des repères historiques classiques,épaisseur psychologique des personnages réduites(adieu les personnages complexes comme Wayne dans the Seachers,Stewart dans l'appat ou Glenn Ford dans 3h10),pas de femmes.Le personnage fantasmagorique d'Eastwood dans les films de Leone est né dans "les 7 mercenaires", c'est le personnage de James Coburn: froid, taciturne,insensible presque autiste.Il n'a pas de faille, n'a pas de sexualité(ce serait une faiblesse d'en avoir une) mais il a un gros revolver,il est indestructible ni par les femmes ni par ces ennemis, il est intelligent.Je le répete c'est un personnage fantasmagorique, le personnage(l'homme sans nom) que tout homme(ou plustot adolescent) reverait d'etre.Cette approche Léonienne est évidemment tres italienne et donc tres machiste, les personnages féminins sont tres rares et quand il y en a, ceux sont en général des putes (Claudia Cardinal) ou des moins que rien tout juste bonnes à etre battues ,violées, sodomisées(Tuesday Weld, Elizabeth Mac Govern).Ce cinéma est certe tres divertissant, mais il est aussi psyquanalitiquement passionnant :roll: .
james
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Message par james »

Geoffrey Firmin a écrit :
Roy Neary a écrit : Pas d'accord du tout. :wink:
Leone c'est une véritable cassure. Bien sûr tout est affaire d'influences et les idées se répercutent. Ainsi, je remonterai plutôt à Aldrich (Vera Cruz) plutôt qu'à Sturges (Les 7 mercenaires) pour voir les prémices de ce bouleversement. Cela n'empêche pas que Sergio Leone, influencé par Kurosawa bien sûr au départ, a imposé une fracture. Leone est l'un des derniers créateurs de forme apparus dans les années 60. Et ça, c'est primordial dans l'histoire du cinéma.
Et je n'hésite pas, de mon côté, à employer le terme "génial".
Etonnant qu'on en soit toujours aujourd'hui à discuter de l'originalité de Sergio Leone ! :wink:
Pas d'accord à mon tour:
Le bouleversement est arrivé à la fin des années 50, lorsque la télévision a décidé de marcher sur les plates bandes du western classique avec des séries comme "Rawide","Maverick","Au nom de la loi" etc.Les grands studios se devaient de proposer autre chose pour attirer le spectateur, c'est ainsi qu'ils ont mis en chantier des westerns à gros budget comme "Les grands espaces","Cimarron" de Mann,"la conquète de l'ouest".Ces films extremement couteux n'étaient pas rentables, jusqu'au succès "des sept mercenaires" qui changea la donne avec de nouveaux éléments: nouvelle génération d'acteurs, abandon des repères historiques classiques,épaisseur psychologique des personnages réduites(adieu les personnages complexes comme Wayne dans the Seachers,Stewart dans l'appat ou Glenn Ford dans 3h10),pas de femmes.Le personnage fantasmagorique d'Eastwood dans les films de Leone est né dans "les 7 mercenaires", c'est le personnage de James Coburn: froid, taciturne,insensible presque autiste.Il n'a pas de faille, n'a pas de sexualité(ce serait une faiblesse d'en avoir une) mais il a un gros revolver,il est indestructible ni par les femmes ni par ces ennemis, il est intelligent.Je le répete c'est un personnage fantasmagorique, le personnage(l'homme sans nom) que tout homme(ou plustot adolescent) reverait d'etre.Cette approche Léonienne est évidemment tres italienne et donc tres machiste, les personnages féminins sont tres rares et quand il y en a, ceux sont en général des putes (Claudia Cardinal) ou des moins que rien tout juste bonnes à etre battues ,violées, sodomisées(Tuesday Weld, Elizabeth Mac Govern).Ce cinéma est certe tres divertissant, mais il est aussi psyquanalitiquement passionnant :roll: .
en effet la t.v eu un impact negatif pour la suite des productions western,l'arrivé de series demolit peu a peu un univers bonenfant que nous etions habitués a regardez,c'est la vie :wink:
je suis fana de ce genre ciné,je recherche et propose.merci
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Roy Neary
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Message par Roy Neary »

La télévision n'a pas joué de rôle dans la volonté de Sergio Leone d'apporter sa propre vision au western, et surtout pas stylistiquement. Leone s'est appuyé sur les grands classiques qu'il aimait (en particulier John Ford) pour son entreprise de déconstruction, pas du changement d'échelle entre le cinéma et la télévision (qui elle se contentait de capitaliser sur les grandes figures et les grands thèmes du western classique).

