J'ai appris la nouvelle il y a quelques minutes en passant sur DVDToile.
Rien de bien original à dire. C'était une belle pépée (notamment dans les années 50)
et j'ai bon nombre de ses films dans ma collec.
Paris Palace Hôtel (1956) est un de mes préférés.
Godspeed à elle.
Dernière modification par Commissaire Juve le 23 juil. 21, 08:17, modifié 1 fois.
La vie de l'Homme oscille comme un pendule entre la douleur et l'ennui...
John Holden a écrit : ↑21 juil. 21, 08:20
Dingue comme le cinéma français classique continue de susciter une presque indifférence, même ici !
Ici je pense que les vacances d'été jouent un rôle.
Pour le reste, tu n'es pas le seul à le penser.
BB et moi c'est pour la vie.
J'y vois comme un signe. Il se trouve que le premier (vrai) film de patrimoine sur lequel je suis amené à bosser, après des semaines de formation intensive, est un film de la fin des années 50 avec...Brigitte Bardot.
EDIT : je viens de me rendre compte que tu avais posté le 20 !
Je n'avais rien vu. Et rien entendu nulle part !
Faut croire que je faisais du trekking dans les montagnes du Spitzberg !
La vie de l'Homme oscille comme un pendule entre la douleur et l'ennui...
Mais qu'est-ce que vient faire le COVID (votre virus, sous-entendu qu'il n'existe que dans les médias?) et le vaccin (dont j'imagine assez aisément qu'elle est contre vu la teneur de ses propos) dans ce dans un tel courrier ? Je trouve cela extrêmement déplacé, et ça ne la situe pas à une meilleure place que ceux qu'elle critique.
Lohmann a écrit : ↑23 juil. 21, 10:30
Mais qu'est-ce que vient faire le COVID (votre virus, sous-entendu qu'il n'existe que dans les médias?) et le vaccin (dont j'imagine assez aisément qu'elle est contre vu la teneur de ses propos) dans ce dans un tel courrier ? Je trouve cela extrêmement déplacé, et ça ne la situe pas à une meilleure place que ceux qu'elle critique.
En même temps, on connaît ses accointances politiques
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain
"Bonjour, ça ne peut pas durer..."
Il avait réinventé les blagues en micro-trottoir, mais il avait aussi joué au cinéma, notamment dans Baby Blood (un étonnant film d'horreur à la française), L'Arnacœur ou Chili con carne avec la belle Valentina Vargas (la fille du Nom de la Rose), et prêté sa voix pour La Classe américaine...
Jean-Yves Lambert alias Jean-Yves Lafesse est mort à 64 ans.
Même si je me suis toujours un peu posé des questions sur l'authenticité de ses canulars téléphoniques, celui-ci reste quand même un de ses plus poilants :
Je l'ai fréquenté il y a une trentaine d'années. C'était un grand anxieux qui doutait beaucoup. Pensée pour sa famille. Et oui, "reste en paix" Jean-Yves.
Demi-Lune a écrit : ↑14 oct. 21, 15:27Ah par contre je suis affirmatif, monfilm = primus.
Je suis également Julien, Soleilvert, Nicolas Brulebois, Riqueunee, Boris le hachoir, Francis Moury, Yap, Bob Harris, Sergius Karamzin ... et tous les "invités" pas assez bien pour vous
Commissaire Juve a écrit : ↑24 juil. 21, 09:18
Je viens de découvrir que Jacqueline Sassard était décédée le 17 juillet à l'âge de 81 ans !
Carrière courte (sur une dizaine d'années). Je me rappelle d'elle dans Été violent (Valerio Zurlini 1959), Accident (Joseph Losey, 1967) Les Biches (Claude Chabrol, 1968). RIP
Je me souviens un peu d'elle, et de son nom qui me parle. Eté violent est trop lointain pour moi et je n'ai toujours pas vu Accident.
Mais quel visage délicat!
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
m. Envoyé Spécial à Cannes pour l'Echo Républicain