Quo Vadis (Mervyn LeRoy - 1951)

[frédéric]

Ce mot n'a de réel signification dans le monde du DVD mais à ce jour Quo Vadis est programmé pour mai 2008 !

J'ai reçu le planning des sorties de Warner pour mai et il n'y est pas inclu.

[Jipi]

Quo Vadis Vu sur TCM ce matin, une bonne chaine abordable 2.50 Euros mois avec vraiment de bons films et notamment un Georges Sanders immense et statique presque vieux beau logé dans un costume gris impeccable le tout dans un film presque inconnu se passant en égypte de nos jours dont le titre contient Pharaon, je ne me souviens plus du reste.

Ah si "Les bijoux du Pharaon" je crois

[Lord Henry]

La meilleure façon de voir ce film c'est encore de regarder Atlantis, The Lost Continent, puisqu'on y retrouve la séquence de l'incendie.

[Frank Bannister]

Après quelques reports, le film est prévu pour le 26 novembre prochain en DVD et Blu-ray.

[francesco]

Il était déjà dans les bacs du MK2 ce mercredi ... n'est-ce pas Cathy ?

[Boubakar]

Il était déjà dans les bacs du MK2 ce mercredi ... n'est-ce pas Cathy ?

celui-là et La conquête de l'ouest sont aussi dispos de par chez moi, depuis Samedi.
J'ai l'impression que, de plus en plus, les magasins ne respectent plus les dates de sortie en les vendant 4 à 5 jours plus tôt.

[Cathy]

Il était déjà dans les bacs du MK2 ce mercredi ... n'est-ce pas Cathy ?

Je confirme !

[blaisdell]

J'avais vu ce film très jeune dans les années 1980 sur France 3. J'en gardais un joli souvenir.

Et puis je l'ai revu sur Canal + en 2002.
Et là ce fut la grosse déception.

Le scénario n'offre que peu d'intérêt alors qu'il traite quand même d'une période passionnante de l'histoire romaine. Entre une romance mièvre et un esprit bondieusard qui fait sourire, on a heureusement quelques beaux moments: l'incendie de Rome et les scénes où les chrétiens sont offerts aux lions

Mais sur 3 heures de film, c'est peu.
Robert Taylor est ici bien terne. Heureusement que Peter Ustinov, qui campe un Néron tout à fait réjouissant, est présent.
Au niveau de la mise en scène , on peut constater que LeRoy n'est ni Kubrick ("Spartacus"), Mankiewicz ("Cléopâtre"), Nick Ray ("Le roi des rois") ni surtout Anthony Mann ("La chute de l'empire romain"). Restent quelques belles scénes de foules.

Dix ans plus tard, Richard Fleischer réalisera un remarquable "Barabbas" qui est un peu l'inverse de "Quo Vadis": pas d'exaltation de la foi chrétienne, une mise en images superbes, un acteur principal très bon.

[Watkinssien]

Au niveau de la mise en scène , on peut constater que LeRoy n'est ni Kubrick ("Spartacus"), Mankiewicz ("Cléopâtre"), Nick Ray ("Le roi des rois") ni surtout Anthony Mann ("La chute de l'empire romain"). Restent quelques belles scénes de foules.

Surtout que Mervyn LeRoy est Mervyn LeRoy, un grand cinéaste, totalement éclectique et encore une fois sous-estimé (la preuve) !

La mise en scène de Quo Vadis ? se base sur les gravures et autres témoignages visuels de l'époque retranscrite, et sachant cela il faut noter une incroyable précision du cadre, jamais dénué de sens, du découpage technique, traitements de réalisation que l'on doit uniquement à LeRoy lui-même.

[Jeremy Fox]

Au niveau de la mise en scène , on peut constater que LeRoy n'est ni Kubrick ("Spartacus"), Mankiewicz ("Cléopâtre"), Nick Ray ("Le roi des rois") ni surtout Anthony Mann ("La chute de l'empire romain"). Restent quelques belles scénes de foules.

Surtout que Mervyn LeRoy est Mervyn LeRoy, un grand cinéaste, totalement éclectique et encore une fois sous-estimé (la preuve) !

La mise en scène de Quo Vadis ? se base sur les gravures et autres témoignages visuels de l'époque retranscrite, et sachant cela il faut noter une incroyable précision du cadre, jamais dénué de sens, du découpage technique, traitements de réalisation que l'on doit uniquement à LeRoy lui-même.

Je ne peux qu'approuver. Même si sa filmographie comporte quelques ratages et très mauvais films (mais qui n'en a pas commis), l'ensemble de sa carrière est d'un très haut niveau et contient même quelques chefs-d'oeuvre qui reposent en partie sur sa mise en scène. Quo Vadis est un des péplums que je préfère.

[joe-ernst]

Je ne peux qu'approuver. Même si sa filmographie comporte quelques ratages et très mauvais films (mais qui n'en a pas commis), l'ensemble de sa carrière est d'un très haut niveau et contient même quelques chefs-d'oeuvre qui reposent en partie sur sa mise en scène. Quo Vadis est un des péplums que je préfère.

Et moi de même. On peut trouver ça un peu bondieusard avec ces chrétiens fanatiques (et qui étaient loin d'être innocents), mais on peut aussi se marrer avec Néron et Pétrone. De plus on trouve tous les ingrédients des péplums traditionnels, des amours contrariées, des jeux du cirque, des catastrophes, de l'érotisme, du sadisme, et j'en passe... Et puis comment résister à :

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[Jeremy Fox]

Et un superbe Technicolor

[blaisdell]

Au niveau de la mise en scène , on peut constater que LeRoy n'est ni Kubrick ("Spartacus"), Mankiewicz ("Cléopâtre"), Nick Ray ("Le roi des rois") ni surtout Anthony Mann ("La chute de l'empire romain"). Restent quelques belles scénes de foules.

Surtout que Mervyn LeRoy est Mervyn LeRoy, un grand cinéaste, totalement éclectique et encore une fois sous-estimé (la preuve) !

Je ne sous-estimais surtout pas la filmographie de Mervyn LeRoy dans son ensemble mais juste ce Quo Vadis que j'aurais voulu adorer.
Il en va de même pour le Ben-Hur de William Wyler qui m'a beaucoup déçu lors d'une récente projection alors que j'aime passionnément L'OBSEDE ou LES PLUS ANNEES ANNEES DE NOTRE VIE.

[Ann Harding]

Restent quelques belles scénes de foules.

En fait, la scène de l'incendie de Rome a été tournée par Anthony Mann!
Je suis tout à fait d'accord avec Blaisdell en ce qui concerne Quo Vadis et M. LeRoy.

[Watkinssien]

Restent quelques belles scénes de foules.

En fait, la scène de l'incendie de Rome a été tournée par Anthony Mann!
Je suis tout à fait d'accord avec Blaisdell en ce qui concerne Quo Vadis et M. LeRoy.

Oui, je me souviens que sur le topic sur Mervyn LeRoy, on avait débattu sur les talents du sieur !
Il est sûr que sa carrière prolifique ne joue pas en sa faveur, mais les incontestables réussites qui la parsèment sont des œuvres remarquables, plus que cela même !