Howard Hawks (1896-1977)

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés avant 1980.

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popcyril
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Re: Howard Hawks (1896-1977)

Message par popcyril »

Federico a écrit :
TheDeerHunter a écrit : - La dame du vendredi (1940) - 18/20. Un poil moins drôle que L'Impossible Monsieur Bébé. Mais c'est tout.
Bienvenu, TheDeerHunter !
Je trouve La dame du vendredi bien plus amusant et enlevé que L'Impossible Monsieur Bébé (je ne me lasse pas des dialogues mitraillettes entre Grant et Russell).
Idem! J'ai revu Bringing up Baby pas plus tard que samedi et s'il reste un grand film, je le trouve un poil moins drôle que His Girl Friday. Bon, j'avoue que la scène du dîner et du cri du léopard a failli encore une fois me tuer de rire.
- Rio Lobo (1970). 11/20. GROSSE déception. Je savais ce film peu apprécié. Heureusement que le Wayne vieillissant est toujours un grand acteur et que le film est amusant. Je pense vraiment que Hawks aurait du s'arrêter en 1966, ou faire autre chose qu'un Western. Ce n'est pas un mauvais fim, mais Hawks nous a habitué à tellement mieux...
C'est le mal aimé des trois mais je l'aime beaucoup et le préfère à El Dorado (Rio Bravo est évidemment hors-concours). Sherry Lansing et Jennifer O'Neill y sont pour beaucoup mais pas seulement... :oops:[/quote]

Pareil aussi. Je le trouve moins honteux que ce que j'en ai lu. L'interprétation de Wayne est une des plus touchantes de sa carrière (pour moi). Je m'attendais à une telle cata que j'ai été très agréablement surpris.
TheDeerHunter
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Re: Howard Hawks (1896-1977)

Message par TheDeerHunter »

Salut à tous!

L'Impossible Monsieur Bébé est la première screwball comedy que j'ai vu et, comme j'ai totalement adhéré au genre, ce film
conserve une place particulière pour moi. Evidemment, j'ai énormément rigolé à la vision de la Dame du Vendredi. Je l'ai
revu hier et vous avez raison, certaines situations sont peut etre encore plus fortes que dans L'Impossible..
Je vais donc éditer mon post et lui mettre le 19/20 qu'il mérite :P

Par contre, je ne peux vous suivre sur le cas Rio Lobo. Pas mauvais certes, loin de là même! Mais supérieur à El Dorado?!
Cette fois, je n'ai pas besoin de revoir l'un des deux films pour confirmer ma position: je trouve El Dorado NETTEMENT meilleur.

Le Grand Sommeil est la preuve de l'énorme talent de Hawks: on ne comprends rien, cas exceptionnel dans sa filmographie,
mais c'est quand même terriblement addictif!

Quel réalisateur! Hawks est pour moi ce que Frank Zappa ou David Bowie sont à la musique contemporaine: des touches à tout formidables.
J'affectionne à peu près tous les genres du cinéma, sauf le Péplum/films "épiques". En outre, j'aime ces réalisateurs qui mettent en avant
leurs personnages en lieu et place de l'intrigue.
Vieux parasite
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Re: Howard Hawks (1896-1977)

Message par Vieux parasite »

popcyril a écrit :
Federico a écrit : Bienvenu, TheDeerHunter !
Je trouve La dame du vendredi bien plus amusant et enlevé que L'Impossible Monsieur Bébé (je ne me lasse pas des dialogues mitraillettes entre Grant et Russell).
Idem! J'ai revu Bringing up Baby pas plus tard que samedi et s'il reste un grand film, je le trouve un poil moins drôle que His Girl Friday. Bon, j'avoue que la scène du dîner et du cri du léopard a failli encore une fois me tuer de rire.
Je trouve Bringing up baby bien plus délirant par le caractère improbable de la situation et le jeu de Cary Grant. J'ai un peu plus de mal avec His Girl Friday que j'ai vu après Front page de Wilder adapté de la même pièce et que je trouve plus subtil mais tout aussi rythmé.
TheDeerHunter a écrit : - Le Sport préféré de l'homme (1964). 16/20. Je n'en attendais pas grand chose, et j'ai adoré. Hudson n'est pas Grant, c'est certain.
Mais j'ai aimé cet homme qui ment sans cesse.
On s'attend à ce point à voir Cary Grant dans ces situations, que chaque fois que je repense au film, je visualise Cary Grant :mrgreen:

