Avis que je partage sans peine ! C'est... horrible quand on y songe vraiment !Watkinssien a écrit :+1, une oeuvre hilarante et acérée, plus amère que réellement drôle, mais indéniablement maîtrisée.someone1600 a écrit :Excellent film et tellement drole. Du grand Wilder sans aucun doute.
Embrasse moi, idiot ! (Billy Wilder - 1964)
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Re: Embrasse moi idiot ! (Billy Wilder)
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Re: Embrasse moi, idiot ! (Billy Wilder, 1964)
Bon, up tardif ( désolé Slyounet )
Embrasse-moi idiot ! ( Kiss me, stupid - 1964 )
Wilder est décidement un bon scénariste mais un metteur en scène inégal.
Son script est brillant dans sa capacité à détourner les stéréotypes de la comédie de l'american way of life moralisatrice ( les auteurs trouvent le succès, l' "hotesse" de bar rentre dans le droit chemin, le mari retrouve sa femme etc... ) pour en faire une charge d'un cynisme féroce ( le couple trompera leur conjoint, l'argent conduit aux actes les plus avilissant ) renforcé par le fait que Dean Martin joue son propre rôle pour une image peu reluisante du show business. Mais je suis beaucoup plus réservé sur l'humour même de son film ( malgré quelques dialogues brillants ) et surtout son rythme bien trop lent qui peine à condenser les situations.
125 minutes pour une comédie c'est toujours 30 de trop surtout qu'on pourrait tailler son encombre dans la mise en place laborieuse de l'intrigue.
Sa direction d'acteur manque également de subtilité car si Dean Martin et surtout Kim Novak sont excellent, Ray Walston n'est ni l'aise ni crédible un instant dans le registre de la comédie. Son cabotinage ne remplace ni le tempo ni la précision. Il fonctionne un peu plus dans le drame mais je pense qu'il demeure une erreur de casting ( Peter Sellers aurait du jouer son rôle ).
Fort heureusement la mise en scène est très maitrisée que ce soit dans son découpage, sa photo, son sens de l'espace, de la profondeur de champ et son scope. Ca demerure souvent un régal pour les yeux.
Les passages les plus réussis sont celle qui sont d'ailleurs le moins comique mais bien le plus touchant ( Kim Novak tombant amoureuse de son "mari" quand il joue au Piano ; Walston fermant les portes qui donne sur le mannequin de sa femme ).
Ca reste tout de même un bon film mais encore une fois je regrette que cette satyre du puritanisme américain manque de légereté et de finesse ( Le village s'appelle Climax - soit Orgasme en Français ; les sous-entendus des dialogues ne le sont pratiquement pas ; les personnages ne sont pas dessinés mais gribouillés au stabilo boss à commencer par le rôle de l'épouse que j'ai du mal à comprendre ).
Quand aux éclats de rire annoncés, c'est resté à l'esquisse de simple sourires. :'(
Celà dit, Embrasse-moi idiot n'a surement pas été fait dans le seul but de faire rire, il n'empêche....
Embrasse-moi idiot ! ( Kiss me, stupid - 1964 )
Wilder est décidement un bon scénariste mais un metteur en scène inégal.
Son script est brillant dans sa capacité à détourner les stéréotypes de la comédie de l'american way of life moralisatrice ( les auteurs trouvent le succès, l' "hotesse" de bar rentre dans le droit chemin, le mari retrouve sa femme etc... ) pour en faire une charge d'un cynisme féroce ( le couple trompera leur conjoint, l'argent conduit aux actes les plus avilissant ) renforcé par le fait que Dean Martin joue son propre rôle pour une image peu reluisante du show business. Mais je suis beaucoup plus réservé sur l'humour même de son film ( malgré quelques dialogues brillants ) et surtout son rythme bien trop lent qui peine à condenser les situations.
125 minutes pour une comédie c'est toujours 30 de trop surtout qu'on pourrait tailler son encombre dans la mise en place laborieuse de l'intrigue.
Sa direction d'acteur manque également de subtilité car si Dean Martin et surtout Kim Novak sont excellent, Ray Walston n'est ni l'aise ni crédible un instant dans le registre de la comédie. Son cabotinage ne remplace ni le tempo ni la précision. Il fonctionne un peu plus dans le drame mais je pense qu'il demeure une erreur de casting ( Peter Sellers aurait du jouer son rôle ).
