Myrna Loy (1905-1993)

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés avant 1980.

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Cathy
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Re: Myrna Loy (1905-1993)

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Deux soeurs vivaient en paix, The Bachelor and The bobby soxers (1947) - Irving Reis

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Une jeune étudiante tombe follement amoureuse d'un peintre de 18 ans son ainé, et régulièrement condamné par sa soeur juge. Suite à une bagarre et à un coup de poing donné au substitut du procureur, l'homme doit devenir le "petit ami" de la jeune fille pour éviter la prison.

Irving Reis signe ici une comédie américaine typique au rythme endiablé. Le scénario est quelque part amoral, mais dès le départ, on sait que la jeune soeur va s'opposer à son ainée sur le thème, une jeune fille peut tomber d'un homme plus âgé que lui sans que celui-ci soit condamnable. C'est assez étonnant que ce côté, une jeune fille peut s'amouracher d'un homme beaucoup plus âgé soit totalement politiquement correct à l'époque, la jeune fille défendant ces hommes murs. Le film repose sur l'opposition entre les deux soeurs et cet homme séduisant célibataire, sans oublier le substitut du procureur amoureux de la juge et l'oncle de celle-ci, médecin psychologue qui va créer cette situation "amorale". Il ne faut pas non plus exclure le jeune homme amoureux de Susan la jeune fille. Même si le concept peut sembler "amoral", le film repose sur les ressorts les plus évidents de la comédie, personnages aux caractères opposés, quiproquos, situations burlesques, comment ne pas sourire devant l'apparition du preux chevalier à Susan puis Margaret, ou devant ces jeux familiaux où les hommes s'affrontent pour leurs belles ou encore devant le retour des jeunes femmes au bercail après une soirée mouvementée.

Le film repose évidemment sur un casting irreprochable, Shirley Temple est parfaite en jeune fille délurée, pleine de vie, opposée à Myrna Loy qui pour une fois ne sert pas de superbe faire valoir mais a un rôle à part entière, et puis comment ne pas succomber à Cary Grant, excellent dans ce rôle de célibataire endurci qui va se ridiculiser pour détourner la jeune fille de lui. Rudy Vallée complète parfaitement le casting en substitut du procureur, de même que Harry Davenport excellent en médecin suborneur.

A noter toutefois que les copies d'Un million clé en mains et Deux soeurs vivaient en paix proposées par les Editions Montparnasse sont plutôt grises et manquant de définition.
Julien Léonard
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Message par Julien Léonard »

Love crazy (Folie douce) - Réalisé par Jack Conway / 1941 :

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Une pure screwball produite par la MGM, dégageant beaucoup d'énergie et réalisée avec soin. Jack Conway, faiseur au service de la production, démontre un savoir-faire solide, avec un montage à vitesse variable et des plans bien conçus. Cette histoire de couple adorable, séparé par les soupçons de la femme sur un mari qu'elle croit devenu volage (alors qu'il n'en n'est rien), est savoureuse à plus d'un titre. D'abord, parce que le scénario fonce sans arrêt, séparant le couple à l'aide de séquences comiques d'anthologie. Ensuite, parce que l'ambiance est bon enfant et que l'on se régale des nombreux dialogues à sens voilés, des quiproquos multiples, et des rebondissements inattendus. Ensuite, parce que Myrna Loy est toujours aussi belle, aussi fraîche, aussi élégante, aussi à côté de la plaque, bref... je l'adore ! Enfin, parce que William Powell est littéralement déchaîné, portant le film tout entier sur ses nerfs, décuplant ses talents comiques à l'infini, apportant une énergie que Cary Grant pourrait (presque) lui envier (je plaisante, mais à peine). Ce type est décidément génial, ose tout et se jette à corps perdu dans n'importe quoi, et cela sans jamais se départir de son élégance. Le voir se déguiser en femme acariâtre (symbole d'un homme joyeusement au bout du rouleau et qui ne sait même plus ce qu'il doit faire) vaut de l'or. En prime, Jack Carson (second rôle régulier de l'époque : Gentleman Jim, The strawberry blonde, La fiancé contre remboursement...) vient y mettre son grain de sel, ce qui n'est jamais pour déplaire au spectateur.