Et sinon, bienvenu à TheDeerHunter :D
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Cathy
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Re: Howard Hawks (1896-1977)

Message par Cathy »

Vieux parasite a écrit :
On s'attend à ce point à voir Cary Grant dans ces situations, que chaque fois que je repense au film, je visualise Cary Grant :mrgreen:

Et sinon, bienvenu à TheDeerHunter :D
C'est sans doute pour cela que je n'aime pas plus que cela "Le sport favori de l'homme", j'ai trop l'impression de voir en Rock Hudson, un ersatz de Cary Grant, surtout qu'en plus le gag de la robe de Bringing'up baby est repris dedans ! Sinon j'aime bien "Allez coucher ailleurs", c'est évidemment moins rythmé et délirant que d'autres comédies, mais bon, il y a quand même de très bons moments !
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Kevin95
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Re: Howard Hawks (1896-1977)

Message par Kevin95 »

Rien que pour la scène de l'ours (à cause d'elle je n'ai pas pu suivre les dix minutes suivantes tant j'étais plié en deux) et Paula Prentiss (raaaaaaaaaa), je pardonne à Hudson d'être une version sans calories de Grant (moins d'émotions, plus rigide) et je considère Man's Favorite Sport ? comme un vrai plaisir de cinéma tout sauf honteux dans la filmographie de Hawks.

Quand à Rio Lobo, s'il est à mieux lieux au dessus des autres westerns que tourne John Wayne dans les 70's, c'est quand même bien en deçà de ce qu'a pu produire le cinéaste.
Les deux fléaux qui menacent l'humanité sont le désordre et l'ordre. La corruption me dégoûte, la vertu me donne le frisson. (Michel Audiard)
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Re: Howard Hawks (1896-1977)

Message par TheDeerHunter »

Si seulement je pouvais avoir l'intégralité de sa filmographie en DVD, je l'aime tellement ce Hawks :uhuh: !
Depuis mon premier post, je me suis procuré Après nous le déluge. Je n'en attendais pas grand chose (un peu comme Brumes par exemple),
mais c'est pas si mal que ça finalement.

J'ai besoin de vous! Savez-vous si Red Line 7000 existe en dvd? Même en Zone 1 sans sous-titre? Je sais que Hawks était passionné
de courses auto, et qu'il a réalisé deux films à ce sujet. Je veux absolument découvrir cette face du cinéaste, même si il semblerait
que Red line ne soit pas un très bon film. Please HELP!
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Re: Howard Hawks (1896-1977)

Message par daniel gregg »

TheDeerHunter a écrit :Si seulement je pouvais avoir l'intégralité de sa filmographie en DVD, je l'aime tellement ce Hawks :uhuh: !
Depuis mon premier post, je me suis procuré Après nous le déluge. Je n'en attendais pas grand chose (un peu comme Brumes par exemple),
mais c'est pas si mal que ça finalement.

J'ai besoin de vous! Savez-vous si Red Line 7000 existe en dvd? Même en Zone 1 sans sous-titre? Je sais que Hawks était passionné
de courses auto, et qu'il a réalisé deux films à ce sujet. Je veux absolument découvrir cette face du cinéaste, même si il semblerait
que Red line ne soit pas un très bon film. Please HELP!
Pas d'édition, même en Z1.
Il existe une version vhs de Paramount à 38$ datant de 1991. :|
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Re: Howard Hawks (1896-1977)

Message par hansolo »

TheDeerHunter a écrit :J'ai besoin de vous! Savez-vous si Red Line 7000 existe en dvd? Même en Zone 1 sans sous-titre? Je sais que Hawks était passionné de courses auto, et qu'il a réalisé deux films à ce sujet. Je veux absolument découvrir cette face du cinéaste, même si il semblerait
que Red line ne soit pas un très bon film. Please HELP!
On trouve ça sur le net :
Spoiler (cliquez pour afficher)
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sans doute un Dvd pirate ...
- What do you do if the envelope is too big for the slot?
- Well, if you fold 'em, they fire you. I usually throw 'em out.

