RIP Jean-Jacques Beineix
Même si c'était loin d'être l'un de mes cinéastes favoris, j'ai encore beaucoup de tendresse pour
Diva,
La lune dans le caniveau et même
IP5. Je reste plus dubitatif devant
37°2 le matin, que j'adorais quand j'étais plus jeune, au début des années 1990, mais qui m'a déçu lors d'un revisionnage (même si le film présente encore de belles séquences, éparses). Plus trop de souvenirs en revanche pour
Roselyne et les lions (excepté Isabelle Pasco) et
Mortel transfert, peut-être à revoir à l'ocassion.