En ce qui concerne Les 7 mercenaires.
Il est vrai que la télévision a provoqué une envie chez les Studios d'en faire toujours plus et de rendre leurs westerns encore plus spectaculaires. Mais, en ce qui concerne l'épaisseur psychologique des héros, je ne pense pas qu'elle était coutumière de tous les westerns d'avant 1960. Loin de là.
Et les années 60 ont été d'autre part une époque où tous les codes des films de genre ont été remaniés, et le western en fait partie (Pechinpah, Penn, Polonsky, etc...) avec la volonté de développer le genre dans d'autres directions sans nécessairement l'appauvrir (psychologique, poltique, critique historique, social, moral, etc...). Une époque se tourne, c'est un fait, mais ces nouveaux westerns ne représentent pas obligatoirement un appauvrissement du genre.
Je comprends ce que tu veux dire sur les personnages du film de Sturges. Et je ne nie pas son rôle dans l'évolution dont on parle. Mais je reste circonspect. Car c'est avant tout un film de groupe, alors que chez Leone, c'est l'individualisme qui est prôné. Et je ne vois pas trop ce qu'il y a de fantasmagorique dans le personnage de James Coburn, comme dans celui de Charles Bronson, même si leur caractérisation psychologique et leur historiques particulières sont réduits à la plus simple expression. Ce sont en effet des figures plus que des personnages complexes, mais ils ont un nom et ressentent des sentiments (et deviennent même capables de sacrifice !).
Je pense aussi, pour me répéter que Robert Aldrich fut un précurseur dans cette évolution du western (l'humour sarcastique, les héros pas propres sur eux, l'ironie de leur parcours, la frontière floue entre le bien et le mal). :wink:
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james
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Message par james »

Roy Neary a écrit :La télévision n'a pas joué de rôle dans la volonté de Sergio Leone d'apporter sa propre vision au western, et surtout pas stylistiquement. Leone s'est appuyé sur les grands classiques qu'il aimait (en particulier John Ford) pour son entreprise de déconstruction, pas du changement d'échelle entre le cinéma et la télévision (qui elle se contentait de capitaliser sur les grandes figures et les grands thèmes du western classique).

En ce qui concerne Les 7 mercenaires.
Il est vrai que la télévision a provoqué une envie chez les Studios d'en faire toujours plus et de rendre leurs westerns encore plus spectaculaires. Mais, en ce qui concerne l'épaisseur psychologique des héros, je ne pense pas qu'elle était coutumière de tous les westerns d'avant 1960. Loin de là.
Et les années 60 ont été d'autre part une époque où tous les codes des films de genre ont été remaniés, et le western en fait partie (Pechinpah, Penn, Polonsky, etc...) avec la volonté de développer le genre dans d'autres directions sans nécessairement l'appauvrir (psychologique, poltique, critique historique, social, moral, etc...). Une époque se tourne, c'est un fait, mais ces nouveaux westerns ne représentent pas obligatoirement un appauvrissement du genre.
Je comprends ce que tu veux dire sur les personnages du film de Sturges. Et je ne nie pas son rôle dans l'évolution dont on parle. Mais je reste circonspect. Car c'est avant tout un film de groupe, alors que chez Leone, c'est l'individualisme qui est prôné. Et je ne vois pas trop ce qu'il y a de fantasmagorique dans le personnage de James Coburn, comme dans celui de Charles Bronson, même si leur caractérisation psychologique et leur historiques particulières sont réduits à la plus simple expression. Ce sont en effet des figures plus que des personnages complexes, mais ils ont un nom et ressentent des sentiments (et deviennent même capables de sacrifice !).
Je pense aussi, pour me répéter que Robert Aldrich fut un précurseur dans cette évolution du western (l'humour sarcastique, les héros pas propres sur eux, l'ironie de leur parcours, la frontière floue entre le bien et le mal). :wink:
bien avant "aldrich,sturges,penn,etc..." d'autres realisateur nous ont demontré leurs volonté de changer radicalement de style en nous montrons un aspect plus compact de la realiteé et sur "l'individualisme" si leone en effet fut un destructeur"ses propos n'engage que moi" des realisateurs comme "oliver drake,samuel fuller,harold schuster......ont focalisé sur une violence gratuite tout en conservant le coté perfectible du genre western,lust to kil 57 en ai une parfaite illustration,jack slade aussi,etc........coburn et bronson s'accorderons a nous montré un style qui seras utilisé et appreciez bien apres "les 7 mercenaires" enfin moi je n'y adhere pas trop mais il est vraie les circonstance voulurent que le cinéma change et les acteur et realisateur aussi,merci :wink:
je suis fana de ce genre ciné,je recherche et propose.merci
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