James Bond 007 : Sujet général

Rubrique consacrée au cinéma et aux films tournés avant 1980.

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Nomorereasons
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Re: James Bond 007 : Sujet général

Message par Nomorereasons »

Ha, j'en étais sûr, elle avait des collants! J'avais peur que ce soit un effet de luminosité...


Major: merci.
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Dunn
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Re: James Bond 007 : Sujet général

Message par Dunn »

Major Tom a écrit :Image
Yep yap, je t'attends...
Dunn a écrit :C'est Get carter l'original avec Caine.?
...
Oui...
Je crois qu'en 2000 elle ne ressemblait déjà plus beaucoup à la photo...
J'arrive smiley qui bave
merci major pour ce moment de bonheur :mrgreen:
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Major Tom
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Re: James Bond 007 : Sujet général

Message par Major Tom »

yaplusdsaisons a écrit :Ha, j'en étais sûr, elle avait des collants!
Comment ça a pu t'échapper, à toi?!
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Dunn
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Re: James Bond 007 : Sujet général

Message par Dunn »

Pas à moi , j'ai hésité avec des bas mais vu l'époque, collant of course !enfin surtout avec des bas on aurait vu l'entre cuisse avec sa culotte :oops:
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Re: James Bond 007 : Sujet général

Message par riqueuniee »

Des bas, ça serait étonnant : on aurait vu le porte-jarretelles ...
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Dunn
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Re: James Bond 007 : Sujet général

Message par Dunn »

voilà :)
zut alors qu'elle n'est pas mis des bas :D
Nomorereasons
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Re: James Bond 007 : Sujet général

Message par Nomorereasons »

Major Tom a écrit :
yaplusdsaisons a écrit :Ha, j'en étais sûr, elle avait des collants!
Comment ça a pu t'échapper, à toi?!
A l'époque la plupart des collants étaient ignobles, il y avait un attirail pas possible de coutures et de renforcements au niveau du bassin, des fois même carrément à mi-cuisse, ça ne s'imposait vraiment que pour la mini-jupe. C'est pour ça que j'ai hésité. La morale de l'histoire c'est qu'il ne faut jamais désespérer.
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Re: James Bond 007 : Sujet général

Message par riqueuniee »

Pas si ignobles que ça . Et en tout cas bien plus faciles à porter que des bas et des jarretelles. (on n'avait pas encore inventé le bas auto-fixant)
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Re: James Bond 007 : Sujet général

Message par Dunn »

C'est vrai! Cela dit les bas auto fixant est une belle invention :oops:
Nomorereasons
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Re: James Bond 007 : Sujet général

Message par Nomorereasons »

riqueuniee a écrit :Pas si ignobles que ça .

Quand je regarde les pubs d'époque dans la collection de Elle des années 70 de ma mère, ils avaient quand même une allure furieusement orthopédiques. Même les petits vieux de ma maison de retraite sont plus sexys en bas de contention.
Et en tout cas bien plus faciles à porter que des bas et des jarretelles. (on n'avait pas encore inventé le bas auto-fixant)
Le bas auto-fixant est une abomination, avec la jarretière caoutchouc on est carrément dans le domaine du prothésiste...
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Re: James Bond 007 : Sujet général

Message par R. Underwood »

yaplusdsaisons a écrit :Le bas auto-fixant est une abomination, avec la jarretière caoutchouc on est carrément dans le domaine du prothésiste...
la bande auto fixante procure un leger aspect Cronenbergien qui ne laisse pas insensibles certains. Et puis, ce qu'on perd en vintage, on le gagne en fraicheur technologique...histoire de rester sur la thematique du gadget Bondien :wink:
"Never before such a golden ease..."
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Re: James Bond 007 : Sujet général

Message par Nomorereasons »