Un chef-d'oeuvre ? Non. Mais une excellente comédie, idéale pour occuper un moment de déprime et repartir dans la gouaille et la bonne humeur. Le couple Loy / Powell reste formidable, procédant d'une fusion rare, parmi les plus beaux couples de l'histoire d'Hollywood.
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Cathy
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Re: Myrna Loy (1905-1993)

Message par Cathy »

Heureuse de voir que tu as apprécié également ce film. C'est dommage que cette comédie soit si peu connue, car effectivement William Powell est aussi bon que Cary Grant dans le genre, il est même peut-être plus juste sans forcer (mais bon j'adore toujours autant Cary Grant ;) ! )
A noter que l'intégrale de janvier de TCM est à nouveau consacrée à Myrna Loy, attendons donc la liste, même si je suppose qu'il y aura beaucoup de rediffusions !
Julien Léonard
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Re: Myrna Loy (1905-1993)

Message par Julien Léonard »

William Powell... Je commence vraiment à penser que cet acteur est l'un des meilleurs dans son genre. Quant à Myrna Loy, je ne sais pas. Elle est magique, voilà tout. Dès que je la vois dans un film, je suis content. :wink:

Merci encore pour tes conseils en tout cas !
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Cathy
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Re: Myrna Loy (1905-1993)

Message par Cathy »

Une femme qui tombe du ciel, Petticoat Fever (1936) - George Fitzmaurice

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Dans le labrador, en plein hiver, un anglais opérateur radio recueille un couple d'anglais dont l'avion a été obligé de se poser sur la banquise. Il tombe immédiatement amoureux de la jeune femme

George Fitzmaurice réalise ici une screwball comédie type avec ces trois personnages que tout oppose, le jeune anglais qui vit seul avec un eskimo et se distrait en faisant des parties de dames via sa radio avec les navires coincés dans la banquise, cet anglais fiancé et qui de suite dresse un portrait peu flatteur de l'hote à sa fiancée, et naturellement cette fiancée qui va très vite être séduite par le premier. Le tout a naturellement été filmé en studio, mais cela n'est pas sans charme. Le film repose sur les situations comiques et insolites, comme ce diner "romantique", la confrontation systématique entre les deux hommes, le second essayant de faire passerr le premier pour une espèce de fou, les scènes entre la jeune femme et son hôte qui cherche par tous les moyens à la séduire, ou entre la jeune femme et son fiancé dont elle essaie de réfréner les ardeurs "haineuses". Le film n'est pas dénué de certains clichés "primaires" sur les eskimos, mais le film fonctionne plutôt bien, le rythme est soutenu. Il faut dire que Robert Montgomery, Myrna Loy et Reginald Owen sont tous les trois excellents dans leurs rôles. Pas un chef d'oeuvre du genre, mais une comédie sympathique !
Julien Léonard
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Re: Myrna Loy (1905-1993)

Message par Julien Léonard »

Une femme qui tombe du ciel (Petticoat Fever) - Réalisé par George Fitzmaurice / 1936 :

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Alors là, pour le coup, pas grand-chose à en dire. Histoire mollassonne et pas vraiment drôle, film au final un brin longuet et où l'ennui fait diversion. Le postulat de base est tellement rachitique que l'on se demande bien où la MGM voulait en venir en produisant cela. Le fait est que l'ensemble aurait pu être drôle et faire l'objet d'un "huis-clos séduction" amusant, mais très vite le soufflet retombe (dès les premières minutes). Aucun rythme, ou presque, une mise en scène plate comme pas permis (on est très très loin d'un Van Dyke ou d'un Conway dans la maîtrise de la comédie) et un racisme régulier vis-à-vis des inuits qui ne serait pas trop gênant s'il n'était pas aussi appuyé de part et d'autre. Même si à cette époque il arrivait à Hollywood de faire parfois preuve de racisme (cf le traitement des noirs ou des mexicains à l'écran), c'était en règle générale assez discret, alors qu'ici le gag est si boursouflé qu'il en est imbuvable : les filles qui dansent de façon grotesque, les remarques concernant une sexualité déviante, la certitude d'acheter l'inuit avec des breloques (bon d'accord, sur ce dernier point, c'est plutôt voulu)... Ce n'est pas la fête de ce côté là. Reste alors l'excellent Robert Montgomery, bien seul à vrai dire, pour se démener afin de faire tourner un peu la boutique. Son énergie capitalise énormément l'attention du spectateur qui, une fois n'est pas coutume, ne peut même pas se réjouir de retrouver Myrna Loy tellement celle-ci est absente. Elle ne parvient pas du tout à réinscrire dans ce couple la magie qu'elle peut créer dans son couple avec l'inoubliable William Powell. La sauce ne prend pas, tout simplement. Quelques rebondissements plus ou moins réussis permettent de sourire et de suivre tout cela tranquillement, mais c'est assez maigre sur 80 minutes. Tout à fait dispensable.
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Ann Harding
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Re: Myrna Loy (1905-1993)

Message par Ann Harding »

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Evelyn Prentice (Le témoin imprévu, 1934) de William K. Howard avec Myrna Loy, William Powell, Una Merkel, Rosalind Russell et Isabel Jewell

John Prentice (W. Powell), un célèbre avocat pénaliste, ne voit pratiquement jamais sa femme Evelyn (M. Loy) et leur fille. Son agenda surbooké comprend aussi des visites intimes avec une des ses clientes (R. Russell). Pendant ce temps, un certain Lawrence Kennard commence à s'intéresser à Evelyn...

