Notez les films naphtas - janvier 2011
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Re: Notez les films naphtas - janvier 2011
L'Amour en fuite (François Truffaut)
The End... s'en est finit des aventures d'Antoine Doinel et de ses états d'âmes, véritable objet fétiche et de catarsisme pour un Truffaut assagit (vis à vis de ses débuts) et mélancolique.
D aucun diront qu'il aurait été mieux de laisser le jeune homme seul sur la plage avec le premier film (chose que je comprends et au quelle j'adhère un peu) et que ses déboires suivants parassent quelque peu bourgeois par rapport à la force de vie des Quatre cents coups. Bref les films suivants même de qualité moindre à l'œuvre fondatrice du cinéma de Truffaut offrent de beaux morceaux de cinéma (et de vie) et ce dernier opus tant décrié ne déroge pas à la règle. Mais disons le tout de suite, ce film ne peut se suffire à lui même. Sans l'affection ressentit pour le personnage, L'Amour en fuite est un film presque banal, sans grande originalité et ce n'est que dans l'optique de (re)voir notre héros qu'il prends tout son sens. Qui plus est avec tout ces flashbacks des épisodes précédents peuvent passer pour un novice comme brouillon. Qu'importe, quand bien même certains retour en arrière sont fastidieux et d'autres gênants quand on connait la filmographie du metteur en scène (je pense à l'incrustation d'une scène de La Nuit américaine) on ne peut cacher notre plaisir de votre Doinel courir, se rappeler (en même temps que le spectateur) et enfin aimer sa vie comme nous l'avons aimé depuis le début. Au-delà de cela, le film parvient à offrir des scènes qui indépendamment du récit touchent, comme le parcours de Colette (idée frustrante tant sa vie aurait méritée un film en lui-même), de la rencontre avec le personnage de Dorothée, ou la scène finale d'un Antoine enfin heureux. François Truffaut regretta d'avoir fait L'Amour en fuite et même s'il l'ont aime le film cela se sent. On imagine fort bien, par respect pour les trois autres scénaristes du film, la volonté pour le réalisateur d'en finir film quand bien même, l'envie ou la créativité ne sont pas au rendez-vous. Truffaut aime Doinel mais ce film-ci ne l'intéresse pas ou plus et par conséquent nous avons des séquences mal agencées ou des idées tuées dans l'œuf (le personnage de Dani). Il faut voir ce passage tv où en compagnie de Marie-France Pisier, il dit avec fermeté (et fatigue) qu'il n'y aura plus de film avec Doinel.
La filmographie de Truffaut même avec des œuvres boiteuses comme ici est l'une des plus passionnantes du cinéma français et même inégale, la vie d'Antoine Doinel au cinéma, l'une des plus belles déclaration d'amour d'un metteur en scène à un personnage (ou tout simplement à l'acteur Jean-Pierre Léaud).
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Re: Notez les films naphtas - janvier 2011
Ma main à couper que Truffaut a fait ce film pour une partie fine avec MF Pisier (créditée co-scénariste)
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Re: Notez les films naphtas - janvier 2011
On peut le comprendre !yaplusdsaisons a écrit :Ma main à couper que Truffaut a fait ce film pour une partie fine avec MF Pisier (créditée co-scénariste)
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Re: Notez les films naphtas - janvier 2011
Dame! C'est pour moi le plus exquis bas-bleu du cinéma.Kevin95 a écrit :On peut le comprendre !yaplusdsaisons a écrit :Ma main à couper que Truffaut a fait ce film pour une partie fine avec MF Pisier (créditée co-scénariste)
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Re: Notez les films naphtas - janvier 2011
Fleurs d'équinoxe, Yasujirô Ozu (1958)
Résumé sur le site du Ciné club de Caen :
Wataru Hirayama est cadre supérieur dans une entreprise. C'est un homme vieillissant qui reste profondément attaché à une organisation traditionnelle de la famille et de la société. Il se montre très réticent lorsqu'il apprend que sa fille Setsuko ne veut plus de son mariage arrangé et souhaite épouser un certain Masahiko Taniguchi, pour des raisons purement sentimentales et personnelles.