R. Underwood a écrit :
yaplusdsaisons a écrit :Le bas auto-fixant est une abomination, avec la jarretière caoutchouc on est carrément dans le domaine du prothésiste...
la bande auto fixante procure un leger aspect Cronenbergien qui ne laisse pas insensibles certains. Et puis, ce qu'on perd en vintage, on le gagne en fraicheur technologique...histoire de rester sur la thematique du gadget Bondien :wink:
Cronenberg ou pas, la prochaine que surprends avec ça je l'arrange à coups de clé à mollette. Bienvenue à toi nonobstant.
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Re: James Bond 007 : Sujet général

Message par Demi-Lune »

Major Tom a écrit :Je ne vois toujours pas ce qu'elle a de ridicule la scène où Bond escalade le haut du gratte-ciel, même lorsqu'il atterrit sur une cuvette de chiottes.
Moi non plus. Je n'ai pas été gêné par cette séquence. Après une grosse cascade, voir Connery tomber sur le trône et s'agripper furtivement au rouleau de PQ, c'est assez marrant. L'escalade en elle-même est une séquence plutôt efficace et pour le coup, je trouve les transparences presque mieux foutues que dans Die Hard. Ce qui m'a plus gêné, c'est le déclenchement de cette séquence. On dirait que ça lui prend comme une envie de pisser, à Bond, d'aller explorer le sommet de la tour, et qu'il sait exactement comment faire. :mrgreen:
Major Tom a écrit :Et puis vous idéalisez un peu les choses concernant Moore: je rappelle que l'arrivée de Moore dans la saga, c'est Vivre et laissez mourir quoi :o Non seulement il y est un peu fade à 2, 3 scènes près mais il y a surtout ça...



... certainement la pire scène de mort que j'ai jamais vu, même pour un James Bond. :lol:
Effectivement, un grand souvenir ! :mrgreen:
Spoiler (cliquez pour afficher)

Je viens de trouver ça sur Youtube. C'est-y pas beau ? :mrgreen:
Pour ma part, je trouve dans l'ensemble que les années 1970 n'ont guère réussi à la franchise. La distanciation comique qui couvait dans Les Diamants sont éternels ne s'épanouira à mon avis qu'à partir de L'Espion qui m'aimait (le meilleur de cette décennie et probablement le meilleur Moore) et Moonraker, qui revendique fièrement sa loufoquerie et que j'ai de plus en plus plaisir à revoir, finalement. Les premiers Moore ne m'intéressent guère. Ils sont assez ennuyeux et vieillissent mal. Vivre et laisser mourir me faisait peur quand j'étais môme, mais maintenant il me fait plus rigoler qu'autre chose. Ce sont des défilés de potiches écervelées (la palme toutes catégories à Mary Goodnight et, effectivement, Major, la scène que tu cites est assez symptomatique des proportions misogynes qu'a pris la saga), avec des seconds couteaux absolument horripilants, que ce soient le shérif Pepper ou Tric-Trac. On a envie de les lester dans une rivière. Les méchants Kananga et Scaramanga sont a priori intéressants mais ils révèlent vite leur inconsistance. Avec L'Espion qui m'aimait, la décontraction moorienne trouve enfin un scénario convenable et dépaysant en diable, truffé d'idées géniales, en tête desquelles celle de faire associer Bond à une Soviétique au moins aussi pugnace que lui. La superbe Barbara Bach, que ce soit en uniforme militaire ou en robe noire, sauve en quelques apparitions toutes les cruches que Moore a connu jusqu'alors. Moonraker, c'est l'apothéose de cette démarche. Je l'aime de plus en plus, celui-là. La Bond Girl n'est pas totalement sotte, le score de Barry est impérial, et surtout, c'est un film extrêmement divertissant, rythmé. Évidemment le scénario est en roue libre et vire au nanardesque, comme si les scénaristes étaient subitement morts d'une crise cardiaque tel Terry Gilliam sur sa planche à dessin dans Sacré Graal. Mais il y a un tel plaisir bon enfant qu'il peut devenir irrésistible. A mes yeux, il réussit vraiment ce que Les Diamants sont éternels ambitionnait d'être : une aventure plaisamment nawak.
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hellrick
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Re: James Bond 007 : Sujet général

Message par hellrick »