Fort heureusement la mise en scène est très maitrisée que ce soit dans son découpage, sa photo, son sens de l'espace, de la profondeur de champ et son scope. Ca demerure souvent un régal pour les yeux.
Les passages les plus réussis sont celle qui sont d'ailleurs le moins comique mais bien le plus touchant ( Kim Novak tombant amoureuse de son "mari" quand il joue au Piano ; Walston fermant les portes qui donne sur le mannequin de sa femme ).
Ca reste tout de même un bon film mais encore une fois je regrette que cette satyre du puritanisme américain manque de légereté et de finesse ( Le village s'appelle Climax - soit Orgasme en Français ; les sous-entendus des dialogues ne le sont pratiquement pas ; les personnages ne sont pas dessinés mais gribouillés au stabilo boss à commencer par le rôle de l'épouse que j'ai du mal à comprendre ).
Quand aux éclats de rire annoncés, c'est resté à l'esquisse de simple sourires. :'(
Celà dit, Embrasse-moi idiot n'a surement pas été fait dans le seul but de faire rire, il n'empêche....
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Re: Embrasse moi, idiot ! (Billy Wilder, 1964)
bruce randylan a écrit :
Sa direction d'acteur manque également de subtilité car si Dean Martin et surtout Kim Novak sont excellents,
Je trouve effectivement Miss Novak particulièrement, comment dire, euh... convaincante en tant qu'incarnation des désirs et fantasmes masculins.
En un mot, très séduisante !
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Re: Embrasse moi, idiot ! (Billy Wilder - 1964)
Embrasse moi, idiot ! (Billy Wilder - 1964)
Revisionnage d'un Wilder que je n'avais pas apprécié la première fois. Bien sûr mon dvd était un peu bousillé (une petite saloperie sur la face de lecture me faisait sauter le lecteur pendant une bonne demi-heure en plein milieu du film ! ) et l'humour avait partiellement fait mouche (et puis, voir un début et une fin de film sans le milieu c'est toujours un peu gênant). Revoir le film est donc un total éblouissement tant pour ses petits détails (le bar "le nombril", la ville de "Jouy" --traduction moyenne de "Climax" comme le révèle Bruce Randylan plus haut mais pour moi ça passe--, les pulls de grands musiciens qu'arbore Ray Walston --il a souvent son pull Beethoven mais on remarque dans son armoire des pulls d'autres compositeurs ! --.....), que pour ses répliques ("Pardon, je cherche le nombril de ma femme." ) ou l'ironie cinglante de la charge de Wilder envers une amérique très puritaine tout en sachant alterner avec ce même regard tendre sur ses personnages jusqu'a la phrase finale, rédemption amusée bourrée d'émotion (un couple se reforme finalement en essayant de ne plus faire d'erreurs même si le mari est lent à la détente) qui justifie le titre et emmène le film sur des sommets. Brillant, drôle, sévère, méchant, subtil. Du Wilder quoi.
Dommage cependant que Walston cabotine un peu face à une Félicia Farr adorable (madame Jack Lemmon à la ville ! ), un Dean Martin qui s'auto-parodie avec humour et une Kim Novak géniale et que vers le milieu, on ressente un peu de longueurs.
5/6.
Revisionnage d'un Wilder que je n'avais pas apprécié la première fois. Bien sûr mon dvd était un peu bousillé (une petite saloperie sur la face de lecture me faisait sauter le lecteur pendant une bonne demi-heure en plein milieu du film ! ) et l'humour avait partiellement fait mouche (et puis, voir un début et une fin de film sans le milieu c'est toujours un peu gênant). Revoir le film est donc un total éblouissement tant pour ses petits détails (le bar "le nombril", la ville de "Jouy" --traduction moyenne de "Climax" comme le révèle Bruce Randylan plus haut mais pour moi ça passe--, les pulls de grands musiciens qu'arbore Ray Walston --il a souvent son pull Beethoven mais on remarque dans son armoire des pulls d'autres compositeurs ! --.....), que pour ses répliques ("Pardon, je cherche le nombril de ma femme." ) ou l'ironie cinglante de la charge de Wilder envers une amérique très puritaine tout en sachant alterner avec ce même regard tendre sur ses personnages jusqu'a la phrase finale, rédemption amusée bourrée d'émotion (un couple se reforme finalement en essayant de ne plus faire d'erreurs même si le mari est lent à la détente) qui justifie le titre et emmène le film sur des sommets. Brillant, drôle, sévère, méchant, subtil. Du Wilder quoi.