Pourtant, Setsuko soutenue par sa mère Kiyoko tient tête à son père. Elle part même s'installer avec Masahiko
Pour la première fois, l'impression de quelque chose d'un peu théorique chez Ozu, au sens de trop programmatique. L'impression que ses thèmes habituels, sur l'évolution des moeurs au Japon, la nostalgie d'un monde changeant, apparaissent moins en filigrane d'anecdotes quotidiennes, familiales qui se justifient d'elles-mêmes, qu'ils ne charpentent une démonstration. C'est ça, je crois : c'est la premoère fois que je vois Ozu franchir la frontière entre montrer et démontrer. En témoigne la séquence où le cénacle des pères attablés, après avoir évoqué les libertés que prennent leurs enfants, entonne avec douceur un vieux chant patriotique. Néanmoins, l'humour d'Ozu, entre le doux-amer et la bonhommie, élève l'ensemble avec grâce, et le postulat quand même suscite de belles images. Par exemple, à partir du moment où le mariage a lieu, on ne voit plus la fille de Wataru, mais plus que le patriarche dans son progrès vers l'acception... il y a là comme l'idée que la jeunesse libre s'absente, créé un ailleurs, tandis que la tradition demeure, centrale mais solitaire ; et lorsqu'à la toute fin Wataru se décide à rendre visite aux époux, on le quitte sur un plan de train qui s'éloigne, il doit les rattraper : à chaque génération son pays dans le pays.
Un autre aspect du film échappe au strict enjeu du conflit générationnel, et c'est là à mon avis que se trouvent ses plus belles séquences. Il s'agit des scènes où Wataru discute avec d'autres filles de l'âge de la sienne, avec lesquelles il se montre bien plus compréhensif. Ca m'a évoqué une figure des Lettres persanes de Montesquieu : cet Usbek épris de tolérance et d'ouverture au monde, qui reste en même temps un tyran domicile sans même jamais se figurer le paradoxe. Ici Wataru développe même une relation très complice avec la fille d'une connaissance de Kyoto, où on le sent, libéré de sa rigidité de circonstance, charmé par l'insolence de la jeune fille, peut-être même animé par une forme de désir ; en tout cas plein d'empathie pour les élans d'une génération dont tout le sépare. Ce sont des séquences extrêmement touchantes.
Ce film est le premier d'Ozu filmé en couleurs, peut-être que pour passer le cap il a voulu un film un peu édifiant, qui récapitule les enjeux de sa filmographie ; mais les plus grandes beautés du film se situent plutôt dans les marges de cette ambition. Quoiqu'il en soit, chaque découverte d'un film d'Ozu me confirme qu'il est l'un des cinéastes que je chéris le plus.
Résumé sur le site du Ciné club de Caen :
Wataru Hirayama est cadre supérieur dans une entreprise. C'est un homme vieillissant qui reste profondément attaché à une organisation traditionnelle de la famille et de la société. Il se montre très réticent lorsqu'il apprend que sa fille Setsuko ne veut plus de son mariage arrangé et souhaite épouser un certain Masahiko Taniguchi, pour des raisons purement sentimentales et personnelles.
Pourtant, Setsuko soutenue par sa mère Kiyoko tient tête à son père. Elle part même s'installer avec Masahiko
Pour la première fois, l'impression de quelque chose d'un peu théorique chez Ozu, au sens de trop programmatique. L'impression que ses thèmes habituels, sur l'évolution des moeurs au Japon, la nostalgie d'un monde changeant, apparaissent moins en filigrane d'anecdotes quotidiennes, familiales qui se justifient d'elles-mêmes, qu'ils ne charpentent une démonstration. C'est ça, je crois : c'est la premoère fois que je vois Ozu franchir la frontière entre montrer et démontrer. En témoigne la séquence où le cénacle des pères attablés, après avoir évoqué les libertés que prennent leurs enfants, entonne avec douceur un vieux chant patriotique. Néanmoins, l'humour d'Ozu, entre le doux-amer et la bonhommie, élève l'ensemble avec grâce, et le postulat quand même suscite de belles images. Par exemple, à partir du moment où le mariage a lieu, on ne voit plus la fille de Wataru, mais plus que le patriarche dans son progrès vers l'acception... il y a là comme l'idée que la jeunesse libre s'absente, créé un ailleurs, tandis que la tradition demeure, centrale mais solitaire ; et lorsqu'à la toute fin Wataru se décide à rendre visite aux époux, on le quitte sur un plan de train qui s'éloigne, il doit les rattraper : à chaque génération son pays dans le pays.
