Jacques Rozier

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés avant 1980.

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homerwell
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Re: Jacques Rozier

Message par homerwell »

Délirant, j'ai lu cette échange hier soir (bon, j'avais peut être un petit coup de Maucaillou dans le nez !) et je n'ai pas pris la remarque de Frank Einstein pour ironique, ainsi non plus celle de phylute pour un reproche, comme quoi...
En tout cas, j'ai mon coffret Rozier mais il doit rester sous cellophane jusqu'au matin du 25 décembre. Un supplice !
phylute
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Re: Jacques Rozier

Message par phylute »

:lol:

En tout cas, ce sera une belle rencontre, j'envie les parisiens :P
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cinephage
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Re: Jacques Rozier

Message par cinephage »

phylute a écrit ::lol:

En tout cas, ce sera une belle rencontre, j'envie les parisiens :P
En effet, moi aussi. Ils doivent regorger d'anecdotes sympa à raconter, les deux lascars... J'aime énormément Maine océan, mais il faudrait que je revoie Adieu Philippine, qui m'avait gentiment ennuyé (disons que l'aspect "documentaire" sur un état d'esprit, une époque, m'avait intéressé, mais que ça manquait d'intrigue à mon gout. Mais c'est un souvenir lointain, un second visionnage m'éclairerait sans doute plus).
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell
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Re: Jacques Rozier

Message par phylute »

cinephage a écrit :
phylute a écrit ::lol:

En tout cas, ce sera une belle rencontre, j'envie les parisiens :P
En effet, moi aussi. Ils doivent regorger d'anecdotes sympa à raconter, les deux lascars... J'aime énormément Maine océan, mais il faudrait que je revoie Adieu Philippine, qui m'avait gentiment ennuyé (disons que l'aspect "documentaire" sur un état d'esprit, une époque, m'avait intéressé, mais que ça manquait d'intrigue à mon gout. Mais c'est un souvenir lointain, un second visionnage m'éclairerait sans doute plus).
Ou alors [mode auto-promo ON]la lecture de la chronique de DVDClassik :fiou: [mode auto-promo OFF)
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Re: Jacques Rozier

Message par Frank Einstein »

phylute a écrit :Ah ben non, j'avais vraiment l'impression que tu te payais la poire de Rozier et Menez (l'effet :mrgreen: en fin de phrase peut être) :oops:
Bon, et bien je reprend, pof pof :

Content de voir un tel enthousiasme :D
Ouf ! :wink:

J'espère qu'on sera nombreux pour leur faire honneur. C'est si rare de pouvoir rencontrer Rozier et Menez que ça ne rate pas.
Vive le cinéma et ceux qui le font. :D
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Re: Jacques Rozier

Message par monfilm »

Du coté d'Orouet - 1973

J'ai découvert Rozier avec Les naufragés de l'île de la tortue. Une expérience aussi forte qu'avec Le plein de super d'Alain Cavalier. Je fais volontairement le parallèle entre Cavalier et Rozier car je leur trouve pas mal de points communs.

Avec Du coté d'Orouet je ne savais pas du tout dans quoi je m'embarquais. Il a fallu un petit moment d'ailleurs pour que j'accepte l'invitation. Et puis je n'ai pas vu le temps passer. Le film a beau prendre son temps, un peu trop d'ailleurs sur quelques scènes, à la fin de la projection je me sens juste bien. Ces années 70 je ne les ai connu qu'enfant. Peut-être que j'idéalise mais quand j'y retourne à travers le regard de Rozier j'y retrouve cette douce nonchalance. Point de cynisme omniprésent, pas d'internet et autres écrans qui envahissent tellement nos vies d'aujourd'hui, pas de contexte anxiogène et paranoiaque qui nous fait nous méfier de tout et de tout le monde au 1er mot de travers.

Du coté d'Orouet est une nouvelle parenthèse enchantée. De ce cinéma où beaucoup diront qu'il ne se passe rien alors qu'à travers une succession d'instants l'intime de ces personnages nous apparait comme l'encre de jus de citron qui se révèle sous la flamme. Une candeur et une naiveté qui font du bien tout en nous disant des choses fortes sur l'être humain. Des amours d'adolescence qui ressurgissent à travers ces trois filles et un coup de coeur particulier pour Caroline Cartier que je trouvais déjà craquante dans Les naufragés de l'île de la tortue.