Le grand saut - Joel & Ethan Coen (1994)
TheDeerHunter
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Re: Howard Hawks (1896-1977)

Message par TheDeerHunter »

Il s'agit d'un pirate je crois.
Pff, impossible de trouver ses films muets hormis A girl in every port.
Un avis sur Barbary Coast? Car lui est trouvable et pour pas cher du tout. J'hésite..
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Jeremy Fox
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Re: Howard Hawks (1896-1977)

Message par Jeremy Fox »

TheDeerHunter a écrit : Un avis sur Barbary Coast? Car lui est trouvable et pour pas cher du tout. J'hésite..
Le mien
Pour collectionneurs ou "complétistes" de la filmo hawksienne uniquement !
Et bienvenue sinon :wink:
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Major Dundee
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Re: Howard Hawks (1896-1977)

Message par Major Dundee »

TheDeerHunter a écrit :Si seulement je pouvais avoir l'intégralité de sa filmographie en DVD, je l'aime tellement ce Hawks :uhuh: !
TheDeerHunter a écrit :Un avis sur Barbary Coast? Car lui est trouvable et pour pas cher du tout. J'hésite..
T'as quand même pas trop l'air de savoir ce que tu veux :fiou:

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- Ah, si j'avais trente ans de moins !
- J'aurais cinq ans... Ce serait du joli !


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Re: Howard Hawks (1896-1977)

Message par Federico »

TheDeerHunter a écrit :J'ai besoin de vous! Savez-vous si Red Line 7000 existe en dvd? Même en Zone 1 sans sous-titre? Je sais que Hawks était passionné de courses auto, et qu'il a réalisé deux films à ce sujet. Je veux absolument découvrir cette face du cinéaste, même si il semblerait que Red line ne soit pas un très bon film. Please HELP!
J'aimerai beaucoup revoir ce Hawks qui, bien que mineur dans son oeuvre, m'avait laissé un souvenir sympa. Bon, c'était il y a plus qu'un bail, lors d'un CDM des années 80 si je me goure pas.
The difference between life and the movies is that a script has to make sense, and life doesn't.
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Re: Howard Hawks (1896-1977)

Message par allen john »

Bringing up baby (Howard Hawks, 1938)

Il n' y a pas de léopard dans le Connecticut? Tant pis. Quoi qu'il en soit, ce film célèbre l'hypothèse qu'il y en ait un, même si la présence de "Baby", le gentil félin moucheté, qui semble-t-il adore les chiens et la chanson I can't give you anything but love, baby, ne soit pas finalement l'argument principal de cette comédie qu'il me semble sans aucune exagération possible de qualifier de parfaite. Et pourtant elle avait commencé son existence dans de bien médiocres conditions, puisque Hawks, à la fin des années 30, n'est pas encore le réalisateur-monstre sacré qu"il deviendra, et que la présence de Cary Grant et Katharine Hepburn est surtout motivée par le flop monumental auquel ils ont tous deux participé pour la RKO, Sylvia Scarlett. A cette époque, Hepburn est considérée comme, en Anglais dans le texte, Box office Poison, et les deux acteurs se sont engagés à apparaitre gratuitement dans une comédie pour la firme, afin de la dédommager de l'échec du film de Cukor, trop en avance sur son temps. Voilà les bases de cette nouvelle comédie, qui contrairement à Sylvia Scarlett est une "Screwball comedy", plus dans la ligne du genre... C'est même, à mon humble avis, la meilleure de ces comédies sentimentales menées tambour battant.

David Huxley est un paléontologue entièrement dédié à son métier. A la veille de se marier avec Alice Swallow, sa collaboratrice (Pour des raisons purement professionnelles, semble-t-il), il doit rencontrer l'avocat d'une riche mécène, Mrs Carleton-Random, afin de le persuader d'interférer auprès de sa cliente dans le but que celle-ci fasse au musée un don d'un million de Dollars. Durant la partie de golf qui tient lieu de rendez-vous, David fait la rencontre d'une jeune femme fofolle, Susan Vance, qui fait une entrée tonitruante dans sa vie. Une clavicule intercostale, un chien, deux léopards, un chasseur de gros gibier, un psychanalyste interlope, un shériff plus tard, la vie de david est définitivement chamboulée...