Demi-Lune a écrit : Pour ma part, je trouve dans l'ensemble que les années 1970 n'ont guère réussi à la franchise. La distanciation comique qui couvait dans Les Diamants sont éternels ne s'épanouira à mon avis qu'à partir de L'Espion qui m'aimait (le meilleur de cette décennie et probablement le meilleur Moore) et Moonraker, qui revendique fièrement sa loufoquerie et que j'ai de plus en plus plaisir à revoir, finalement. Les premiers Moore ne m'intéressent guère. Ils sont assez ennuyeux et vieillissent mal. [...] Avec L'Espion qui m'aimait, la décontraction moorienne trouve enfin un scénario convenable et dépaysant en diable, truffé d'idées géniales, en tête desquelles celle de faire associer Bond à une Soviétique au moins aussi pugnace que lui. La superbe Barbara Bach, que ce soit en uniforme militaire ou en robe noire, sauve en quelques apparitions toutes les cruches que Moore a connu jusqu'alors. Moonraker, c'est l'apothéose de cette démarche. Je l'aime de plus en plus, celui-là. [...]Mais il y a un tel plaisir bon enfant qu'il peut devenir irrésistible. A mes yeux, il réussit vraiment ce que Les Diamants sont éternels ambitionnait d'être : une aventure plaisamment nawak.
je suis 100% d'accord avec tout ça et j'ajoute que si Vivre est laissé mourir était mon préféré quand j'avais 12 ans c'est aujourd'hui sans doute celui qui m'ennuie le plus :wink:
Critiques ciné bis http://bis.cinemaland.net et asiatiques http://asia.cinemaland.net

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Demi-Lune
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Re: James Bond 007 : Sujet général

Message par Demi-Lune »

Quelques mots, sinon, au sujet de Goldfinger (1964) que j'ai revu la semaine dernière... J'entretiens un rapport difficile avec cet opus, mais il y a du mieux. On sent que l'on assiste à la construction d'un véritable mythe à chaque nouveau plan. Plus que les deux précédents, c'est probablement l'épisode de l'iconisation, celui dans lequel tout l'éventail visuel réglemente, l'air de rien, ce qui va devenir les codes immuables de la saga. Les costards classieux de Connery, son Aston Martin truffée de gadgets, les hôtels et ses piscines, l'homme de main dangereux et mutique, le méchant fortuné et mégalo, les femmes affriolantes et combattives (le trio Shirley Eaton/Tania Malet/Honor Blackman, qui dit mieux ?), leurs coiffures gonflées, le design chiadé, la variété des lieux, les sous-entendus graveleux, la musique cuivrée de John Barry... Comme disait yap', il y a presque trop d'idées géniales dans ce film, qui devait quand même être très imaginatif et excitant pour son temps. Le problème reste M. Guy Hamilton. Sa réalisation se contente d'esthétiser le look vestimentaire et mécanique du film, et se révèle dans l'ensemble inapte à accompagner la tonicité de l'histoire, qui collectionne les péripéties sur le papier comme on enfile les perles. Plate, assez monolithique, la mise en scène de Goldfinger fait paradoxalement traîner le film en longueur et ne suggère que peu souvent le suspense ou l'exaltation. J'en veux pour preuve cette scène célébrissime où Connery est attaché et risque la fonte au laser de ses parties intimes : c'est tellement plan-plan que le potentiel dramatique tombe un peu à l'eau. Le face à face final avec Odd-Jobb n'est pas loin de connaître le même sort; Ce n'est pas à la hauteur des idées scénaristiques qui ne faiblissent pour ainsi dire jamais et suggèrent un dynamisme qui n'est pas franchement illustré par la mise en images. Je regrette également un peu le manque d'exotisme de cet épisode (comme pour Les Diamants sont éternels) qui n'en reste pas moins pas mal du tout, même si Auric Goldfinger n'a pas grande envergure (mais c'est probablement intentionnel). Je révise aussi un peu ma position sur Pussy Galore, qui est moins potiche que dans mes souvenirs. Un bon Bond, qui aurait peut-être été meilleur encore dans les mains d'un autre metteur en scène.
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