Bref un grand merci à cet éditeur Potemkine d'avoir édité ces films. Et à travers ce forum lui adresser également mon souhait de voir un jour un coffret Alain Cavalier avec des films comme: Le plein de super, Martin et Léa, Un étrange voyage. 3 films qui tiennent la comparaison avec ce formidable coffret Rozier.
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Re: Jacques Rozier

Message par NotBillyTheKid »

Vu "Adieu Philippine" hier. c'est un film magnifique et admirable.
dommage que pour une grande partie du film (la corse), l'encodage du DVD laisse vraiment à désirer, il y a de gros pixels. Je viens de vérifier, vous l'aviez noté aussi dans votre chronique. C'est du travail de cochon !
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Re: Jacques Rozier

Message par Anorya »

Adieu Philippine (Rozier - 1962)

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Redécouverte de ce (grand) petit bout de Nouvelle Vague commencé en 59 mais finit qu'en 62. La grande liberté de ton du film étonne encore pas mal, son humour (dans la première partie) puis sa douce mélancolie (dans la seconde partie) sont plus que perceptibles. Plaisir d'un film "juste" dans ses acteurs et les sentiments qu'ils transportent en plus de très beaux plans et d'un remarquable portrait de la jeunesse d'alors. Si Jean Claude Armini (qui interprète Michel) m'était parfois agaçant (il joue au garçon blasé alors qu'il va partir en Algérie comme de nombreux jeunes mais j'aurais aimé qu'on le voit plus se "fissurer" vers la fin. Il reste juste agacé par le comportement des deux filles et le leur fait savoir dans la voiture en pleine nuit); les deux jeunes filles (Stefania Sabatini et Yveline Céry) m'ont semblé vraiment pratiquement porter tout le restant du film sur leurs épaules. Il faut voir tous les plans que leur consacre minutieusement Rozier pour capter chacune de leurs émotions : Liliane qui danse au bar la nuit, la même qui de sa tente observe sans dire un mot son amie Juliette rendre visite à Michel qui dort dehors en plein air (d'où sa bouille desespérée et déprimée vers la fin) ou bien ce tendre geste silencieux dans la voiture face à un Michel énervé.
Très beau film.

4/6.
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Alligator
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Re: Jacques Rozier

Message par Alligator »

Maine-Océan (Jacques Rozier, 1986) :

http://alligatographe.blogspot.com/2009 ... ocean.html

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Quelle souffrance et quelle tristesse! J'étais tellement persuadé que j'allais adhérer à cet univers, à cet humour! Chou blanc! Nib! Je me suis terriblement emmerdé. Ma femme n'a pas tenu le coup. Me voilà avec un coffret sur les bras que je vais mettre un temps fou à terminer... si jamais j'y parviens, je débouche une bouteille de champagne. J'ai, semble-t-il, pris la mauvaise entrée. Je vais retenter l'escalade par la face courts métrages de Rozier. Je penche également pour ensuite coûte que coûte goûter à Adieu Philippine. Et si ces deux tentatives échouent, je crois que j'abandonnerai. Mais revenons à ce cas-là.

J'ai bien compris que Rozier a voulu jouer sur les difficultés de communication : langues ou accent différents, jargons professionnels incompréhensibles, dialogues sous-entendus, moqueries complices, signes lointains, partitions musicales, etc. Je vois bien également que Rozier veut démontrer que les relations humaines, affectives, peuvent dépasser largement ces cadres, ces outils langagiers usuels et "fonctionnent" malgré tout.

Mais j'étais tellement convaincu que j'allais assister à une comédie et qu'au moins j'allais sourire que je suis resté comme interdit devant l'absence d'humour ou, comme il convient mieux de dire, devant "un humour que je ne perçois pas". Maine Océan est une comédie? La passivité du rythme, habituellement un élément constitutif de la mécanique comique, a complètement endormi mon implication première. La répétitivité des gags (un bien grand mot soudain) d'incommunicabilité m'a lassé rapidement. Afonso et ses baragouinages m'ont considérablement agacé.