La mise en scène de Hawks est réputée pour sa simplicité, son absence de frime, et son coté définitif, c'est particulièrement vrai ici. Mais avec ses comédiens, il s'est manifestement livré à de l'improvisation, lâchant le plus souvent Hepburn contre Grant: la première incarne la folie destructrice et incontrôlable, le deuxième sensé être la raison ferme, victime des attaques de la première... et ça fonctionne bien sur à merveille. Pour le personnage de David Huxley, "egghead", c'est à dire savant intellectuel et pompeux, décalé des réalités matérielles, et de la vraie vie, Hawks et Grant se sont inspirés de deux sources évidentes: Charley Chase, d'une part, le comédien de l'embarras, parfaitement en phase avec son monde jusqu'à ce qu'un grain de sable ne se mette en travers de son chemin, et Harold Lloyd, dont l'influence est d'autant plus perspectible que Grant porte des lunettes. Come eux, Grant est un "straight man", lâché dans une comédie qui les plonge dans l'embarras. Mais l'influence du muet ne s'arrête pas là, avec de nombreux gags qui renvoient directement à d'autres vedettes de Hal Roach: Hawks reprennd le gag du trou d'eau de profondeur inattendue, cher à Laurel et surtout Hardy qui en est systématiquement la victime, et un gag de robe déchirée reprend un motif visuel, deux personnes qui marchent collés l'un à l'autre pour cacher une ouverture embarrassante, qui est là encore tiré de Laurel et Hardy, mais qui se trouve aussi chez Arbuckle et Keaton: on peut donc suivre Patrick Brion (Qui sait quand même de quoi il parle) lorsqu'il avance que Bringing up baby est la passerelle entre la burlesque muet et la comédie des années 40, beaucoup plus bavarde.

Dans ce film, qui nous conte les mésaventures d'un intellectuel avec une boule d'énergie, qui a un moment décide qu'elle est tombée amoureuse de celui qu'elle persécute, Hawks se débrouille pour alourdir considérablement le cahier des charges: il affute ses piques aux intellectuels, montrés du doigt pour ne pas assez profiter de la vie, et s'intéresser à des choses dont tout le monde se fout éperdument (Un brontosaure en l'occurence). Alice précise bien à Huxley: "Notre mariage sera strictement dédié à votre travail, David"... A l'opposé, Susan Vance est certes incontrôlable, mais elle est capable d'aimer. Il se moque des psychanalyste, faisant de son docteur à accent Allemand un homme sans doute très savant, mais au tic discret qui suffit à le rendre suspect de folie furieuse... Et puis il y a le douloureux motif de la masculinité, répété à l'envi dans le film, depuis le risque de se trouver dans les griffes d'Alice Swallow (Swallow, Hirondelle, mais aussi To swallow, avaler) et de s'y perdre, jusqu'à la recherche douteuse d'un os (Objet phallique, donc. D'ailleurs, ce pénis de substitution est directement asimilé à David Huxley, affublé du surnom de Bone dans plusieurs scènes par Susan) en passant par les vêtements de rechange donnés par Susan à David lorsq'elle souhaite retenir celui-ci à son domicile: un peignoir à frous-frous, qu'on imagine rose. et bien sur, lorsque Mrs Carleton-Random lui demande d'expliquer son avccoutrement, il se contente d'un "I just went gay all of a sudden", une réplique qui donne encore lieu à des débats sur ses implications; certains avançant qu'il s'agit d'une trop belle allusion à l'homosexualité pour être ignorée, d'autres qu'il ne pourrait que s'agir d'une coïncidence, le terme étant probablement peu usité sous ce sens à l'époque. Mais sur la confusion des genres, Hawks la réutilisera de façon moins exubérante dans I was a male war bride, avec un Grant encore plus impassible.

Il faut voir ce film, ne serait-ce qu'une fois par an; il est drôle, irrésistible, même, et si parfait qu'il fait partie de ces films de Hawks qui se laissent voir deux jours de suite sans aucun souci... Il faut se méfier des réputations dans l'histoire du cinéma: on dit souvent qu'il fut un échec, c'est faux. Seulement dans une Amérique ou seuls les triomphes ont droit de cité, il détonne: le film a été un modeste succès, remportant la mise, sans beaucoup plus. En tout cas, il est devenu un passage incontournable, l'un des meilleurs films des années 30, et l'un des chefs d'oeuvre de son auteur, qui tentera d'ailleurs de s'autoplagier avec le peu glorieux Man's favorite sport en 1962.

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Jeremy Fox
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Re: Howard Hawks (1896-1977)

Message par Jeremy Fox »

allen john a écrit : En tout cas, il est devenu un passage incontournable, l'un des meilleurs films des années 30, et l'un des chefs d'oeuvre de son auteur, qui tentera d'ailleurs de s'autoplagier avec le peu glorieux Man's favorite sport en 1962.
Peu glorieux, c'est vite dit ; c'est ma comédie préférée de Hawks :wink:
feb
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Re: Howard Hawks (1896-1977)

Message par feb »

Tout comme Jeremy, je prends beaucoup de plaisir devant ce Hawks et je trouve Rock Hudson idéal dans ce rôle si "Cary Grantien" :mrgreen:
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