Un autre aspect du film échappe au strict enjeu du conflit générationnel, et c'est là à mon avis que se trouvent ses plus belles séquences. Il s'agit des scènes où Wataru discute avec d'autres filles de l'âge de la sienne, avec lesquelles il se montre bien plus compréhensif. Ca m'a évoqué une figure des Lettres persanes de Montesquieu : cet Usbek épris de tolérance et d'ouverture au monde, qui reste en même temps un tyran domicile sans même jamais se figurer le paradoxe. Ici Wataru développe même une relation très complice avec la fille d'une connaissance de Kyoto, où on le sent, libéré de sa rigidité de circonstance, charmé par l'insolence de la jeune fille, peut-être même animé par une forme de désir ; en tout cas plein d'empathie pour les élans d'une génération dont tout le sépare. Ce sont des séquences extrêmement touchantes.
Ce film est le premier d'Ozu filmé en couleurs, peut-être que pour passer le cap il a voulu un film un peu édifiant, qui récapitule les enjeux de sa filmographie ; mais les plus grandes beautés du film se situent plutôt dans les marges de cette ambition. Quoiqu'il en soit, chaque découverte d'un film d'Ozu me confirme qu'il est l'un des cinéastes que je chéris le plus.
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Re: Notez les films naphtas - janvier 2011
Stavisky... (Alain Resnais)
Stavisky... est peut être le film où la forme (si chère à Alain Resnais) est le plus en retrait, quoique...
Le film est tout de même bien étrange, comme déconnecté de tout. Plus je vois Stavisky... (film qui lors de sa découverte me laissa de marbre) plus je me surprend à être admiratif de l'esprit art déco qui plane tout le long du récit. C'est comme si les points de suspension du titre définissent la démarche de Resnais, pas un biopic, pas un Belmondo, pas un drame ni un film abstrait mais un peu de tout cela. La vie de l'escroc Stavisky m'est franchement inconnue et le film n'aide pas à la connaitre (c'est sans doute ça que l'on reprochait au film à l'époque). Resnais use de la vie de l'homme pour mieux filmer la lumière si particulière des années 30 sur fond de politique (assez complexe). A ce titre, il vaut mieux regarder Stavisky... comme une peinture claquante des années folles que pour son contexte historique. Belmondo se fond là dedans avec sa grâce habituelle et à ceux qui ont reproché à la star de faire encore ici son numéro, est-il besoin de rappeler que le vrai Stavisky était sans doute de la même veine aux vues des arnaques et du train de vie qu'il mena en son temps. On peut tout de fois tilter sur une construction bancale (c'est ce qui fait aussi son charme) et un problème de rythme flagrant. Mais le film n'en reste pas moins fascinant et mérite amplement d'être réhabilité parmi les grandes œuvres de Resnais.
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Re: Notez les films naphtas - janvier 2011
Les Lanternes Rouges
Ce film de Vasilis Georgiadis, a été détronné au festival de Cannes par "les parapluies de Cherbourg" en 1964. Avec le recul du temps il s'avère que c'est aujourd'hui lui le meilleur.
Ce film de Vasilis Georgiadis, a été détronné au festival de Cannes par "les parapluies de Cherbourg" en 1964. Avec le recul du temps il s'avère que c'est aujourd'hui lui le meilleur.
"Toutes les raisons évoquées qui t'ont paru peu convaincantes sont, pour ma part, les parties d'une remarquable richesse." Watki.
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Re: Notez les films naphtas - janvier 2011
Tout à fait en accord avec ton avis sur le film de Farrow qui est tout à fait recommandable. J'en remet d'ailleurs une couche sur la performance de Laughton, génial comme à son habitude.
Jeremy, Mizoguchi c'est définitif ou c'est une mauvaise expérience?
Compte-tenu de la particularité du cinéma de Godard, je dirais effectivement que ça vaut le coup de persister, on peut avoir vu plusieurs de ses films sans succès et puis se débloquer d'un coup. Je suis en plein déblocage et c'est un plaisir de découvrir son œuvre!Jeremy Fox a écrit :Père Jules a écrit :Moralité: ne désespérons pas
En même temps, ça peut nous arriver également de ne jamais trouver d'atomes crochus avec un cinéaste aussi réputé soit-il malgré de multiples tentatives ; et ce n'est aucunement honteux. Pour moi, c'est Polanski, Mizoguchi et Losey par exemple. Mais pour Godard, persiste
Jeremy, Mizoguchi c'est définitif ou c'est une mauvaise expérience?
