Irwin Allen (1916-1991)

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés avant 1980.

Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky

Répondre
Avatar de l’utilisateur
Alexandre Angel
Une couille cache l'autre
Messages : 14077
Inscription : 18 mars 14, 08:41

Irwin Allen (1916-1991)

Message par Alexandre Angel »

Rick Blaine a écrit : 10 août 21, 12:45
Alexandre Angel a écrit : 10 août 21, 11:34 Oh là ..The Swarm, le film dont il n'y a rien à tirer hormis le what's the hell! de Richard Widmark.
Comment Irwin Allen a-t-il pu tomber aussi vite après le triomphe de La Tour infernale ?
Mais foin de HS
Oh je te trouve sévère.
Ou c'est toi qui ne l'es pas assez!
Je pense être assez bon public mais un minimum est requis. Ce film-là ne devrait pas me décevoir autant au vu de son budget. Les morceaux de bravoure, professionnellement photographiés par Philip Lathrop, sont insuffisants, radins, comme confinés.
Tout dans ce film s'annule faute de parti-pris. L'aspect horrifique est nul (aucun stigmate alors que les gens tués devraient être bouffis de piqures) d'autant que l'abeille (même africaine :mrgreen: ) est un insecte qui, d'une manière générale, a de nos jours toute notre sympathie, comme pilier de l'écosystème. Et l'aspect catastrophe, j'en ai parlé plus haut.
The Swarm est un film qui aurait du ravir les spectateurs de 1978 mais qui donne si peu.
Il y a bien plus de générosité, en termes d'Entertainment, dans Piranhas, de Joe Dante ou dans le peu ragoûtant (pour ce pauvre bibi) Kingdom of the Spiders que je ne veux jamais revoir.

Sans parler du bla bla à outrance, des dialogues cons, du carton final et des colères involontairement rigolotes de Richard Widmark.

Après, les deux dernières fois que j'ai essayé ce film, c'était dans sa version inutilement et invraisemblablement longue de 2h30.
Peut-être une révision de la version cinéma de 1978 (1h55) me verrait-t-elle plus complaisant.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.

m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
Avatar de l’utilisateur
Rick Blaine
Charles Foster Kane
Messages : 24143
Inscription : 4 août 10, 13:53
Last.fm
Localisation : Paris

Irwin Allen (1916 - 1991)

Message par Rick Blaine »

Je ne peux pas contrer tes arguments, je le reconnais, mais je ne sais pas, je ne me suis pas ennuyé en tout cas, j'y vois tout de même un divertissement correct. Vu la version cinéma je crois, ça a peut-être aidé. :mrgreen:
Avatar de l’utilisateur
Alexandre Angel
Une couille cache l'autre
Messages : 14077
Inscription : 18 mars 14, 08:41

Re: Les productions Irwin Allen (Lost in Space, Time Tunnel...)

Message par Alexandre Angel »

Rick Blaine a écrit : 10 août 21, 14:09 Vu la version cinéma je crois, ça a peut-être aidé. :mrgreen:
Ah, ça c'est possible!
Tu l'as vue à l'époque ?
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.

m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
Avatar de l’utilisateur
Rick Blaine
Charles Foster Kane
Messages : 24143
Inscription : 4 août 10, 13:53
Last.fm
Localisation : Paris

Re: Les productions Irwin Allen (Lost in Space, Time Tunnel...)

Message par Rick Blaine »

Alexandre Angel a écrit : 10 août 21, 14:11
Rick Blaine a écrit : 10 août 21, 14:09 Vu la version cinéma je crois, ça a peut-être aidé. :mrgreen:
Ah, ça c'est possible!
Tu l'as vue à l'époque ?
Nope, j'étais pas né !! :mrgreen:
J'ai vu ce qui est dispo en DVD

Edit : du coup la longue en fait.
O'Malley
Monteur
Messages : 4603
Inscription : 20 mai 03, 16:41

Re: Irwin Allen (1916 - 1991)

Message par O'Malley »

L'inévitable catastrophe, revu il a quelques années dans sa version longue, porte bien son titre en fait. Débilité des situations, des dialogues, mise en scène déficiente mais tout cela servi par un casting royal dont aussi un Henry Fonda dont les derniers moments dans le film sont à mon souvenir une belle tranche de rigolade.
Spoiler (cliquez pour afficher)
Image

Je me demande si finalement Irwin Allen c'est, dans le domaine du film catastrophe, seulement le doublé L'aventure du Poséidon - La Tour Infernale portés surtout par des artisans talentueux (Ronald Neame et John Guillermin) mais qui relève de l'exception.