Surtout à quoi bon? Je ne comprends pas pourquoi on doit passer par cette mise en scène, ces longueurs, ces "absences", ces improvisations oiseuses, inintelligibles, cet emmerdement obligatoire pour traiter des difficultés à communiquer. Je suis certain que l'on peut discourir sur ce thème, jouer sur les mêmes contrastes, les mêmes confrontations, les mêmes dysfonctionnements relationnels avec du rythme, de la vie.

Pour faire bref : je n'ai pas compris le film, je suis resté sur le bord du quai. Les quelques jolis plans de plages à la toute fin ne changent rien à l'affaire et ne font pas oublier le manque de soin visuel, d'ambition esthétique du reste du film.
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Re: Jacques Rozier

Message par Helward »

Alligator a écrit :J'ai, semble-t-il, pris la mauvaise entrée. Je vais retenter l'escalade par la face courts métrages de Rozier. Je penche également pour ensuite coûte que coûte goûter à Adieu Philippine.
Si tu as acheté le coffret dvd et si tu ne l'as pas déjà vu, essaies par les Naufragés de l'île de la tortue qui m'avait beaucoup plu alors que, comme toi, je n'avais pas du tout accroché à Maine-Océan (pareil, pas un sourire, rien... sauf à la fin, fou-rire, Bernard Menez, coi, dans sa barque).
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Re: Jacques Rozier

Message par Alligator »

Rentrée des classes (Jacques Rozier, 1956) :

http://alligatographe.blogspot.com/2009 ... asses.html

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Après la violente frustration éprouvée lors du visionnage de Maine Océan, ma découverte de Rozier s'était inscrite sous le sceau de la douleur et j'attendais une bouée de sauvetage. Je cherchais des indices, des éléments contraires sur lesquels me raccrocher afin de distinguer ne serait-ce qu'un seul aspect et rattraper le wagon Rozier que je voyais partir avec amertume vers des contrées lointaines, amen. Et ce petit métrage avec son humble vingtaine de minutes ont particulièrement comblé ces attentes. Ce fut un réel plaisir cinématographique, pour les yeux comme pour le coeur.

A travers les yeux d'un enfant, c'est à une magnifique balade que Rozier nous convie, à travers les ruisseaux, les ruelles d'un petit village provençal et de ses alentours. Un enfant part à la recherche au fil de l'eau de son cartable qu'il a eu la mauvaise idée de balancer à la flotte sur le chemin de l'école.

La description naturaliste et romantique, rousseauiste bien plus encore, qu'on nous offre est de toute beauté. Cigales, vents dans les branches et clapoutis du ruisseau bercent nos oreilles pendant que les ombres et lumières que fait un soleil radieux sur les arbres et les murets de cette superbe campagne calinent nos rétines. Ces évocations champêtres et buissonières ne sont pas sans caresser les souvenirs d'enfance de tout un chacun. Dans cet enfant, il y a forcément ue part de notre mémoire, celle des rêves, des petits plaisirs, celui d'être plongé dans la nature et dans une sorte d'aventure exotique. Le trajet presque onirique que se paye le bambin, je l'ai fait moi même. Remonter un cours d'eau en pataugeant, en nageant entre les grenouilles, les gardons, les serpents et les libellules fait partie de ces moments d'une rare intensité que l'on se remémore facilement avec bonheur. Joli portrait d'enfant qui filme ces échappées libres qu'on volait à l'école, aux parents, à l'ordre, au monde des adultes.

Le passage du film sur l'école est moins enthousiasmant même s'il ne manque pas de charme. Je pense à cette scène où le petit vieux qui a mal aidé son petit-fils à faire ses devoirs se retrouve "puni" parmi les élèves à écouter la leçon du maître. Cette deuxième partie du film est très proche de l'esprit Zéro de conduite de Vigo.

Je retiendrai surtout le très joli travail sur la photographie : les premières images montrant les enfants allant à l'école et les étroites ruelles du matin qui s'égaillent m'ont fait penser à l'école humaniste de Doisneau, Ronis ou Boubat. Alors que la photographie dans les scènes en pleine nature, beaucoup plus éclairée avec des lumièrres crues et vives nous fait plutôt songer à la peinture impressionniste.