Après avoir revu The Power and The Glory (1933, W.K. Howard), j'étais curieuse de voir ce film que Howard a réalisé pour la MGM. Suite au succès du Thin Man, la MGM met en chantier rapidement ce mélodrame avec les deux vedettes principales. Nous sommes encore dans les derniers mois de la période Pre-Code, ce qui permet une certaine liberté de ton et d'aborder franchement le sujet de l'adultère. William Powell est un avocat qui n'hésite pas à avoir des aventures extra-conjugales, en particulier avec une cliente fort aguicheuse jouée par une jeune Rosalind Russell. De son côté, son épouse (Myrna Loy) ignore totalement son infidélité. Elle reste une épouse fidèle qui prend soin de leur fille. Lorsqu'un maître-chanteur commence à lui faire des avances, elle résiste. Mais, elle lui a malheureusement addressé des lettres qui peuvent être compromettantes. Désespérée, elle se présente chez lui pour les récupérer. Il refuse et elle tire sur lui. Le film a basculé du mélodrame au mystère policier. Le film se conclut sur un coup de théâtre que je ne révèlerai pas. En tous cas, le film montre bien le 'double standard' qui affecte les relations entre hommes et femmes. Powell est absous de ses péchés extra-conjugaux sans coup férir alors que la pauvre Myrna, elle, se retrouve dans une situation inextricable pour avoir voulu protéger sa réputation (qui reste sans tâche). Le film est bien mené, bien que dépourvu de surprises. J'ai été assez étonnée par le grand nombre de faux raccords dans ce film MGM. Les positions de Myrna Loy sont souvent décalées entre les gros plans et le plans moyens, comme si le film avait été réalisé en vitesse. Les seconds rôles apportent un peu de fantaisie, en particulier Una Merkel en amie de Loy, à la langue bien pendue. C'est un film MGM avec ses décors ultra-chics et ses costumes très haute couture pour les dames. Au total, un film sympathique qui se laisse voir grâce à Loy et Powell.
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Re: Myrna Loy (1905-1993)

Message par riqueuniee »

Un film que je viens de visionner (enregistrement TCM). J'ai été surprise par la liberté de ton du début, notamment en ce qui concerne le rôle de la meilleure amie (ecellente Una Merkel), pensant qu'il avait été produit après l'entrée en vigueur du code Hays.
Un film qui commence comme une comédie légère, mais qui devient à la moitié quasiment un mélodrame. On a quasiment deux films de tonalité différente : comédie sur l'adultère, puis drame criminel et film de procès.
A propos de la différence de traitement hommes-femmes, Mirna Loy -enfin son personnage...- y participe. Elle déclare à un moment que la situation (le soupçon d'adultère) serait bien plus compromettante pour elle (ou quelque chose d'équivalent). Heureusement, en ce qui concerne les femmes, le film se rattrape un peu à la fin dans la scène de procès, même si ça reste assez conventionnel dans la forme.
L'interprétation est excellente. Mirna Loy est parfaite, aussi bien dans le registre léger du début que dans le ton mélodramatique de la fin. Una Merkel est très bien dans le rôle de la meilleure amie à la langue bien pendue. Et l'actrice qui joue le rôle de Jessica Wilson (l'accusée) est très émouvante lorsqu'elle fait son témoignage.
Un découverte très agréable.
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Ann Harding
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Re: Myrna Loy (1905-1993)

Message par Ann Harding »

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The Truth About Youth (1930, William A. Seiter) avec Loretta Young, David Manners, Conway Tearle et Myrna Loy

Richard Carewe (C. Tearle) attend avec impatience l'arrivée de Richard Dane (D. Manners) qui est son pupille qu'il a élevé comme son fils. Il espère que celui-ci épousera Phyllis (L. Young), la fille de sa gouvernante. Mais, le jeune Richard poursuit la troublante Kara (M. Loy), une chanteuse de music-hall...

