Attend, moi aussi les titres que tu cites me laissent de marbre mais dans les 'classqiues du genre', j'adore sans restriction aucune des films comme Règlements de comptes de Lang, Le port de la drogue de Fuller, Assurance sur la mort de Wilder ou Les forbans de la nuit de Dassin pour n'en citer que quelques uns Les as tu vu ceux là ?O'Malley a écrit :Moi aussi c'est rare que je m'enthousiasme pour un film noir. tous les grands films dits "classiques du genre" c'ead les Laura, Gilda, Un si doux visage, Les tueurs...ne m'emballent pas plus plus que ça... ...
Et tournent les chevaux de bois (Robert Montgomery - 1947)
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- Jeremy Fox
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Réglemets de comptes, vu il y a deux ans environ, m'a laissé de marbre. le scénario est à mes yeux assez commun (une histoire de corruption comme une autre) et l'intérêt du film provient de l'interprétation de Lee Marvin, jubilatoire en brute.Jeremy Fox a écrit :
Attend, moi aussi les titres que tu cites me laissent de marbre mais dans les 'classqiues du genre', j'adore sans restriction aucune des films comme Règlements de comptes de Lang, Le port de la drogue de Fuller, Assurance sur la mort de Wilder ou Les forbans de la nuit de Dassin pour n'en citer que quelques uns Les as tu vu ceux là ?
Les forbans de la nuit m'a interessé sans plus(pourtant je l'ai vu deux fois). Je trouvais que Richard Widmark en faisait trop et je n'ai pas trop accroché à son personnage de looser qui essaye de s'en sortir à tout prix, même s'il est dans la m... jusqu'au cou. J'ai préféré bizaremment son remake par Irwin Winkler avec De Niro.
Le port de la drogue: vu mais très tard le soir et me suis endormi devant même si le film m'avait paru interessant. donc je me prononce pas. a revoir dans de meilleurs conditions.
Pas vu Assurance sur la mort.
donc, tu vois d'habitude, j'ai un peu de mal avec le film noir...
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Hérésie Le film de Winkler est pour moi un sombre navet. Oui apparemment tu as vraiment du mal avec le genre Persévères, il y a quand même un sacré nombre de perlesO'Malley a écrit :
Les forbans de la nuit m'a interessé sans plus(pourtant je l'ai vu deux fois). Je trouvais que Richard Widmark en faisait trop et je n'ai pas trop accroché à son personnage de looser qui essaye de s'en sortir à tout prix, même s'il est dans la m... jusqu'au cou. J'ai préféré bizaremment son remake par Irwin Winkler avec De Niro.
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Le film de Winckler, je l'avais vu à sa sortie en vidéo donc ça remonte à pas mal de temps... donc je dirais plutôt: j'avais bien aimé à l'époque. Sinon, la découverte de perles méconnus au récent cycle du cinéma de minuit m'a réconcilié avec le genre, comme je l'ai dis plus tôt... mais pas par l'entremise de films auxquels je m'attendais...Jeremy Fox a écrit :Hérésie Le film de Winkler est pour moi un sombre navet. Oui apparemment tu as vraiment du mal avec le genre Persévères, il y a quand même un sacré nombre de perlesO'Malley a écrit :
Les forbans de la nuit m'a interessé sans plus(pourtant je l'ai vu deux fois). Je trouvais que Richard Widmark en faisait trop et je n'ai pas trop accroché à son personnage de looser qui essaye de s'en sortir à tout prix, même s'il est dans la m... jusqu'au cou. J'ai préféré bizaremment son remake par Irwin Winkler avec De Niro.
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Re: Et tournent les chevaux de bois (R. Montgomery - 1947)
J’ai revu hier ce soir en famille ce film decouvert il y bien longtemps, tres probablement au cinema de minuit dans un cycle film noir.
Le film m’avait marqué car tout le long, on a pas la moindre idee de la facon dont l’intrigue vas avancer. Qualité rare pour des films noirs, plutot stéréotypés dans leur intrigue, typologie de personnage, relations.
Tout la premiere moitié est vraiment remarquable, tant dans le deroulé, deroutant, que le cadre si bien rendu d’un modeste ville mexicaine. Il y a un côté vrai dans ce qui arrive au personnage:
La relation avec la jeune fille est vraiment etrange aussi.
Bref un film noir vraiment atypique, assez unique, loin des « cannons » du genre, plus proche d’un Goodis que que de Hammet, vraiment a découvrir.
Le film m’avait marqué car tout le long, on a pas la moindre idee de la facon dont l’intrigue vas avancer. Qualité rare pour des films noirs, plutot stéréotypés dans leur intrigue, typologie de personnage, relations.
Tout la premiere moitié est vraiment remarquable, tant dans le deroulé, deroutant, que le cadre si bien rendu d’un modeste ville mexicaine. Il y a un côté vrai dans ce qui arrive au personnage:
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La relation avec la jeune fille est vraiment etrange aussi.
Bref un film noir vraiment atypique, assez unique, loin des « cannons » du genre, plus proche d’un Goodis que que de Hammet, vraiment a découvrir.
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Re: Et tournent les chevaux de bois (R. Montgomery - 1947)
Oui, une réussite toujours intéressante, démontrant le talent de conteur et d'acteur de Montgomery, décidément une personnalité assez singulière dans le paysage hollywoodien de l'époque.
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