Dommage cependant que Walston cabotine un peu face à une Félicia Farr adorable (madame Jack Lemmon à la ville ! ), un Dean Martin qui s'auto-parodie avec humour et une Kim Novak géniale et que vers le milieu, on ressente un peu de longueurs.
5/6.
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Re: Embrasse moi, idiot ! (Billy Wilder - 1964)
La critique du film aujourd'hui sur le site avec le test du DVD ; celui du BR devrait suivre
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Re: Embrasse moi, idiot ! (Billy Wilder - 1964)
merci à Julien pour sa critique du film.
L'incursion de Kim Novak dans l'univers de Billy Wilder permit d'apprécier sa performace comique, genre dans lequel elle s'est moins distinguée, mais dont les prestations restent savoureuses.
Malheureusement, le film se retrouvant la cible des ligues catholiques, l'actrice se réfugia plusieurs mois chez elle, isolée volontairement, ayant vécu cette experience comme un échec.
Billy Wilder n'osa plus faire appel à elle par la suite: il avait pourtant apprécié la performance de l'actrice et gardait un bon souvenir de cette collaboration.
L'incursion de Kim Novak dans l'univers de Billy Wilder permit d'apprécier sa performace comique, genre dans lequel elle s'est moins distinguée, mais dont les prestations restent savoureuses.
Malheureusement, le film se retrouvant la cible des ligues catholiques, l'actrice se réfugia plusieurs mois chez elle, isolée volontairement, ayant vécu cette experience comme un échec.
Billy Wilder n'osa plus faire appel à elle par la suite: il avait pourtant apprécié la performance de l'actrice et gardait un bon souvenir de cette collaboration.
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Re: Embrasse moi, idiot ! (Billy Wilder - 1964)
Pour moi le dernier grand Wilder. J'avais apprécié à la première vision, j'ai adoré aux suivantes. Dean Martin y est bien sûr pour bcp ("j'adorais Dean Martin, pour moi c'était le type le plus drôle d'Hollywood" dira Wilder). Lui qui a toujours été brillant dans l'auto parodie la pousse ici à son maximum avec un grand délice. Kim Novak est une prostituée enrhumée est à la fois drôle et troublante. Belle performance aussi de Felicia Farr. Et si je continue à croire que la présence de Jack Lemmon aurait pu mener le film encore plus haut (car ce qui manque peut-être dans le film, c'est l'absence d'un personnage sympathique), je trouve que Ray Watson est certainement mieux à sa place que ne l'aurait été Peter Sellers. Avec l'effondrement progressif du code de censure, Wilder laisse entrevoir son goût pour le vulgaire qu'il avait jusqu'alors été obligé de réfréner (ce qui mena à tant de suggestions délicieuses qui firent son succès et son talent), cela reste cependant tout à fait drôle et l'humour ne possède pas encore la lourdeur ennuyeuse qui caractérisera la fin de sa carrière. Bref, une belle réussite.
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Re: Embrasse moi, idiot ! (Billy Wilder - 1964)
Je ne suis pas sûr que cette phrase convienne à La vie privée de Sherlock Holmes" ou à "Avanti"!Wicker a écrit : l'humour ne possède pas encore la lourdeur ennuyeuse qui caractérisera la fin de sa carrière.
Peut être "Front Page" mais j'ai récemment revu "His Girl Friday" et j'y ai vu les mêmes défauts.
"Buddy, Buddy" je n'ai pas vu et je ne sais donc pas.
Tout ça pour dire que la fin de carrière lourdingue de Wilder reste à prouver.
Je trouve qu' "Embrasse-moi idiot" est un film un peu surestimé en France et que "La Grande combine" lui est supérieur.
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Re: Embrasse moi, idiot ! (Billy Wilder - 1964)
Vous oubliez aussi Fedora, l'avant-dernier film de Wilder qui est certes parfois inégal mais qui résonne comme une sorte de film-testament, une sorte de variation sur Sunset boulevard...
De toute façon, qu'on aime ou pas Fedora, ce film mélancolique n'a absolument rien de lourdingue...
De toute façon, qu'on aime ou pas Fedora, ce film mélancolique n'a absolument rien de lourdingue...
"Vouloir le bonheur, c’est déjà un peu le bonheur"
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Re: Embrasse moi, idiot ! (Billy Wilder - 1964)
Embrasse moi idiot ! est une comédie géniale pour ma part, je m'amuse comme un fou a chaque fois que je le vois.