Cette petite production First National a un casting absolument épatant avec deux jeunes premières qui n'ont pas encore obtenus leurs galons de vedette. Loretta Young, qui n'a que 17 ans, est la jeune ingénue face à Myrna Loy qui n'est pas encore la parfaite épouse MGM, mais une dangereuse vamp. Du côté masculin, on reconnait une ancienne star du muet, Conway Tearle qui avait été le partenaire de Mary Pickford dans Stella Maris (1918, M. Neilan) ou de Norma Talmadge dans Ashes of Vengeance (1923, F. Lloyd). Il est maitenant vieillissant et fait face à la nouvelle génération d'acteurs tel que le canadien David Manners. Ce film sent malheureusement son origine théâtrale avec une série de monologues bien peu attrayants au début du film. Mais, grâce aux deux dames qui tiennent les rôles-types qu'on leur confiait à l'époque: l'ingénue pour Young et la vamp calculatrice pour Loy, on regarde avec amusement ce film qui est dirigé avec une certaine platitude par William A. Seiter qui avait fait bien mieux durant la période muette, voir Skinner's Dress Suit (1926). Pourtant, le scénario avait des possibilités en particulier avec le personnage de Young qui semblait destinée à tomber dans les bras de Manners après son erreur d'aiguillage dans la direction de la croqueuse d'hommes jouée par Myrna Loy. En fait, on réalise rapidement qu'elle ne s'intéresse guère à Manners, mais a le béguin pour le grisonnant Conway Tearle. La confrontation entre les deux femmes fait partie des meilleurs moments du film, surtout lorsque Loy fait remarquer à Young qu'elle a elle aussi des 'courbes dangereuses'. Il faut noter que cette même année Loy et Young était également à l'affiche d'une excellente comédie (bien supérieure à ce petit opus de Seiter) The Devil To Pay! (1930, G. Fitzmaurice) qui mériterait d'être en DVD.
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Ann Harding
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Re: Myrna Loy (1905-1993)

Message par Ann Harding »

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The Squall (1929) de Alexander Korda avec Myrna Loy, Loretta Young, Richard Tucker et Alice Joyce

La tzigane Nubi (M. Loy) est adoptée par la famille Lajos. Elle va se révéler être une créature nuisible et machiavélique...

Ce film est une pure curiosité pour les amateurs du début du parlant et les fans de Myrna Loy. A cette époque-là, elle était systématiquement distribuée dans des rôles de vamp exotique. Elle est ici une tzigane, à l'accent particulièrement hilarant, qui séduit avec méthode tous les hommes de la ferme des Lajos. Elle s'attaque d'abord à l'employé Peter qui va oublier immédiatement sa promise Lena (Zasu Pitts). Puis, elle flirte avec le fils de famille qui est prêt à tout pour obtenir ses faveurs, oubliant en chemin sa fiancée (L. Young). Il ira jusqu'à voler Lena. Et finalement, même le maître de maison succombe à la sulfureuse Nubi. Tout cela prête surtout à sourire. Nous sommes presque dans le domaine du 'camp'. Le film est trop long à 104 minutes. Mais, on s'amuse bien en voyant Myrna avec une coiffure particulièrement ebouriffée se tortiller face à tous ces hommes dévorés de concupiscence. Autre curiosité de ce film : il est équipé d'une bande-son enregistrée en direct pendant le tournage. Il est assez rare de voir un film du début du parlant qui a une musique continue, qui parfois malheureusement a tendance à couvrir les voix. Une curiosité à réserver aux fans de Myrna.
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Re: Myrna Loy (1905-1993)

Message par feb »

Je me le mets de coté, merci Ann :oops:
allen john
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Re: Myrna Loy (1905-1993)

Message par allen john »

Ann Harding a écrit :
The Squall (1929) de Alexander Korda avec Myrna Loy, Loretta Young, Richard Tucker et Alice Joyce

Une curiosité à réserver aux fans de Myrna.
Oui, car nous, les fans de Myrna Loy, sommes tous "dévorés de concupiscence". :mrgreen:
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Ann Harding
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Re: Myrna Loy (1905-1993)

Message par Ann Harding »

Attention! Nubi vous regarde.... :mrgreen:
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Filiba
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Re: Myrna Loy (1905-1993)

Message par Filiba »

C'est ça l'esprit de noel, merci Ann
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Supfiction
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Re: Myrna Loy (1905-1993)

Message par Supfiction »

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Un Myrna Loy que j'aimerai bien voir, esperons qu'il sorte en Trésors Warner prochainement.
Un an avant le formidable Broadway Bill - le film qui m'avait fait tomber amoureux de la belle - (dispo dans un coffret Capra zone 2), le couple Warner Baxter/Myrna Loy était à l'affiche du film Penthouse.

Un extrait dispo sur youtube :
http://www.youtube.com/watch?v=6jwsVh4WTgI

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Dernière modification par Supfiction le 16 avr. 13, 19:03, modifié 1 fois.
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