Vraiment magnifique.
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Re: Jacques Rozier

Message par Alligator »

Blue jeans (Jacques Rozier, 1958) :

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http://alligatographe.blogspot.com/2009 ... jeans.html
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Blue jeans est le deuxième court de Rozier que je vois, le troisième film et confirme la très bonne impression laissée par Rentrée des classes. Après avoir suivi un enfant durant un périple champêtre qui lui évitait l'école, on continue de suivre les pas de personnages. Ils sont deux cette fois, deux adolescents en vacances à Cannes qui parcourent plages et ruelles à la recherche de la gueuse. Avant 1968 -le film date de 1958- draguer était un parcours du combattant. Qu'il était dur de baiser à cette époque-là, mes aïeux! Prenant rateau sur rateau, les filles étaient toutes revêches, c'est presqu'un miracle pour eux de tomber sur deux jeunes filles qui acceptent de baisser pavillon. On les suit donc dans leurs techniques d'approche. Tout juste réussissent-ils à se bécoter sur la plage ou sous les portes cochères. Mais en aucun cas, ils ne les convainquent de passer à l'acte tant espéré. Vivement la pilule!

Rozier les suit, presqu'en éthologue, sans les juger. Son regard compatissant peut-être, aimable en tout cas, est souriant, attentif. Une voix-off donne un peu de vie et de personnalisation ; une certaine forme d'empathie s'installe alors. Parfois l'éloignement de la caméra donne au film un air documentaire, un surcroit de réalisme, très "nouvelle vague" bien entendu.

Ce petit film n'est jamais ennuyeux, évoluant au bon rythme. La réalisation est très bien conduite, vive, jamais routinière ou systématique. Les angles varient. Les travellings aussi. C'est très agréable à suivre. Les deux personnages m'ont rappellé forcément de vieux souvenirs. Doit y avoir une certaine nostalgie, la galère du slip n'a pas d'âge. Mais je pense tout de même que c'est plus facile de nos jours. Le sexe est moins sale qu'auparavant. Du moins l'asperge.
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Re: Jacques Rozier

Message par Major Dundee »

Alligator a écrit :Blue jeans (Jacques Rozier, 1958) :
Avant 1968 -le film date de 1958- draguer était un parcours du combattant. Qu'il était dur de baiser à cette époque-là, mes aïeux!
A qui le dis-tu :)
Alligator a écrit : Ce petit film n'est jamais ennuyeux, évoluant au bon rythme. La réalisation est très bien conduite, vive, jamais routinière ou systématique. Les angles varient. Les travellings aussi. C'est très agréable à suivre. Les deux personnages m'ont rappellé forcément de vieux souvenirs. Doit y avoir une certaine nostalgie, la galère du slip n'a pas d'âge. Mais je pense tout de même que c'est plus facile de nos jours. Le sexe est moins sale qu'auparavant. Du moins l'asperge.
J'ai vu ce court métrage lors de sa sortie, il passait avant le fameux entracte dans les cinémas de banlieue et accompagnait le film "OK Mambo" de John Berry. Je me souviens avoir été complètement conquis et j'ai passé mon temps à entrainer mes copains "Allez voir OK Mambo, y'a un p'tit film super en première partie. :wink:
Ensuite j'ai vu "Adieu Philippine" qui m'avait bien plus à l'époque mais que j'ai un peu de mal à revoir maintenant.
Puis j'ai été de déception en déception, je ne rentre plus du tout dans son univers.
Maine Océan j'ai souffert énormément pour tenir jusqu'au bout. Yves Afonso dans ce film, tu as raison est plus qu'insupportable.
Bref j'ai l'impression d'un grand gâchis et j'ai du mal à comprendre pourquoi Rozier bénéficie de ce prestige :oops:
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Re: Jacques Rozier

Message par Nomorereasons »

Major Dundee a écrit : j'ai du mal à comprendre pourquoi Rozier bénéficie de ce prestige :oops:
Le smiley qui rougit c'est le bouclier de Major Dundee !
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Re: Jacques Rozier

Message par Major Dundee »

yaplusdsaisons a écrit :
Major Dundee a écrit : j'ai du mal à comprendre pourquoi Rozier bénéficie de ce prestige :oops:
Le smiley qui rougit c'est le bouclier de Major Dundee !
T'a tout compris :oops: :oops: :oops:
Charles Boyer (faisant la cour) à Michèle Morgan dans Maxime.

- Ah, si j'avais trente ans de moins !
- J'aurais cinq ans... Ce serait du joli !


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