Top 20 actuel
http://www.shompy.com/someone1600/l10080_frfr.html
Mes dvd
http://someone1600.dvdaf.com/
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Re: Embrasse moi, idiot ! (Billy Wilder - 1964)
Intrigué par la divergence des opinions sur le film, je l'ai enfin regardé (il me reste au moins 6 Wilder à découvrir , alors que jusqu'à présent, je n'ai pas été déçu par ses films) - et j'ai adoré cette critique de l'Amérique profonde et incidemment du show-business, optimiste avec deux portraits de femme vraiment intéressants et nuancés et sa fin. Une remise en cause de la conjugalité sans pour autant la dénoncer (il suffit de voir comment Polly rêve de cette vie aux antipodes de la sienne et comment elle défend Mr Orville J. Spooner devant sa femme) dont on ne s'étonne pas qu'elle aie détonné en 1964 ...
Sinon, je rejoins Filiba
Mais je me sépare de Filiba dans son jugement sur "Front page"
Sinon, je rejoins Filiba
Bien que n'ayant pas vu "Avanti!", je ne peux qu'approuver sur "La vie privée de Sherlock Holmes". "La grande combine" est aussi une grande réussite, très acerbe dans sa critique de la cupidité mais avec une vraie foi dans l'humanité - exactement ce qui rend les deux personnages féminins attachants dans Embrasse moi, idiot !Filiba a écrit :Je ne suis pas sûr que cette phrase convienne à La vie privée de Sherlock Holmes" ou à "Avanti"!Wicker a écrit : l'humour ne possède pas encore la lourdeur ennuyeuse qui caractérisera la fin de sa carrière.
Mais je me sépare de Filiba dans son jugement sur "Front page"
Je trouve le Wilder vraiment supérieur au film de Hawks (et pourtant j'adore les screwball comedies), ne serait-ce que dans le choix de changer le sexe du journaliste (Wilder évidemment - si cela est plus conforme aux représentations traditionnelles de l'homme tellement absorbé par son travail qu'il en néglige sa vie privée, cela introduit une ambiguïté intéressante sur le vrai couple du film, Matthau-Lemmon ), ce film a bien plus de subtilités, malgré le rythme (hystérique) conservé. Je serais d'ailleurs bien curieux de voir l'original de Milestone. HSFiliba a écrit :Peut être "Front Page" mais j'ai récemment revu "His Girl Friday" et j'y ai vu les mêmes défauts.
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Re: Embrasse moi, idiot ! (Billy Wilder - 1964)
En fait, c'est Hawks qui avait changé le sexe du journaliste. Que ce soit dans la pièce originelle ou dans les différentes adaptations/transpositions, on a toujours affaire à un duo masculin.
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Re: Embrasse moi, idiot ! (Billy Wilder - 1964)
Au temps pour moi , raison de plus de se pencher sur le film de Milestone, voire sur le film plus récent.riqueuniee a écrit :En fait, c'est Hawks qui avait changé le sexe du journaliste. Que ce soit dans la pièce originelle ou dans les différentes adaptations/transpositions, on a toujours affaire à un duo masculin.
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Re: Embrasse moi, idiot ! (Billy Wilder - 1964)
C'est d'ailleurs dans une critique de la Dame du vendredi que je l'ai appris.
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Re: Embrasse moi, idiot ! (Billy Wilder - 1964)
Pour être plus précis : je trouve le wilder supérieur au Hawks mais.. aucun des deux ne me fait rire.Vieux parasite a écrit :
Mais je me sépare de Filiba dans son jugement sur "Front page"
Je trouve le Wilder vraiment supérieur au film de Hawks (et pourtant j'adore les screwball comedies), ne serait-ce que dans le choix de changer le sexe du journaliste (Wilder évidemment - si cela est plus conforme aux représentations traditionnelles de l'homme tellement absorbé par son travail qu'il en néglige sa vie privée, cela introduit une ambiguïté intéressante sur le vrai couple du film, Matthau-Lemmon ), ce film a bien plus de subtilités, malgré le rythme (hystérique) conservé. Je serais d'ailleurs bien curieux de voir l'original de Milestone. HSFiliba a écrit :Peut être "Front Page" mais j'ai récemment revu "His Girl Friday" et j'y ai vu les mêmes défauts.
Je vais suivre la voie de Vieux Parasite et les revoir tous les deux.