Car pour avoir revu il y a à peu près dix ans Le dernier secret du Poséidon, c'est tout aussi navrant et ridicule que L'inévitable catastrophe (décidément, Michael Caine était dans une mauvaise passe à la fin des 70's)et Le Jour de la fin du monde n'avait pas du tout impressionné l'enfant de 10 ans qui l'avait découvert (contrairement aux coups d'éclat des années 1973 et 1974). Je doute qu'il soit meilleur que les deux films avec Caine.

Dans sa période 60's, je garde un souvenir moyen du Monde perdu qui marche sur les pas de Voyage au centre de la terre sans en retrouver la magie. En revanche, Le sous-marin de l'apocalypse m'avait bien plus impressionné mais les souvenirs sont trop lointains pour m'en faire un véritable avis.

Irwin Allen, c'est aussi surtout une série qui avait marqué mes après-midis d'été du milieu des années 80 : Voyage au fonds des mers. Mais que je ne cherche curieusement pas à revoir...

Je suis, par ailleurs, toujours curieux de découvrir, en tant que completiste, les corollaires télévisuels de ses films catastrophes: Horizons en flammes ou Déluges sur la ville d'Earl Bellamy avec son casting de vedettes et de seconds couteaux sur le retour.

Et puis il y a le cas du Retour du capitaine Nemo qui suscite en moi une curiosité malsaine car il semble s'enfoncer dans l'abyme encore plus que Le dernier secret du Poséidon

Avatar de l’utilisateur
Alexandre Angel
Une couille cache l'autre
Messages : 14077
Inscription : 18 mars 14, 08:41

Re: Irwin Allen (1916 - 1991)

Message par Alexandre Angel »

O'Malley a écrit : 10 août 21, 20:28 Irwin Allen, c'est aussi surtout une série qui avait marqué mes après-midis d'été du milieu des années 80 : Voyage au fonds des mers. Mais que je ne cherche curieusement pas à revoir...
Oui, tout comme Au coeur du temps, mais que j'ai connu plus tard que Voyage.

Voyage, moi c'est pareil que toi, mais plus tôt : vers 1972.
Je peux dire que j'ai été marqué à vie par le bruit du sonar. A l'âge de 5 ans, je connaissais l'ambiance d'un sous-marin :mrgreen:

Irwin Allen, c'est un nom, un créneau, mais pas forcément un talent.

Comme tu le dis, sa route a croisé à un moment et la mode, et les artisans requis.
L'Aventure du Poseidon se laisse voir.
The Towering Inferno est ...pas un chef d'œuvre, pas un film immense mais le meilleur film catastrophe avec Titanic, encore que ce dernier est aussi un teenage movie, un mélo et un film historique.

The Towering Inferno, je rêve de le revoir en salle, comme dernièrement Il était une fois dans l'Ouest ou Le Parrain. J'habite Belfort : je ne ferais pas le voyage sur Marseille, ni sur Lyon. Mais je le ferais sur Besançon pour le voir (L'Aventure du Poseidon aussi même si La Tour infernale est mieux)

Et peut-être même sur Paris, à condition d'en faire le prétexte d'un week-end.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.

m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
O'Malley
Monteur
Messages : 4603
Inscription : 20 mai 03, 16:41

Re: Irwin Allen (1916 - 1991)

Message par O'Malley »

Ce qu'il y a d'intéressant avec Irwin Allen, c'est que son nom est autant inscrit dans l'univers du cinéma que de la télévision, et sur deux périodes différentes abordant deux types de genre distinct.
Dans les années 60, il était un réalisateur-producteur de cinéma d'aventures/SF pour ensuite s'orienter vers la télévision, en plein boom, et sur le même type de production.
Et dans les années 70, il a lancé la mode du film catastrophe qu'il a décliné sur les deux médiums, cette fois-ci concomitamment.

J'ai bizarrement une tendresse particulière pour Irwin allen quand bien même ses productions sont loin de me satisfaire. J'ai beau trouvé L'inévitable catastrophe ou Le dernier secret du Poséidon nuls, c'est le genre de film que je pourrai regarder à nouveau un soir de fatigue (même si le premier dure plus de 2 heures et demie) et qui, le comble, pourrait me faire tenir éveillé, grâce ou plutôt à cause de l'effet de sidération provoqué par le mélange nanar/casting de folie/parfum seventies, alors qu'un grand classique de divertissement m'aurait peut-être donné le coup de grâce.