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Re: Notez les films naphtas - janvier 2011
En disons 30 ans de cinéphagie, j'ai du tenter une dizaine de Mizoguchi et encore récemment avec ses titres les plus célèbres ; ce n'est pas qu'ils me déplaisent, c'est qu'ils me laissent un peu froid, au bord de l'ennui pour la plupart. Un seul bon souvenir, celui de son dernier film, La Rue de la Honte. En revanche, j'adore Ozu. Mais j'avoue ne pas bien connaître le cinéma japonais naphtaliné. Mes dernières rares découvertes ont été décevantes (La condition humaine de Kobayashi) ou au contraire jouissives (Nuages d'été de Naruse ; La harpe de Birmanie)Rick Blaine a écrit :
Jeremy, Mizoguchi c'est définitif ou c'est une mauvaise expérience?
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Re: Notez les films naphtas - janvier 2011
C'est à ça que je pensais, je découvre à peine Ozu et Mizoguchi, et de prime abord, j'avais l'impression que ces deux cinéastes allaient un peu de paire, visiblement ce n'est pas le cas donc.Jeremy Fox a écrit : En revanche, j'adore Ozu. Mais je ne connais pas très bien le cinéma japonais naphataliné.
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Re: Notez les films naphtas - janvier 2011
Ah, Mizoguchi et Ozu, c'est la carpe et le lapin. Pour ma part, j'aime beaucoup Mizoguchi et c'est Ozu qui me laisse parfois au bord de la route.Rick Blaine a écrit :C'est à ça que je pensais, je découvre à peine Ozu et Mizoguchi, et de prime abord, j'avais l'impression que ces deux cinéastes allaient un peu de paire, visiblement ce n'est pas le cas donc.Jeremy Fox a écrit : En revanche, j'adore Ozu. Mais je ne connais pas très bien le cinéma japonais naphataliné.
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Re: Notez les films naphtas - janvier 2011
J'aime beaucoup les deux, pour ma part, avec une préférence pour Ozu.
Mais l'un trace des drames intimistes, souvent filmés à la même hauteur, avec un cadrage précis qui bouge peu, et de longues respirations qui inspirent une certaine tristesse ou résignation face à l'inéluctabilité du temps qui passe et des déceptions humaines, alors que le second fait des récits plus variés, mais qui sont souvent recadrés dans le plan, et dont les mouvements de caméra sont parfois de longs travellings très composés, insistant sur les positions des uns vis à vis des autres ou de leur milieu.
Et thématiquement, là aussi, c'est assez différent. Il est clair qu'on peut aimer l'un sans aimer l'autre, distincts comme ils sont, mais ce sont deux sacrés cinéastes.
Mais l'un trace des drames intimistes, souvent filmés à la même hauteur, avec un cadrage précis qui bouge peu, et de longues respirations qui inspirent une certaine tristesse ou résignation face à l'inéluctabilité du temps qui passe et des déceptions humaines, alors que le second fait des récits plus variés, mais qui sont souvent recadrés dans le plan, et dont les mouvements de caméra sont parfois de longs travellings très composés, insistant sur les positions des uns vis à vis des autres ou de leur milieu.
Et thématiquement, là aussi, c'est assez différent. Il est clair qu'on peut aimer l'un sans aimer l'autre, distincts comme ils sont, mais ce sont deux sacrés cinéastes.
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell
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Re: Notez les films naphtas - janvier 2011
Je suis un fanatique de cinéma japonais pour ma part. Qu'il s'agisse de Ozu, Mizo, Kurosawa, Naruse, Kinoshita, Shindo ou Kobayashi.
Du coup, Jeremy, pour Mizoguchi, oui et reoui, il faut persister
Du coup, Jeremy, pour Mizoguchi, oui et reoui, il faut persister
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Re: Notez les films naphtas - janvier 2011
Mon metteur en scène japonais préféré: Kobayashindozu Gouchitawaruse. Il n'est pas connu, c'est normal les gens n'ont pas de culture.
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Re: Notez les films naphtas - janvier 2011
Mon film japonais préféré : Ibara-hime mata wa nemuri-hime. Il n'est pas connu. Normal il n'a pas été réalisé au japon.
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