Et justement je réserve un (télé)film comme Le retour du capitaine Némo (qui à l'air de tenir une sacré couche avec son hybridation Jules Verne/Star Wars), le jour où il sera dispo, pour un soir comme cela. :mrgreen:
Martin Brody
Machino
Messages : 1070
Inscription : 13 avr. 03, 11:15
Localisation : Recherche Plus Gros Bateau, désespérément

Re: Irwin Allen (1916 - 1991)

Message par Martin Brody »

Vous oubliez l'un des seuls éléments réussis de The Swarm: la B.O. de Jerry Goldsmith qui, sans égaler ses plus belles réussites, est une partition très réussie.

J'ai aussi une grande tendresse pour Irwin Allen.
J'ai découvert L'Aventure du Poséidon à sa sortie en salles vers 13 ans, et même si ses défauts me sautent aux yeux, cela fait partie des films que je revois avec plaisir.
Enfin, ne pas oublier qu'il aura contribué à faire connaître un certain John Williams, qui fera ensuite la carrière que l'on sait.
Je me rappelle encore avoir fait le tour des disquaires à l'époque pour trouver la B.O. ... sans succès puisqu'elle ne sortira que bien des années plus tard ! :(
... et puis La Tour Infernale, vu et revu au cinéma dès sa sortie.

Et puis il y avait les séries TV... Voyage au Fond des Mers, que j'allais voir chez un voisin, car mes parents n'avaient pas la télé à l'époque, puis Au Cœur du Temps, découvert quand la série servait de bouche-trou l'après-midi pendant les vacances. Je me les suis revisionnés récemment et c'est clair que ça a beaucoup vieilli (ah, les aliens en caoutchouc! :mrgreen:), mais ça garde un certain charme.

Découvert récemment également Land of The Giants, dont je n'ai pas le souvenir d'une diffusion TV en France, mais qui possède le même ton à la fois désuet et sympathique.

Vu Le Retour du Capitaine Nemo, un joli nanar dont j'ignorais qu'il était le producteur.
We always were the curious kind
Avatar de l’utilisateur
Alexandre Angel
Une couille cache l'autre
Messages : 14077
Inscription : 18 mars 14, 08:41

Re: Irwin Allen (1916 - 1991)

Message par Alexandre Angel »

Martin Brody a écrit : 10 août 21, 22:59
J'ai aussi une grande tendresse pour Irwin Allen.
J'ai découvert L'Aventure du Poséidon à sa sortie en salles vers 13 ans! :
Ouahhh trop cool!

Etait-il interdit aux moins de 13 ans (je raffole de ce genre de détails) ?

Comment l'as tu vécu à 13 ans ( et tes contemporains dans la salle) ? De mon côté, j'avais vu l'extrait, en noir et blanc, à la Séquence du Spectateur, où le bateau se retourne et qu'un mec tombe littéralement d'une table pour s'écraser dans les lustres du plafond.

Ce rapport sans dessus dessous, avec décors à l'envers, m'avait extrêmement déstabilisé petit. J'avais ressenti l'immédiateté, la contemporanéité de ce film, à travers son extrait.
Il faut préciser au lecteur que les films, à l'époque, mettaient longtemps à passer à la télé, qu'un film dont on voyait l'extrait alors même qu'il sortait était un motif d'étrangeté absolue

Le mec qui tombe à la renverse était une image assez choquante.
Dernière modification par Alexandre Angel le 11 août 21, 11:32, modifié 1 fois.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.

m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
Avatar de l’utilisateur
Flol
smells like pee spirit
Messages : 54841
Inscription : 14 avr. 03, 11:21
Contact :

Re: Irwin Allen (1916 - 1991)

Message par Flol »

Martin Brody a écrit : 10 août 21, 22:59 Vous oubliez l'un des seuls éléments réussis de The Swarm: la B.O. de Jerry Goldsmith qui, sans égaler ses plus belles réussites, est une partition très réussie.
Ah ben merci, tu m'as éviter de le faire.
Martin Brody
Machino
Messages : 1070
Inscription : 13 avr. 03, 11:15
Localisation : Recherche Plus Gros Bateau, désespérément

Re: Irwin Allen (1916 - 1991)

Message par Martin Brody »

Alexandre Angel a écrit : 10 août 21, 23:19 Ouahhh trop cool!

Etait-il interdit aux moins de 13 ans (je raffole de ce genre de détails) ?

Comment l'as tu vécu à 13 ans ( et tes contemporains dans la salle) ? De mon côté, j'avais vu l'extrait, en noir et blanc, à la Séquence du Spectateur, où le bateau se retourne et qu'un mec tombe littéralement d'une table pour s'écraser dans les lustres du plafond.

Ce rapport sans dessus dessous, avec décors à l'envers, m'avait extrêmement déstabilisé petit. J'avais ressenti l'immédiateté, la contemporanéité de ce film, à travers son extrait.
Il faut préciser au lecteur que les films, à l'époque, mettaient longtemps à passer à la télé, qu'un film dont on voyait l'extrait alors même qu'il sortait était un motif d'étrangeté absolue

Le mec qui tombe à la renverse était une image assez choquante.
Non, il n'était pas interdit aux moins de 13 ans.
Et j'avais plutôt bien vécu la projection ! :mrgreen:
Je n'ai jamais été très impressionnable au cinéma, même très jeune, j'ai toujours eu tendance à me focaliser sur l'aspect technique (comment ont-ils réalisé ça ?), plutôt que sur la situation elle-même.

Effectivement, c'était une toute autre époque pour découvrir les films. Les B.O. étaient souvent le seul moyen de se souvenir d'un film qu'on avait vu en salle, ce qui explique pourquoi j'ai commencé à en collectionner. Et comme ma famille n'avait pas la télé à l'époque, le seul élément qui m'avait "vendu" le film, c'était une publicité pleine page avec l'affiche du film dans le quotidien qu'achetait mon père, affiche que je trouve fantastique dans son genre.

Et pour la petite histoire, le cascadeur qui fait une chute si spectaculaire, c'est Ernie Orsatti, un ex-acteur reconverti et habitué des productions Irwin Allen. On peut d'ailleurs le voir dans La Tour Infernale: c'est le pompier que Steve Mc Queen rattrape et sauve pendant la séquence de l'ascenseur extérieur.

Image
We always were the curious kind
Avatar de l’utilisateur
Addis-Abeba
Mouais
Messages : 16017
Inscription : 12 nov. 04, 23:38
Localisation : Chocolatine

Re: Irwin Allen (1916 - 1991)

Message par Addis-Abeba »

Beaucoup vu dans ma jeunesse de ses productions et réalisations, souvent avec bonheur,ca a du vieillir mais qu'importe une certaine presse l'a de toute façon démoli depuis toujours.
On ne peut pas dire que son L'histoire de l'humanité soit réjouissant, malgré son casting impressionnant: un procès mené par des entités divines au paradis, avec Vincent Price en diable qui prône la destruction de l'humanité, irrécupérable à ses yeux.
Un humain sert d'avocat de la défense( Roger Corman) et les voilà partis sur différents étapes de notre histoire: préhistoire, Pharaon, Cléopâtre, Les chevaliers de la tale ronde, Attila, Jeanne d'Arc etc ...
Où Allen ne fait ne fait qu'accumuler des images d'autres films, entrecoupés de quelques scènes avec des acteurs comme Peter Lorre, Hedy Lamarr, Virginia Mayo,les frères Marx, et autres.

Il n'y a rien à sauver, c'est lourd, indigeste, celui-ci donnera raison à ses détracteurs.
Avatar de l’utilisateur
Ann Harding
Régisseur
Messages : 3144
Inscription : 7 juin 06, 10:46
Localisation : Paname
Contact :

Re: Irwin Allen (1916 - 1991)

Message par Ann Harding »

Addis-Abeba a écrit : 9 févr. 24, 14:11 Beaucoup vu dans ma jeunesse de ses productions et réalisations, souvent avec bonheur,ca a du vieillir mais qu'importe une certaine presse l'a de toute façon démoli depuis toujours.
On ne peut pas dire que son L'histoire de l'humanité soit réjouissant, malgré son casting impressionnant: un procès mené par des entités divines au paradis, avec Vincent Price en diable qui prône la destruction de l'humanité, irrécupérable à ses yeux.
Un humain sert d'avocat de la défense( Roger Corman) et les voilà partis sur différents étapes de notre histoire: préhistoire, Pharaon, Cléopâtre, Les chevaliers de la tale ronde, Attila, Jeanne d'Arc etc ...
Où Allen ne fait ne fait qu'accumuler des images d'autres films, entrecoupés de quelques scènes avec des acteurs comme Peter Lorre, Hedy Lamarr, Virginia Mayo,les frères Marx, et autres.

Il n'y a rien à sauver, c'est lourd, indigeste, celui-ci donnera raison à ses détracteurs.
Ronald Colman. (C'est bel et bien un énorme navet.)
Avatar de l’utilisateur
Addis-Abeba
Mouais
Messages : 16017
Inscription : 12 nov. 04, 23:38
Localisation : Chocolatine

Re: Irwin Allen (1916-1991)

Message par Addis-Abeba »

Oui pardon merci Ann, énorme navet c'est bien résumé.
Répondre